Pourquoi ne le fait-on pas?

Pourquoi ne le fait-on pas?

Cette question veut tout dire et rien dire, pourquoi?
Il y a tout simplement un manque de clarté et de compréhension envers soi-même.
Au cours de mes nombreux coaching, j’ai remarqué que plusieurs éléments étaient présents, pour ne pas le faire.

Dans un premier temps, il est impératif de déterminer pourquoi je vais le faire et pourquoi je veux le faire, sans quoi je peux très vite me perdre dans le comment? Ou encore le quoi? Le où?
Bref, ce que je veux dire par là c’est que les chemins pour se disperser sont infinis. Donc autant mieux se raccrocher à chaque fois que possible au fil conducteur qu’est le POURQUOI?

Je vais vous faire état de certaines situations qui nous poussent à ne pas le faire:

. Lorsque nous avons pris l’habitude que l’on nous dise quoi faire et quand?
En procédant ainsi, je ne prend pas d’initiative et reste dans une forme de passivité. Donc je n’ai pas appris autre chose que cela.
Je fais ce que je sais faire.

. Attente d’approbation.
Si je décide de mettre du nouveau dans ma vie. Bien souvent, j’ai eut besoin d’approbations car je ne me sentais pas forcément à la hauteur. Ou encore qu’il soit possible que se soit une perte de temps.
Je ne voulais pas assumer cela tout seul. Alors dans ces cas là, lorsque j’arrivais à obtenir l’approbation de certaines personnes, il m’était alors plus facile de me lancer.
Sauf que bien souvent, cela ne coïncidait pas avec les attentes/envies de ceux à qui je posais la question. Et comme je ne voulais pas l’assumer seul, par peur du rejet et bien je ne le faisais pas.

. La peur du ridicule.
J’ai beau savoir que la peur du ridicule ne tue pas et pourtant combien de fois le ridicule m’a empêché de passer à l’action?
Oui, ce n’est pas confortable d’être ridiculisé. Mais que se passe-t-illorsque je le suis?
Et bien j’ai la possibilité, d’apprendre, d’en constater un résultat concret et non qu’un résultat abstrait.

. La peur d’être critiqué.
La peur d’être critiqué se rapproche au niveau des conséquences de celle de la peur du ridicule.
Maintenant, avec du recul et de l’observation, j’ai pris conscience que ceux qui le font, sont ceux qui ne font rien de nouveau et qui ne tentent rien.
Ce qui fait que pour se sentir moins seuls dans leurs cas et bien la seul façon qu’ils trouvent pour exprimer cela et de critiquer.
La critique est facile, alors que l’action est toute autre.
Plus jeune, je critiquais mes parents, mais en fait, je ne connaissais rien à leur vie du passée. Je ne comprenais pas qu’ils la reportaient inconsciemment dans mon présent. Et qu’automatiquement, le décalage entre l’avant et le présent de l’époque pouvait être conséquent.
C’était alors un peu la loi du plus fort. Et dans le rapport parents/enfants, c’est complexe car il y a un déséquilibre dès le début physiquement, puis mentalement et l’histoire qui n’est pas la même.
Cela est vrai pour mes parents et pour chaque nouvelle que je côtoie.
Chacun a son histoire et son vécu, ce qui veut dire que chacun à une projection de sa vie.
Dans ces cas là, chaque critique blesse la personne.
Cela peut-être atténué grâce à la communication, la compréhension, le lâcher prise, l’ouverture d’esprit au nouveau.

. Tourner autour du pot.
Cela se vérifie, lorsque l’on observe un manque de clarté dans les objectifs.
Ce manque, découle souvent d’un manque de moyen, qui n’est pas que financier. Par exemple ne pas pouvoir mettre un mot exact sur ce que l’on peut ressentir est dû à une insuffisance de mots pour le sujet convoité et recherché.
Chaque sujet à un lexique, un vocabulaire prédéterminé pour mieux se comprendre. En parlant d’un même sujet avec un lexique et un vocabulaire déterminé, il est évident que la compréhension ne sera pas la même.
Les mots seront différents et parfois même incompréhensible.
Cela amène donc à une phase d’apprentissage, pour pouvoir poser et mettre les mots justes pour chaque situations. En procédant ainsi, je suis plus clair ce qui implique que je ne tourne plus autour du pot.

De plus l’une des erreurs que je commettais continuellement, c’était de me renseigner auprès de mon entourage qui n’expérimentais rien de neuf. Alors comment pouvais-je avoir des résultats allant dans mon sens?

Agir, c’est bien. En conscience c’est mieux et en groupe ça l’est encore plus.
Car je peux aller plus vite en me mouvant seul. Maintenant, si je veux aller loin dans cette démarche et cette envie. Et bien j’ai tout intérêt à m’entourer de personnes semblables à moi.

Cela m’a demandé beaucoup, notamment en remise en cause.
J’ai tout remis en cause, ce qui est une erreur, car tout n’est pas à remettre en cause. Par exemples, les lois universelles telle que la loi sur la gravité n’a pas lieu d’être remise en cause. Car cela revient à aller contre la nature.
Maintenant, toutes les croyances qui ne concernent que ma personne et ma vision du monde peut être remise en cause, afin de mieux comprendre mes mécanismes internes et donc mon fonctionnement.

En aillant emprunté ce chemin, tous les jours j’évolue, je grandi, j’apprends, je rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux mots. En d’autre mots en m’autorisant, je deviens quelque part un explorateur. Un explorateur de la vie.

Ainsi en explorant la vie, je rencontre des personnes sur le même chemin que moi à un niveau donné. Ce qui fait que nous pouvons évoluer avec un même vocabulaire, une même compréhension.
Et si je rencontre des personnes qui veulent évoluer et arriver à un niveau similaire au mien et bien c’est avec plaisir que je leur enseigne ce que je sais, pour les amener à croître dans leur vie.

Maintenant, cela ne peut partir que d’une personne, « toi ».
Si tu veux grandir et apprendre un peu plus sur ton fonctionnement, je suis présent pour t’amener à évoluer.

Dites moi en commentaire, ce qui vous bloquent et vous empêchent de passer à l’action.

La patience.

La patience.

Ce mot voulait tout dire et rien dire pour moi.
Je pouvais le comprendre intellectuellement mais pas concrètement, puisque mon entourage ne me le montrait pas.
C’était donc qu’un mot parmi tant d’autres, que j’employai sans grande importance.
Pourtant il a sa raison d’être et je l’ignorais dans son sens et sa valeur.

A force d’entendre ce mot qui pour moi était évident, j’ai fini par me questionner et chercher à comprendre son sens et jusqu’à quelle mesure, il s’étendait.
Continuer la lecture de « La patience. »

Quoi faire?

Quoi faire?

A partir du moment où je me pose cette question, il y a un élément déclencheur et il y a quelque chose qui ne colle plus avec mes habitudes, la routine. Ou encore la présence d’une souffrance.

Dans ces cas là, je cherche à changer quelque chose en moi, en fonction de?
Puisqu’il y a une forme d’inégalité de présente et que je cherche à rééquilibrer pour ne plus avoir à ressentir cela.
Et bien souvent, pour résoudre cette forme de déséquilibrée, je me laisse influencer par l’extérieur, car je n’ai plus la réflexion et le réflexe interne pour la résoudre.

Pourtant, je l’avais lorsque j’étais enfant. Qu’est-ce que je veux dire par là?
Instinctivement, un enfant ne se retient pas pour exprimer quelque chose, alors que la majorité des adultes ne font que ça.
Naturellement, qu’il est compliqué de dire à son patron ouvertement qu’il nous fait chié et que ceux qui osent le faire sont pointés du doigt et donc plus grandement condamnables étant donné que la majorité ne le fait pas.
Dire tout haut, ce que les autres pensent tout bas, à un prix, que peu de monde est prêt à payer.

Autrement, ce que je veux dire par là, pour ne pas avoir de responsabilités à prendre et que je n’ai pas de réponse. Plutôt que de la chercher, je me réfugie vers la facilité. Et quoi de mieux pour se rassurer que de demander la solution à l’extérieur de sois et qui bien souvent n’a pas la réponse voulue?
Ainsi, je pourrais poser ma préoccupation à une personne extérieure à moi, qui en prendra bien souvent part à partir du moment où elle sera à notre écoute.

Maintenant, je sais aussi que certaines personnes ne nous écoutent pas car, elles estiment en avoir déjà assez à gérer avec leurs propres vies. Et c’est tout à leur honneur.
D’ailleurs, dire « non » à quelqu’un en détresse n’est pas une mince affaire à faire. Car cela revient à être pointé du doigt et d’être considéré comme sans coeur, égoïste, absent…

L’erreur que j’ai bien trop souvent commise est celle de penser pour les autres, ce qui m’amener à biaiser ma réponse.
Ma réponse dépendait d’une réponse que j’avais sous entendu en pensant à la place des autres personnes.

Ce qui fait que je donnais plus d’importance à l’extérieur de moi que pour moi.
En d’autre mots à force de penser ainsi, je m’oublier un peu plus.

Maintenant, je m’entraîne à dire de vrai « non », pour dire de vrai « oui ».
Cela demande un entraînement. Et comme dans tout entraînement, il y a des louper.
Par la suite, lorsque j’analyse les louper et que je les remets en questions alors, je peux arriver à un autre résultat que le précédent, avec lequel je peux comparer.
En procédant ainsi, je peux affiner mes résultats obtenus, grâce à la dichotomie.

« Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. »
A. Einstein

Dans ces cas là, plus je vais essayer de choses venant de moi et plus je me connaîtrais et plus je m’affinerais dans ma façon d’être et de penser.
Et ainsi, je pourrais agir plus en étant moi.

Dîtes moi, qu’est ce qui vous empêche de passer la vitesse suivante dans votre vie pour passer au niveau supérieur?
Lâcher prise, c’est perdre pour mieux se retrouver ensuite, c’est accepter ce que je ne comprends pas, c’est aussi et avant tout pour moi se faire confiance.
Car lorsque je le fais, je décide de le faire consciemment ce qui a une double valeur.

La prochaine fois, je vous parlerais de la patience, c’est un sujet qui m’a trop souvent fait défaut, alors je vous donnerais mes conseils.

Dernier article de l’année 2017, le bilan.

Dernier article de l’année 2017, le bilan.

L’année dernière, je débutais la création de mon blog en investissant dans un nom de domaine et le 31/12/2016 l’aventure commençais.

Oui, le parcours a été sinueux et semé d’embûches ce qui m’a peut-être ralenti, mais je suis toujours là.
Comme je l’entends souvent « doucement mais sûrement ».
. Alors en chiffre sur l’année j’ai fait:
– 33 articles,
– des dizaines de coaching,
– une dizaine de séminaires,
– écouté des heures d’audio,
– lu une dizaine de livre,
– créé un mastermind.

Par ailleurs coté humain, j’ai rencontré de grandes « pointures ».
J’avoue que cela à pu me déstabiliser tant l’écart pouvait être grand.

Mais j’ai gardé à l’esprit d’avancer et de toujours avancer pour ne pas avoir à perdre l’équilibre comme le dit très bien A. Einstein avec son exemple sur la bicyclette.
En allant moins vite, j’ai pu mieux négocier certain virage de ma vie, chose que je n’aurais certainement pas put faire en allant trop vite.

Et j’ai rencontré des personnes qui ont su transformer leur vie en une vie extraordinaire.
J’ai assisté à des transformations, des révélations, de personnes qui ne demandaient qu’à Être.
J’ai découvert de nouveaux lieux, Malaga, Athènes.

Tout cela a put être réaliser grâce au saut que j’ai fait avec la réalisation de ce blog.

Maintenant, l’année prochaine:
Je consolide ce que j’ai déjà entrepris et je continue de m’entourer des meilleurs pour créer une solide équipe et être présent:
– sur les réseaux sociaux
– en vidéos
– en présentiel un peu partout dans la France

D’ailleurs, n’hésitez pas à me faire part de toutes vos suggestions en commentaires.

Pour l’instant, je vous souhaite une excellente fin d’année 2017, pour laisser place à 2018.

Merci les amis et à très vite.

Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous?

Pourquoi prendre le « leadership » qui est en nous?

Selon wikipédia,  « Le leadership est l’influence politique, psychologique, sociale, etc. d’un individu ou d’un groupe d’individus sur un groupe ou un autre groupe. Le leader a des compétences personnelles qui lui confèrent une différence et qui lui permet d’être écouté et suivi par un groupe de personne. »

Autrement dit, c’est une personne ou un groupe de personne prenant une direction commune.
Par ailleurs, si je décompose ce mot:
. Lead: conduire
. Leader: chef
. Ship: navire

1) Ces mots sont forts de sens, puisque si je suis seul, je décide de « conduire » en me comportant tel un « chef », mon « navire » à la destination que j’ai choisi.
2) Maintenant,  si je m’entoure de personne de spécialisée dans leur domaine et voulant arriver à la même destination que moi. Alors nous ne nous marcherons pas dessus, et nous serions tous « leader » de notre tâches à effectuer. Continuer la lecture de « Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

Merci Elisabeth et maman pour votre participation et votre réponse.

La vie récompense ceux qui passent à l’action, j’aime cette devise. En conséquent je vous offre une séance de coaching, qui vous permettra d’aller encore un peu plus loin pour votre bien-être.

Je vais vous apporter à mon tour mon point de vu, mes observations, mes apprentissages.

La comparaison est une forme de suicide car c’est vouloir faire comme…, ou se distinguer de… et donc quelque part procéder autrement et finir par ne pas être soi.
Dans ces cas là, je n’agis pas en conscience de moi mais plutôt en fonction de.
Si j’utilise continuellement ce principe et bien j’arrive à m’oublier complètement, puisque je serais toujours tenter à observer à droite et à gauche.
D’ailleurs la comparaison est aussi une forme de compétition et de classement. J’observe le résultat de quelqu’un d’autre part rapport au mien.
Maintenant, en fonction des intentions qui y sont mises, cela peut-être bénéfique ou négatif pour moi.

La comparaison vient d’où?
Cette dernière apparaît à partir du moment où il y au minimum deux individus faisant et/ou voulant un résultat qui leur serait optimal.
La comparaison leur donne ainsi des références et des bases, reflétant principalement un manque intérieur représenté bien souvent par ce manque de confiance en soi, qui à grande dose détruit l’Être.
D’où le fait que, j’ai fait état de comparaison = suicide.

Autrement, si je suis seul, je ne peux pas me comparer. Donc sur quoi je m’appui?
Si j’ai pu et su développer au préalable ma confiance en moi, alors je n’aurais plus ce besoin de me comparer pour faire.

« Je ne peux savoir que ce que j’ai appris. »

Donc comment puis-je apprendre?
Je sais que nous commençons tous notre vie avec des outils.
Et ces outils, nous avons à en prendre conscience, connaissance, à les utiliser à sa juste valeur, à les expérimenter pour se faire la main et ainsi en rendre son utilité et efficacité facile.
Car si je ne sais pas utiliser un outil que je trimbale avec moi, il m’est plus encombrant qu’utile.
Pourtant, si nous utilisons nos propres outils à leurs juste valeurs et bien nous n’aurons pas à nous comparer.
Si nous nous comparons, c’est tout simplement que je cherche à apprendre à utiliser mes outils. Et c’est là où les choses peuvent se complexifier, car lorsque je me compare, je le fais bien souvent avec quelqu’un qui maîtrise l’outil et donc l’écart peut-être grand, voir trop grand.

Nous allons voir ensemble quels sont ces outils et notamment le premier qui nous pousse à la comparaison.
J’ai une boîte à outil et vous en avez tous une, où se trouve plusieurs sens.
Normalement, pour la grande majorité du monde, nous apprenons grâce à nos  5 sens:

. La vue

. L’odorat

. L’ouïe

. Le toucher

. Le goût

Chaque sens, affine un peu plus encore la vision de ma vie, à la condition bien sûr que je les utilise.

La vue est le premier sens qui me permet de me faire une vision de ma vie.

Car juste en voyant des choses de près ou de loin, je peux, me faire ma propre interprétation, qui peut être erronée, ou vraie en fonction de mon passé.

Là où je sais faire, j’y vais tel un leader.

Par contre, là où je ne sais pas faire et bien c’est plus complexe. Si je me retrouve face à quelque chose de nouveau ou encore une situation nouvelle et bien j’arrive quelque part face à un obstacle. Donc j’observe et me compare avec les autres pour tenter par la suite de reproduire le résultat et l’adapter à moi en cas d’inconfort.

Cependant, la vue n’est pas toujours suffisante pour réussir à faire et reproduire ce que les autres font.

Ainsi je peux connaître des formes de frustrations, de jalousies, si je ne réussis pas. Et je peux collecter des étiquettes que mon entourage me colles tout au long de mon parcours de vie.
Sincèrement, les étiquettes ont tendance à coller avec le temps et c’est souvent là, où je retrouve mes croyances.

Qu’est-ce qui se passent en moi au moment où je cherche à me comparer?

Et bien je ressens une zone d’insécurité, car je ne sais pas.

Je cherche à combler cette insécurité en me comparant pour voir, déjà dans un premier temps, si j’ai tous les mêmes outils extérieurs tels que la posture et les gestes.

Lorsque je ressens cette insécurité et bien la relation est impactée avec les autres.
J’ai alors à être attentif à cela pour que l’impact ne se fasse pas ressentir.

D’ailleurs, il est possible que je ne pense pas à la comparaison et que cela soit mon extérieur qui se compare à moi et m’en fasse part.

Ce qui fait, qu’il y a une interaction qui se créée et là comment faire?

La meilleure solution que j’ai trouvée jusqu’à présent est de continuer d’avancer, car si je m’arrête je perds l’équilibre. Et je l’ai perdu bien souvent.
Mais rassurez vous, un échec ne tu pas, il rend simplement plus fort, seulement si tu en tire une leçon et que tu te relèves.
Car derrière chaque échèc, il y a une opportunité à saisir.
Maintenant, si je me compare à des personnes qui sont elles-mêmes jalousent de moi de part ce que je fais, alors je n’évolue plus dans le sens qui m’intéresse.

A ce moment-là, je ressens des émotions et les émotions que je traverse m’amènent à des efforts d’adaptations.

Pour que l’adaptation soit simple, évidente et bien j’ai à me former à apprendre comment faire et surtout comment agir en conséquence plutôt qu’à être dans la réaction.
Car c’est entrant en réaction, que je me décentre, me déséquilibre et perd pied. Ce qui fait que je me retrouve là ou le vent me mène.

Le vent est le même pour tous, il y en a simplement qui ont appris à naviguer et faire face au vent pour arriver où ils le souhaitent.

Je suis dans un monde où je ne suis pas seul, donc oui rien que pour cela je me comparerais que je le veuille ou non.
J’utiliserais simplement un outil qui est propre à chacun, celui de la vue.
Avec cet outil, je peux réaliser de très belles choses comme son contraire. Tout comme un couteau de cuisine. Tout dépend ce que j’en fait et de ce que j’en ai appris à faire.

Je vous invite à laisser un commentaire, si vous avez aimez cet article pour que je le sache et puisse éventuellement vous aider sur une thématique, un outil.
Car si vous ne me dites rien et bien j’avance.
Au plaisir et à très bientôt.

La clé pour réussir,

La clé pour réussir,

Selon l’image de base que nous nous faisons des clés, selon le dictionnaire Larousse:
« Pièce métallique qui porte, à une extrémité, le panneton ou des encoches pour actionner le pêne de la serrure et, à l’autre extrémité, un anneau ou une tête pour permettre la manœuvre. »


Pour réussir, certes, mais quoi?

Il est clair qu’avec une clé tu peux réussir une chose qui te conduit à une autre etc… tel l’effet domino.


Encore faut il être en conscience de savoir ce sur quoi cela découle.
Si je n’ai pas appris, que cette clé me permet d’ouvrir une porte, je peux passer à coté de cela et en faire un autre usage, ou même la jeter.
Autrement, je peux la mettre dans un coin en attendant de savoir un jour à quoi cela peut-il bien me servir.
Sachant qu’il soit possible que ce jour puisse ne jamais arriver et donc je m’encombre de choses qui peuvent paraître aux yeux de certains inutiles et utiles aux yeux d’autres. Mais tant que je ne sais pas je la garde.

Aujourd’hui je me rends compte que la clé pour réussir n’est pas matérielle, elle est bien immatérielle. Et les mots pour tenter de définir la clé de la réussite, seraient pour moi, la « prise de conscience. »

Sans cette prise de conscience je ne peux pas grand chose.
C’est un peu comme si que je marche à l’aveugle et tourne rond continuellement, car je reste enfermé dans cette spirale infernale.

Maintenant, si je prends conscience de cela, de son utilité, de sa fonction, de son intérêt pour moi et bien je peux le résoudre facilement.

Reprenons l’exemple de ma clé matériel:
Si l’on m’explique que cette clé me permet d’ouvrir une porte, cela me parle plus.
Si en plus on me montre quelle porte, où la placer dans la porte et comment actionner cette clé pour ouvrir la porte. La prise de conscience se fait instantanément.

Dans un premier temps, je ne savais pas à quoi servais cette clé.
Dans un second temps, je suis passé par la théorie.
Pour enfin, passer à l’action et ouvrir la porte.

Au plus j’ai d’éléments, de connaissances et d’informations au plus j’ouvrirai rapidement cette porte.

Ici, j’ai pris l’élément « clé » pour expliciter mon exemple.
Maintenant, nous voyons et employons souvent le mot « clé » à toutes les sauces, ce qui fait que son sens se complexifie, rendant ainsi plus mystérieux son utilité.

La clef est utilisée aussi pour:
. Le sport, avec des clés de bras en judo par exemple.
. La musique, avec la clé de sol par exemple.
. La mécanique, avec la clé à pipe par exemple.
. L’informatique, avec la clé USB par exemple.
. Les indices amenant à la clé.

Par ailleurs, il n’en est pas que dans ses sens qu’il se complexifie car nous le voyons aussi dans le monde matériel avec la clé de mon exemple.
Les clés de portes de nos jours ne sont plus celles, qu’elles étaient autrefois.

C’est pour cela, qu’avant de détenir la clé, il est important de savoir quoi en faire pour ne pas se charger inutilement.
Et comme nous l’avons vu, les clés sont en grandes quantités, dans divers domaines et de plus en plus complexes.

Donc vaut mieux prendre la première clé, qui est pour moi « la prise de conscience. »
Elle me permet ainsi de me défaire de clés qui m’encombraient plus qu’autre chose mon esprit. Ce qui me rendait moins performant, plus lent, moins efficace.
Autrement dit, sans cette première clé, je ne pouvais pas atteindre ce que je voulais car je me mettais trop de pression pour garder toutes mes autres clé.
Une clé suffit pour ouvrir une porte, je trouverais bien sur mon chemin, d’autres clés, donc à quoi bon vouloir toutes les clés dès le début, si cela n’est utile que pour la fin.

Et vous, dites moi en commentaire comment vous vous y prenez pour réussir?
Vous encombrez-vous dès le début? Ou y allez-vous à l’aventure?

Qu’engendre le nouveau?

Qu’engendre le nouveau?

« Nouveau » selon le dictionnaire de l’internaute prend plusieurs sens.
. Sens 1
Qui existe depuis peu de temps. Apparu récemment.
. Sens 2
Original, inédit.
Exemple: Cette nouvelle technique est révolutionnaire.
Synonyme: inédit
. Sens 3
Qui vient à la suite de quelque chose et le remplace.
Exemple: Il a trouvé un nouvel emploi.

Le nouveau est omniprésent.
Il se trouve dans tous les domaines de vie:
. Sentimental
. Social
. Professionnel
. Financier
. Spirituel

Il laisse place normalement à l’ancien, hors il arrive bien souvent que l’on arrive pas à se détacher aussi facilement de l’ancien, pour différentes raisons:
. les habitudes que l’on a pris avec les anciennes personnes, choses, situations,
. les affects que l’on peut placer dans chaque situation, choses et personnes,
. les souvenirs,

Et au plus nous attendons à accepter et vivre avec le nouveau et au plus nous vivons avec la dualité du nouveau et de l’ancien.
Le nouveau est souvent plus rapide mais il demande un temps d’apprentissage considérable.
Alors que l’ancien est acquis mais est souvent plus lent que le nouveau.

Donc pour acquérir du nouveau, il faut être prêt à se lancer bien souvent dans une part d’inconnu et pas forcément rassurante, qui peut demander un temps d’adaptation et d’intégration.
Un chose toute simple peut très vite devenir compliquée pour celui qui ne maîtrise pas.
Et comme bien souvent, nous évoluons tous à des niveaux différents, il n’est pas inscrit sur chaque individu, le niveau qui nous est adapté.
Nous pouvons très vite dans ces cas là, se retrouver dans une situation délicate à gérer surtout si nous débutons tout juste dans un domaine.

Bien souvent, nous devons passer par la phase « apprentissage », mais est ce que nous nous donnons les moyens et surtout le temps pour y parvenir?

De plus le « nouveau » fait état à la différence, je n’ai plus ce que j’avais avant.
Il y a donc plusieurs étapes pour que cela puisse être intégré et accepté par moi.
Il y a une phase d’acceptation, oui il me faut accepter le nouveau, si je n’ai plus l’ancien. L’acceptation est souvent plus simple dans ce cas, puisque je n’ai pas l’impression d’avoir le choix pour « accepter », pour continuer.
Par contre dans le cas où j’ai à faire au nouveau et à l’ancien, là un choix conscient se fait, puisqu’il y a le nouveau et l’ancien, tous deux sont présents.
Les deux fonctionnent pour avancer et les deux ont des avantages et inconvénients, pourtant un choix s’impose.
Car faire les deux pour une même chose, fait état d’une répétition pour obtenir un même résultat. Il est clair que cela peut donner lieu à un comparatif, mais aussi à une perte de temps, car il nous faudra passer beaucoup plus de temps sur l’ancien et le nouveau que sur l’ancien ou le nouveau.

C’est pour cela qu’il est préférable d’être clair dans ces choix, au plus je suis clair avec moi et dans ce que je veux, au plus il sera facile de me positionner dans le « nouveau » ou « l »ancien ».

Après, il est clair que toutes chose à une durée de vie, que tout est cyclique et que le nouveau aujourd’hui deviendra ancien dans le futur. Et qu’au bout d’un moment, certaines personnes s’intéresseront à nouveau aux anciennes choses. Car tout n’a pas été découvert.

Tous les domaines de vie, ont bien été compartimentés c’est pour cela que nous retrouvons quasiment un métier pour chaque spécificité de la vie.
Et étant donné que le nouveau est omniprésent, si je ne prend pas le temps de me former continuellement et bien je prends vite du retard.
Mais du retard par rapport à qui et à quoi?

Du retard par rapport à l’évolution de la vie.

Je vois que chaque année, naissent de nouveaux mots dans le dictionnaire et certains sont retirés.
De nouvelles personnes naissent lorsque des personnes meurent.
Un équilibre né grâce au nouveau.

Si je n’ai que des anciennes choses alors une forme de rejet de la société s’installera car je serais trop différent de la moyenne.
Tout comme si je n’ai que de nouvelles choses, une forme de de rejet s’installera car trop différent.

Dans les deux cas, si je ne me trouve pas dans une zone qui m’est confortable mon corps pourra me faire ressentir diverses douleurs (maux de dos, angoisse, stress…)
Et si je ne n’en prends pas conscience, je peux très vite tombé dans un cercle vicieux.

Cependant, maintenant si je suis décidé d’avancer avec mon temps et que j’adhère facilement au nouveau, il me sera alors très facile de me détacher des anciennes.
Ainsi, je gagnerai en rapidité et en productivité.

Dites moi en commentaire, si vous arrivez à vous faire rapidement aux nouveaux ou avez-vous du mal à faire la transition?
Si oui, à quel niveau? Et comment faites vous pour y remédier?

Au plaisir et à très bientôt.

Qu’est-ce que les douleurs cherchent-elles à me dire?

Qu’est-ce que les douleurs cherchent-elles à me dire?

Selon Wikipédia, la douleur est une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable », une sensation subjective normalement liée à un message de douleur, un stimulus nociceptif transmis par le système nerveux.

Et la complexité des douleurs est qu’elle se retrouve à tout un tas de niveau différent, tel que sur le physique, le côté émotionnel, le côté mental, le côté spirituel.

Et toutes ces douleurs peuvent amener à une incompréhension et donc un repli sur soi et un terrain propice à tout types de douleurs.

Nous avons tous des questions en nous, portant sur des sujets plus ou moins délicats.

Par exemple, dans ma vie j’ai été proche de la violence physique, psychique, verbal et que je n’ai jamais réellement voulu affronter. Je préférais subir, ou fuir plutôt que d’affronter, car j’avais « peur », « peur » d’Être ce que je subissais.

La défense, face à la « peur » se manifeste sous différentes formes. Et la notre cerveau reptilien nous aide ou pas. Le cerveau reptilien est le cerveau primitif, animal, que nous avons tous en nous.
Toujours est-il, qu’il nous donne une solution et cette solution est la première qui nous vient à l’esprit. Elle consiste soit à « attaquer », soit à « fuir ».
Il se peut aussi qu’il y ait des « bugs », tel que la tétanie où à ce moment là, une forme de paralysie nous gagne et c’est un phénomène que j’ai connu à maintes reprises dans ma vie.
Pourtant, à l’heure d’aujourd’hui il y a bien des étapes intermédiaires entre la fuite et l’attaque, car j’avoue que de passer de fuyard à attaquant la marche est énorme, surtout si derrière, il y a plein de schémas présents et ancrer pour fuir.

C’est pour cela que je me suis attelé à la dure tâche, de dénouer mes gros nœuds en moi. Ces derniers m’ont empêché d’avancer et d’être pleinement dans ma vie.
Avant, je ne cherchais pas à le dénouer faute de moyens et surtout de temps, car ça prend un temps fou de dénouer un super gros noeud.
La plupart du temps, la pression ressenti et l’impatience de mon environnement me gagner et je préférais me remettre dans le « moule ». Ainsi, je préférais ignorais ce « putain » de noeud qui me faisait « chier ». Car je voyais les autres avancer dans leurs vie et pas moi.

« En suivant le chemin qui s’appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s’appelle jamais » Confucius

Aujourd’hui je sais que comparaison égal « suicide », donc j’avance à partir de moi et du rythme qu’il me faut.
Je sais que je suis encore enclin à me comparer même si cela diminue de plus en plus avec le temps.

J’apprends, tout ce que je peux en fonction de mon rythme que j’ajuste encore aujourd’hui.

Ce « noeud » qui est apparu au court de mon jeune âge et je n’ai pas su le dénouer, j’avais souvent pour réponses « je ne sais pas », « tu n’as qu’à », « vas voir ailleurs, si j’y suis », « débrouilles toi, tout seul, tu es grand maintenant » et jamais une réelle explication comme j’aurais aimé quelle soit formulée ou donnée. A ce moment là, une panoplie d’émotions se mélangeait en moi et jusqu’à en perdre plusieurs fois pieds.
Avec le temps, ce noeud à grossi entraînant des douleurs de cervicales, de dos et de jambes. Tout est lié, tout à une vie, tout à un début et une fin.
Les douleurs font parties de ce « tout », donc il ne déroge pas à la règle.

Pour moi, les douleurs, sont présentes pour nous aider à réajuster notre cap telle la philosophie du marin, qui ne garde pas le cap mais qui le réajuste constamment.
Naturellement, il arrive qu’il y ait des tempêtes et c’est là ou il faut être un bon marin car il sait que derrière les nuages, le soleil est toujours présent pour l’aider à s’épanouir. Sans soleil, il n’y aurait pas de vie.

Tout est équilibré dans la vie et tout à sa raison d’être.

Si vous voulez avoir plus d’explications sur la nature de vos maux (mots) ou encore douleurs. Je vous invite soit à me contacter en me laissant un commentaire et je me ferais un plaisir de vous y répondre.
Soit en allant faire un tour sur le site de « Lise Bourbeau » http://www.ecoutetoncorps.com/fr/ ou je me suis inspiré de certaines choses.

Je vous dis à très bientôt et au plaisir.

Je réserve une petite surprise pour les 3 premiers qui me laisseront un commentaire.