Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix.

Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix?

Je vais commencer par définir les deux « ingrédients », indispensables de cette question.

La « violence », selon wikipédia est « l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d’éléments naturels. »

La « paix », selon wikipédia est « un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l’absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond aussi à un idéal social et politique. »

La majorité des personnes fuit la violence et j’en étais l’un des premiers car la société dans laquelle je vis la condamne.
Je suivais le mouvement et la condamnais à mon tour, ce qui m’amenais à ne vouloir que la paix. Continuer la lecture de « Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix. »

Gratitude pour ce que je suis.

Gratitude pour ce que je suis.

Je ne me suis quasiment jamais dis que  »je suis fier de moi », alors que je vis 24/24h avec moi. Et pourtant je suis la personne la plus importante à mes yeux pour avancer.

C’est pourquoi  je décide de me dédier une lettre de gratitude. Car si personne ne me dit exactement ce que je veux entendre qui mieux que moi peux me les dire.

Je m’aperçois que cela n’est pas aussi évident de se féliciter soi même. Bref, je me lance:

Woah, je suis fier de moi lorsque je vois le chemin que j’ai parcouru depuis l’accident que j’ai connu le 22/10/2006.

C’est moi qui me suis bougé, puisque les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Oui j’ai beaucoup payé pour les conseilleurs et mangé la poussière, ou leur poussière. Aujourd’hui, je m’enfou, puisque j’avance vers moi.

Et quelle fierté de l’avoir fait et de mettre relevé pour continuer d’avancer vers un chemin inconnu.

Oui je suis fier de moi car j’ai fini par réussir à me poser les bonnes questions où plutôt à me faire confiance et ainsi répondre moi même à mes questions.

Oui j’ai réussi à répondre moi même à mes questions. Ainsi! Je me suis comporté à la fois comme élève et maître.

Oui souvent, j’ai été critiqué, rabaissé, humilié, jusquà un point où je voulais tout abandonné et baissé mes bras. Pourtant, j’ai fait tout autre chose, le jour où je me suis fais confiance.

Je suis plein de gratitude d’avoir pris cette décision, qui était de me choisir. Au début, je sais que cette décision était plus que flou pour moi, car je ne me faisais pas suffisament confiance. Elle m’a bloqué à plusieurs reprises. Je ne me sentais pas légitime et sans accord préalable, ni le conseil pour foncer vers cette décision. J’y suis allé les yeux fermés.

J’ai écouté mon coeur et c’est la plus belle chose que j’ai faite. Puisque là, j’ai découvert de fabuleuses personnes. Ce qui fait  qu’au bout d’un moment, j’ai fini par comprendre que je devais arrêter de fuir et de courir à droite et à gauche  pour voir, apprendre, apprivoiser et découvrir qui j’étais vraiment.

A force de me découvrir un peu plus  chaque jour, grâce aux divers espaces temps que je n’accordais que pour moi. J’ai fini par m’aimer pour de vrai et comprendre qu’en toutes circonstanceses et à tous moments, j’étais à la bonne place.

A partir de là, je me suis relaxé, relâché et ainsi pu avancer plus sereinement. Aujourd’hui, après apprentissages et expériences, je sais que cela s’appelle l’estime de soi.

Je l’ignorai, mais grâce à mon éducation et ma personnalité de chercheur je retrouve ce qui m’anime, tel un aventurier qui cherche à redémarrer un feu à l’aide d’une infime petite braise, que seule lui perçoit et ressent.

Aujourd’hui grâce à mon opiniâtreté,  je suis ce que je suis. Content, c’est bien et pas content c’est pareil, donc j’apprend à m’aimer encore un pleut plus chaque jour, pour renforcer mon estime de moi et mon amour propre.

Je suis fier de moi, car j’ai décidé de passer à l’action et de créer ce qui me correspond pleinement. J’ai alors cherché qui j’étais au fond de moi par le biais  de formations et ensuite j’ai créé mon  entreprise.

Je suis fier de pouvoir vivre mes rêves aux travers des plaisirs et des souffrances que je génères.

Je suis plein de gratitude d’avoir découvert au cours de toutes mes expériences que mon maître est la VIE et que je l’Aime.

A partir du moment où, j’ai aimé la vie, j’ai pris conscience que je fais parti de la VIE.  Ce qui revient à me dire que JE M’AIME.

Woah, le chemin pour en arriver jusque-là, à été long, pas sans dommage, mais le résultat est sensationnel. L’explique avec juste des mots c’est délicat, ça ne peut que se vivre. Car qui mieux que m’Aimer comme je l’entends, le vois et le ressens.

Cette histoire d’Amour, et la plus belle qui puisse exister et m’arriver, car elle durera jusqu’à la fin de ma VIE.

Je suis fier de Moi, Jérôme.  Je m’Aime.

Merci d’Être à mes côtés pour vivre toutes mes AVENTURES.  Je me croyais tellement seul, alors que je suis avec moi.

Merci d’avoir cesser de regarder les autres pour enfin me regarder Moi.

Merci je m’Aime, bien plus que je ne pouvais le penser au début.

Merci Jérôme de m’avoir choisi, de me supporter, de me soutenir, d’avancer… j’ai un corps parfait pour réaliser ce que j’ai à faire sur cette planète.

Je suis plein de gratitude d’avoir les forces et faiblesses que j’ai, car cela rend l’homme que je suis aujourd’HUI.

WOAH!!! Let chemin de l’amour de soi est le plus beau chemin que vous puissiez trouver et PARCOURIR.

L’avez vous découvert où pas encore?

 

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

C’est un sujet sur lequel, je voulais revenir pour aussi bien y ajouter plus de détails, que pour l’élargir.
Je sais qu’en faisant cela, j’ai aussi quelque part les yeux plus gros que le ventre.

Maintenant, je me rends compte que cette expressions à des avantages que je ne percevais pas réellement dans le passé et qui a créé au cours du temps, une addiction inconsciente. D’où le fait que cela puisse être, plus fort que moi par moment.

Lorsque j’ai « les yeux plus gros que le ventre » et bien, quelque part, je marque et accentue une différence. Une différence que je fini par m’approprier.

La différence attire ou repousse, dans tous les cas, elle attire de « l’attention » et pas n’importe qu’elle attention, puisqu’il s’agit de l’attention des personnes qui m’entourent.
Ensuite cette « attention », qui m’est donnée entraîne une réaction et donc un résultat qui a un impact sur moi.
Ce résultat correspond soit à de l’attirance, soit à un forme de répulsion.

Cela à pour conséquence d’Être influencer en fonction de l’extérieur.
Car si je ne suis pas ancré, posé, déterminé et sûr de ce que je veux dans ma vie et pour ma vie. J’agirai pour les autres et en fonction des autres.

De plus, comme je souffre suffisamment comme cela en « ayant eut les yeux plus gros que le ventre » j’ai un prix à payer.
Dans ces cas là, je vais éviter ceux qui me repoussent pour ne pas avoir à souffrir et payer plus.
Ce qui fait que je vais naturellement me diriger vers ceux qui m’attirent pour ainsi supporter, un peu plus la souffrance que j’ai infligée à mon corps, en ne le respectant pas et en lui donnant plus qu’il ne le pouvait.
En procédant ainsi, je ne serais plus seul à porter le poids de ma souffrance.
Je me sentirai soutenu ou du moins j’en aurais la croyance. Je me rendrai ainsi dépendant de cette croyance, m’amenant à me limiter un peu plus.

En repensant à cela, je m’aperçois que tout cela est parti de moi,
Je n’arrive pas à exprimer ce que je veux vraiment, car je ne me connais pas suffisamment.
Ce qui fait que là ou j’aime un peu, ou ait la sensation d’aimer, puisque cela entraîne des réactions auprès des autres que j’apprécient.
Alors j’en fais trop!!! Pour augmenter cette sensation de plaisir.

Cela je peux et j’ai pu l’observer dans de nombreux domaine de vie.

Au début j’étais pris dans cet engrenage qui est une véritable prison, cercle vicieux. Dont je ne trouvais pas l’issu.
Et pourtant, j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison. Je ne voulais surtout pas l’admettre et donc qu’est ce que je faisais?
Je me voilais la face!!! En m’en rajoutant, toujours plus et en m’oubliant toujours plus.

Ce qui fait, que j’oubliais complètement, que j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison.
Entre ma naissance et aujourd’hui, j’avais tout simplement oublié que je connaissais les plans et que j’avais les clefs. Je ne me préoccupé plus que j’avais tout cela en ma possession car je ne savais même plus que je le savais.

Souvent, il m’est arrivé dans le passé de me rendre compte rapidement, que je n’avais plus mes clefs, ou encore que j’étais perdu dans une ville.
A ce moment là, je mettais rapidement mon attention pour les retrouver ou me retrouver.
Maintenant, si cela dur dans le temps, je m’aperçois que je me réfère et compte sur l’extérieur de moi, pour trouver la solution.
Et la solution donnée ne me convient pas parfaitement, car il s’agit bien souvent d’une solution de secours, créé dans l’urgence.

Je ne prends plus le temps, pour comprendre ma souffrance, mes manques, mes envies profondes. Je me laisse influencé par des solutions de secours, qui normalement ne devraient intervenir qu’en cas d’extrême urgence, ou la vie et plus exactement ma propre vie est en jeu.

Au lieu de cela, je joue avec ma propre vie en ne la respectant pas.
Je fais comme si que je suis perdu dans un corps où j’y habite 24h/24 et durant toute l’année. Donc logiquement, je devrais prendre le temps, d’explorer ce que j’ai déjà pour emprunté ou créer des propres chemins internes à moi.

Je reste tout de même l’architecte de ma vie.
Tout ce que je peux changer dans ma vie, alors je le change pour me respecter, pour être en phase avec moi et ainsi ne plus être dans l’abus de ce que je suis.

Car si je ne fais pas le boulot maintenant et plus je vais avancer dans le temps, en âge, en expérience et plus je ne me souviendrais plus de ce que je suis réellement, de mon « architecture », de mon « moi ».
Etant donné que ceux qui m’auront aidé à porter ma souffrance, ne m’auront pas forcément aidé à la transformer ma souffrance. Pour cause qu’ils ne savent pas comment faire?

Je ne peux savoir que ce que j’ai appris, donc si je reste avec des personnes qui ne savent pas comment faire, alors je ne serais pas comment faire non plus et je continuerai à évoluer dans la vie avec des personnes qui ne savent pas comment faire?

Est-ce de leur fautes? Ou de la mienne?

Si je ne peux pas changer les autres, parce que je n’ai pas de pouvoirs sur eux.
Alors, je peux essayer de me changer, en apprenant ce que je ne sais pas, en explorant ce que je ne connais pas. Et comment?

En osant!! Je l’ai dit dans le sous titre de mon blog « code de la vie »: « La vie récompense ceux qui osent ».

En osant, je me redécouvrirai un peu plus, jusqu’à me souvenir de mes plans, de mon architecture, des raccourcis, du lieu exact où se trouve mes clés.
Ce qui fait que j’aurais connaissance de tous les éléments pour sortir de la prison dans laquelle, je me suis installé.

Dans ces cas là, je n’aurais plus besoin d’avoir « les yeux plus gros que le ventre » pour faire durer la sensation de plaisir que je peux ressentir, grâce à un élément de ma vie.

Je connaîtrai la juste dose et donc mon juste milieu.
Ainsi, je me respecte et respecte les autres.

« Osez quelque chose de nouveau, pour découvrir quelque chose de nouveau. »

Dîtes moi en commentaire, si vous essayez de nouvelles choses dans votre vie, pour découvrir de nouvelles solutions?
Sur quoi vous vous appuyez pour tester ces nouvelles solutions?
Osez répondre, vous ne savez pas ce que vous savez pas, seule la peur et les excuses vous bloquent pour ne pas répondre. Si vous voulez changer quelque chose, alors ça commence maintenant.
Au plaisir et à très vite.

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre. »

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre’.’

C’est une expression que j’ai souvent entendu et pourtant, je n’en comprenais pas vraiment le sens. C’est seulement lorsque je me retrouvais en difficulté que les problèmes commençaient sérieusement et réellement pour moi.

Tant que tout va bien, je continue, je me fais plaisir, je prends, je prends et le reste je m’en fou. Pourtant tout à un prix et est-ce que cela j’y pense?

Je dois me rappeler qu’il y a toujours une cause à l’effet que je connais et/ou traverse. Les deux, la cause et l’effet sont liés, pourtant l’évidence n’est pas toujours claire et compréhensible. Il peut nous manquer des éléments pour arriver à cette compréhension.

Sur certains sujets, qui sont propres à chacun, il est nécessaire d’avoir des éclaircissements pour mieux comprendre et ainsi éviter les effets indésirables.

Continuer la lecture de «  »Avoir les yeux plus gros que le ventre. » »

Le Kangourou qui devient Oiseau.

Le Kangourou qui devient Oiseau.

Quel titre!?
Ce titre m’est venu lors d’un coaching.
J’aime bien raconter des histoires pour dévoiler des messages utiles à mes coachés afin qu’ils puissent être impactés et ainsi la retenir plus facilement.
Alors là, j’ai décidé de vous partager cette petite histoire.

Lors de sa naissance, ce petit être bougeait beaucoup, il allait dans tous les sens. Il avait soif de découverte et de savoir.
Cependant, son espace était restreint, il était dans un nid, il ne pouvait sortir que sous la surveillance de ses parents qui pour lui, de ce qu’il avait pu comprendre, appris et interprété sont des kangourous. Et donc ce qui fait qu’il en ait un lui aussi.

Pour se mouvoir, il n’apprit qu’à utiliser ses pattes pour se déplacer, ce qui fait qu’au plus il avancer au plus, il fortifiait ses pattes.
Son énergie était débordante, il sautait de plus en plus haut et pourtant n’arrivait pas à aspirer à ce qu’il voulait être au fond de lui.
Il ne se connaissait pas suffisamment et les échanges avec ses parents étaient pauvres.
Comme si qu’ils fuyaient des sujets de toutes leurs importances, à savoir certainement:
QUI SUIS-JE?
QUI SOMMES-NOUS?
SOMMES-NOUS CE QU’ON NOUS A DIT, APPRIT?
QUE POUVONS NOUS FAIRE D’AUTRES QUE NOUS SAVONS DÉJÀ FAIRE?

Ce qui fait qu’il ignorait, qu’elles étaient réellement ses ressources, ses forces propres. Oui, il savait faire certaines choses, mais simplement les choses qu’on lui a apprises et même obligées à faire. Lorsque la parole lui était laissée et bien cela dérangeait .

Il pensait alors avoir fait le tour de ce qu’il avait à savoir sur les kangourous, donc sûr de lui, il s’aventurait un peu plus loin, se donnait de plus grand défi, de plus grands challenges, bref toujours dans le « plus ».
De ce fait, il rencontrait du « monde » qui le regardait, l’observait, le jugeait, car ils voyaient bien qu’il était différent de ce qu’ils pouvaient voir dans leur quotidien.

A force de rencontrer du monde, il rencontra quelqu’un qui lui parla du royaume des kangourous.
C’est alors qu’il s’est intéressé avec grande attention à ce royaume et à la direction qu’il fallait prendre pour s’y rendre.
Il inscrivit tout sur un carnet et s’y rendit en suivant les indications qu’ il’avait écrites et même apprises par coeur, tellement que cela lui tenait à coeur.

Le trajet, était long, très long.
Sur la route, il rencontra du monde, beaucoup de monde, de toutes sortes, de toutes races, de toutes les couleurs. Ce qui éveilla en lui des ressentis insoupçonnés jusqu’à présent.
Il s’y rendait car il était sûr d’apprendre beaucoup plus de chose sur lui, qu’en restant de là où il venait.
Au cours, de ce trajet, un doute naissait en lui, puisqu’il fatiguait, échangeait, communiquait de tout et de rien avec ceux qu’ils rencontraient.
Et à chaque fois, on lui disait qu’il perdait son temps de vouloir se rendre là-bas, car il n’était pas un kangourou aux yeux des autres.
Certes, il sautait tel un kangourou et il n’avait que ça comme point commun.
Il avançait bien et vite pour la moyenne de ceux qu’ils rencontraient vers son résultat, qu’est le royaume des kangourous.
La différence était, qu’il n’avait en rien de la carrure d’un kangourou. Il n’était pas très grand et surtout avait des ailes atrophiées sur son dos.
Donc un doute planait en lui. Qu’importe, il était sûr d’avoir des réponses une fois à la destination.

Bien plus tard, il arriva au « royaume des kangourous ».
Et au premier abord, il se dit: « mais c’est ça des kangourous, ce n’est pas réellement ce que j’ai appris. Bon, ok ils sautent comme moi et bien plus haut donc j’ai encore à apprendre, je vais m’y mettre ».

C’est alors qu’il essaya d’entrer en contact avec d’autres kangourous, mais ils n’avaient pas de temps à lui accorder.
Il persévéra et finit par renconter un petit kangourou qui voulu bien lui accordait, du temps, de l’attention et de l’écoute.
C’est alors qu’il exposa ses questionnements.
Calmement le petit kangourou lui expliqua, ce qu’était la vie des kangourous. Et que ces derniers n’avaient pas d’ailes sur le dos.

Donc qu’est-ce que c’est? Ils y mirent tous deux de l’attention et du temps pour comprendre, ce qu’étaient que cela.
Il s’informèrent dans un premier temps chacun de leur coté pour en savoir un peu plus sur le sujet. Et c’est alors qu’ils trouvèrent des plumes au sol et à force d’en trouver et d’avancer, ils rencontrèrent des oiseaux de toutes les tailles et avec la même chose sur le dos qu’avait le soit disant « kangourou » venu au « royaume des kangourous ».

A force d’avoir essuyer les peurs et les rejets d’oiseaux. Leur persévérance fini par payer.
Ils purent avoir accès directement à une crèche d’oisillons où étaient enseignés les bases rudimentaires pour un premier vol d’oiseau.
Il y était enseigné comment déployer ses ailes, comment les refermer, comment les utiliser, comment les entretenir, jusqu’au premier cours pratique.

Il eut beaucoup de mal à s’intégrer dans la crèche d’oisillon, car c’était un adulte et donc un oiseau.
La force de ses pattes lui permettait de sauter très haut et il ne lui restait plus qu’à déployer ses ailes pour avoir les premières sensations de planer.

Ta Dam!!
C’est alors que le kangourou devint un oiseau.
Pourtant était ce le cas?

Les autres oisillons devaient prendre leur élans, sans grands résultats.
L’oiseau adulte riche de son expérience de kangourou, put alors transmettre des astuces inédites chez les oisillons, grâce à sa pédagogie, sa patience et sa persévérance.
En  procédant ainsi, il put apporter confort et réconfort chez les oisillons.

Une fois s’être instruit suffisamment et avoir intégré tout ce qu’il avait appris en lui.
Il retourna chez ses parents avec beaucoup moins de temps, qu’il ne lui a fallu pour parcourir la même distance. Car maintenant, il savait qui il était et quelles étaient ses forces et ressources propres.

Maintenant, il peut expliquer à ses parents, si ces derniers le souhaitent, que ce ne sont pas des kangourous et bien des oiseaux.
Et faire la même chose avec tous les kangourous qui sont dans cette case par défaut et qui ne sentent pas à leur place.

Il connait le processus pour savoir où trouver quoi et où trouver qui?

Si le kangourou n’avait pas bougeait de chez lui, de son confort de naissance et bien il n’aurait jamais pu explorer le ciel qui est à l’origine son terrain de jeu et son épanouissement.

Si cette histoire raisonne en vous, mettez moi un commentaire. Et si elle ne raisonne pas en vous, je suis preneur aussi puisque vous avez tous une valeur en vous que vous ignorez peut-être encore et qui ne demande qu’à Être.

Invitée: Mélodie

Invitée: Mélodie

J’ai décidé d’inviter Mélodie à nous présenter son point de vue en lui laissant libre recours à ses pensées et aux sujets que l’on a put explorer ensemble lors de nos séances de coaching.

« Que voulez-vous faire lorsque vous ne pouvez même pas imaginer qu’une chose est possible ou qu’elle existe ?
Avez-vous envie d’un fruit que vous ne connaissez ni la forme, ni le nom, dont personne ne vous a parlé et dont le goût ne ressemble à rien de ce que vous connaissez ?
La réponse est évidente.
Mais la question à se poser… Quel intérêt avons-nous à découvrir les choses dont nous n’avons même pas conscience ? Quel est l’intérêt à prendre un chemin dont nous ne connaissons pas l’issu ? Avons-nous assez de curiosité pour aller explorer cette découverte ?
Il y a une quête qui, il me semble, est universelle. La quête du bonheur.
Ne serait-ce pas une assez bonne raison pour entamer un chemin ? Avoir assez de curiosité de prendre un chemin inconnu pour voir si au bout un secret du bonheur n’est pas caché.
Êtes-vous en plein bonheur à tous les niveaux de votre vie ?
De manière profonde je parle, sans rien occulter.
De mon point de vue cet état n’existe pas, mais nous cherchons à tendre vers cela.
Si tu me le permets, je vais te tutoyer, car je souhaite te parler (écrire) de mon coeur au tien sans détour.
Aujourd’hui, dans ce premier article j’ai choisi de te parler d’un sujet qui me porte depuis toujours. Prendre conscience.
Es-tu conscient de la vie ?
De la chance que tu as de vivre, d’avoir le choix de créer ta propre vie, de la construire ?
En as-tu profondément conscience ?
Aujourd’hui je veux te dire que chaque vie est précieuse, chaque vie sur terre est un cadeau.
Si tu es parent tu sais à quel point la création d’une nouvelle vie est magnifique, tu le ressens. Si tu n’es pas parent, regardes dehors et observes toute cette vie dans la nature, sa puissance, sa beauté et ressens là !
Prends ce temps 2 minutes. Ressens la vie, sa beauté, sa puissance, les infinis possibilités qu’offre la vie.
Et maintenant, tout ce que tu as ressenti pour la vie, ressens le pour toi. Quels sont les mots que tu peux mettre sur ce que tu as ressenti ?
La bienveillance, la fascination, la beauté, l’infini, la force, magique… Tout ces mots ce sont toi.
Prends conscience que tu fais partie de ce tout. Rappel toi que tu es né d’amour. Que si tu es né, c’est que la vie en a décidé ainsi. Tu es un cadeau pour l’humanité, comme chaque être. Aimes toi, respectes toi et imposes que les autres te respectent tout comme tu le feras à leur égard.
Imagines toi comme un élément clé de la vie sur terre. Tu as la chance d’avoir une vie qui va au-delà des besoins primaires / primitifs. Par respect pour la nature, ce qu’elle te propose, ce qu’elle te permets, vis ta vie et prends la en main !
Imagines toi à la fin de ta vie, entourée de tes petits enfants. Quelle sont les histoires que tu aimerais leur conter ? Quel genre de papi ou mamie veux-tu être à leurs yeux ? Quel est le grand-parent idéal ? Que dois-tu faire pour le devenir ?
Prends conscience que la magie de la vie ne peut s’opérer que lorsque tu te mets en marche.
As-tu conscience que ta vie, c’est toi qui en détiens les clés ?
As-tu compris que tout ce qui t’arrive c’est grâce à toi, que les pires moments comme les meilleurs sont de toi ?
Mais c’est rassurant non ? Une fois qu’on le sait !!!
Mon grand chagrin, c’est que la plupart des gens meurent sans avoir eu la chance d’en prendre conscience.
Alors aujourd’hui avec mes quelques mots j’aimerais contribuer à cela. Et si 1 seule personne prends conscience de sa chance de vivre grâce à 1 phrase, alors je serais heureuse.
Comment prendre conscience ? Que faire pour prendre conscience quel que soit le sujet d’ailleurs !
Je vais te donner mon point de vue personnel.
Tout d’abord il y a d’immenses pré-requis à la prise de conscience. Il faut avoir l’ouverture d’esprit pour accueillir une information nouvelle. Sans cette ouverture d’esprit, sans curiosité envers une information inconnue ou pire : contraire à ton mode de pensée… L’information, pourtant primordiale à ta prise de conscience ricochera sans avoir l’occasion de rentrer dans ton esprit.
Les prises de consciences se font grâce aux autres. Que ce soit en les côtoyant, en lisant ou en regardant des vidéos / films.
Si jamais l’information arrive à t’atteindre, que tu l’acceptes et la comprends… Cela ne suffit pas encore.
Je reprends l’exemple de ce fruit dont tu ne pouvais même pas imaginé l’existence. Tu as pris conscience de son existence, une personne a partagé avec toi toutes ses caractéristiques et t’a donné toutes les informations sur la façon de le manger. Tu en restes là ? Ah c’est super la théorie… Qu’est-ce que ça t’apporte ? Qu’est-ce que tu vas raconter à tes petits enfants sur ce fruit ? Que quelqu’un t’a raconté un jour son goût, sa couleur, l’odeur lorsqu’on se prépare à le manger ?
Il y a une immense différence qui se fera si tu t’aventures sur le chemin pour tester par toi-même d’évoluer vers cette nouvelle prise de conscience. Par l’expérience, cette nouvelle information fera partie intégrante de ce que tu es.
Voilà ce que je voulais te transmettre ce soir avec cet article. J’espère que mes mots raisonneront pour toi, en toi.
Observes la vie qui t’entoure, rappel toi que tu fais partie de toute cette vie, que tu es en vie et que tu peux tout faire de ta vie. La clé du bonheur réside dans notre capacité à prendre conscience, alors travaillons là-dessus avant tout. »

Maintenant, si vous aussi vous voulez, vous exprimez, partagez votre vision, vos questions. Faites le, comme Mélodie, qui continue à progresser de manière fulgurante.
Donc un grand merci de pouvoir assister à cela en direct. BRAVO!!

Pourquoi ne le fait-on pas?

Pourquoi ne le fait-on pas?

Cette question veut tout dire et rien dire, pourquoi?
Il y a tout simplement un manque de clarté et de compréhension envers soi-même.
Au cours de mes nombreux coaching, j’ai remarqué que plusieurs éléments étaient présents, pour ne pas le faire.

Dans un premier temps, il est impératif de déterminer pourquoi je vais le faire et pourquoi je veux le faire, sans quoi je peux très vite me perdre dans le comment? Ou encore le quoi? Le où?
Bref, ce que je veux dire par là c’est que les chemins pour se disperser sont infinis. Donc autant mieux se raccrocher à chaque fois que possible au fil conducteur qu’est le POURQUOI?

Je vais vous faire état de certaines situations qui nous poussent à ne pas le faire:

. Lorsque nous avons pris l’habitude que l’on nous dise quoi faire et quand?
En procédant ainsi, je ne prend pas d’initiative et reste dans une forme de passivité. Donc je n’ai pas appris autre chose que cela.
Je fais ce que je sais faire.

. Attente d’approbation.
Si je décide de mettre du nouveau dans ma vie. Bien souvent, j’ai eut besoin d’approbations car je ne me sentais pas forcément à la hauteur. Ou encore qu’il soit possible que se soit une perte de temps.
Je ne voulais pas assumer cela tout seul. Alors dans ces cas là, lorsque j’arrivais à obtenir l’approbation de certaines personnes, il m’était alors plus facile de me lancer.
Sauf que bien souvent, cela ne coïncidait pas avec les attentes/envies de ceux à qui je posais la question. Et comme je ne voulais pas l’assumer seul, par peur du rejet et bien je ne le faisais pas.

. La peur du ridicule.
J’ai beau savoir que la peur du ridicule ne tue pas et pourtant combien de fois le ridicule m’a empêché de passer à l’action?
Oui, ce n’est pas confortable d’être ridiculisé. Mais que se passe-t-illorsque je le suis?
Et bien j’ai la possibilité, d’apprendre, d’en constater un résultat concret et non qu’un résultat abstrait.

. La peur d’être critiqué.
La peur d’être critiqué se rapproche au niveau des conséquences de celle de la peur du ridicule.
Maintenant, avec du recul et de l’observation, j’ai pris conscience que ceux qui le font, sont ceux qui ne font rien de nouveau et qui ne tentent rien.
Ce qui fait que pour se sentir moins seuls dans leurs cas et bien la seul façon qu’ils trouvent pour exprimer cela et de critiquer.
La critique est facile, alors que l’action est toute autre.
Plus jeune, je critiquais mes parents, mais en fait, je ne connaissais rien à leur vie du passée. Je ne comprenais pas qu’ils la reportaient inconsciemment dans mon présent. Et qu’automatiquement, le décalage entre l’avant et le présent de l’époque pouvait être conséquent.
C’était alors un peu la loi du plus fort. Et dans le rapport parents/enfants, c’est complexe car il y a un déséquilibre dès le début physiquement, puis mentalement et l’histoire qui n’est pas la même.
Cela est vrai pour mes parents et pour chaque nouvelle que je côtoie.
Chacun a son histoire et son vécu, ce qui veut dire que chacun à une projection de sa vie.
Dans ces cas là, chaque critique blesse la personne.
Cela peut-être atténué grâce à la communication, la compréhension, le lâcher prise, l’ouverture d’esprit au nouveau.

. Tourner autour du pot.
Cela se vérifie, lorsque l’on observe un manque de clarté dans les objectifs.
Ce manque, découle souvent d’un manque de moyen, qui n’est pas que financier. Par exemple ne pas pouvoir mettre un mot exact sur ce que l’on peut ressentir est dû à une insuffisance de mots pour le sujet convoité et recherché.
Chaque sujet à un lexique, un vocabulaire prédéterminé pour mieux se comprendre. En parlant d’un même sujet avec un lexique et un vocabulaire déterminé, il est évident que la compréhension ne sera pas la même.
Les mots seront différents et parfois même incompréhensible.
Cela amène donc à une phase d’apprentissage, pour pouvoir poser et mettre les mots justes pour chaque situations. En procédant ainsi, je suis plus clair ce qui implique que je ne tourne plus autour du pot.

De plus l’une des erreurs que je commettais continuellement, c’était de me renseigner auprès de mon entourage qui n’expérimentais rien de neuf. Alors comment pouvais-je avoir des résultats allant dans mon sens?

Agir, c’est bien. En conscience c’est mieux et en groupe ça l’est encore plus.
Car je peux aller plus vite en me mouvant seul. Maintenant, si je veux aller loin dans cette démarche et cette envie. Et bien j’ai tout intérêt à m’entourer de personnes semblables à moi.

Cela m’a demandé beaucoup, notamment en remise en cause.
J’ai tout remis en cause, ce qui est une erreur, car tout n’est pas à remettre en cause. Par exemples, les lois universelles telle que la loi sur la gravité n’a pas lieu d’être remise en cause. Car cela revient à aller contre la nature.
Maintenant, toutes les croyances qui ne concernent que ma personne et ma vision du monde peut être remise en cause, afin de mieux comprendre mes mécanismes internes et donc mon fonctionnement.

En aillant emprunté ce chemin, tous les jours j’évolue, je grandi, j’apprends, je rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux mots. En d’autre mots en m’autorisant, je deviens quelque part un explorateur. Un explorateur de la vie.

Ainsi en explorant la vie, je rencontre des personnes sur le même chemin que moi à un niveau donné. Ce qui fait que nous pouvons évoluer avec un même vocabulaire, une même compréhension.
Et si je rencontre des personnes qui veulent évoluer et arriver à un niveau similaire au mien et bien c’est avec plaisir que je leur enseigne ce que je sais, pour les amener à croître dans leur vie.

Maintenant, cela ne peut partir que d’une personne, « toi ».
Si tu veux grandir et apprendre un peu plus sur ton fonctionnement, je suis présent pour t’amener à évoluer.

Dites moi en commentaire, ce qui vous bloquent et vous empêchent de passer à l’action.

La patience.

La patience.

Ce mot voulait tout dire et rien dire pour moi.
Je pouvais le comprendre intellectuellement mais pas concrètement, puisque mon entourage ne me le montrait pas.
C’était donc qu’un mot parmi tant d’autres, que j’employai sans grande importance.
Pourtant il a sa raison d’être et je l’ignorais dans son sens et sa valeur.

A force d’entendre ce mot qui pour moi était évident, j’ai fini par me questionner et chercher à comprendre son sens et jusqu’à quelle mesure, il s’étendait.
Continuer la lecture de « La patience. »

Quoi faire?

Quoi faire?

A partir du moment où je me pose cette question, il y a un élément déclencheur et il y a quelque chose qui ne colle plus avec mes habitudes, la routine. Ou encore la présence d’une souffrance.

Dans ces cas là, je cherche à changer quelque chose en moi, en fonction de?
Puisqu’il y a une forme d’inégalité de présente et que je cherche à rééquilibrer pour ne plus avoir à ressentir cela.
Et bien souvent, pour résoudre cette forme de déséquilibrée, je me laisse influencer par l’extérieur, car je n’ai plus la réflexion et le réflexe interne pour la résoudre.

Pourtant, je l’avais lorsque j’étais enfant. Qu’est-ce que je veux dire par là?
Instinctivement, un enfant ne se retient pas pour exprimer quelque chose, alors que la majorité des adultes ne font que ça.
Naturellement, qu’il est compliqué de dire à son patron ouvertement qu’il nous fait chié et que ceux qui osent le faire sont pointés du doigt et donc plus grandement condamnables étant donné que la majorité ne le fait pas.
Dire tout haut, ce que les autres pensent tout bas, à un prix, que peu de monde est prêt à payer.

Autrement, ce que je veux dire par là, pour ne pas avoir de responsabilités à prendre et que je n’ai pas de réponse. Plutôt que de la chercher, je me réfugie vers la facilité. Et quoi de mieux pour se rassurer que de demander la solution à l’extérieur de sois et qui bien souvent n’a pas la réponse voulue?
Ainsi, je pourrais poser ma préoccupation à une personne extérieure à moi, qui en prendra bien souvent part à partir du moment où elle sera à notre écoute.

Maintenant, je sais aussi que certaines personnes ne nous écoutent pas car, elles estiment en avoir déjà assez à gérer avec leurs propres vies. Et c’est tout à leur honneur.
D’ailleurs, dire « non » à quelqu’un en détresse n’est pas une mince affaire à faire. Car cela revient à être pointé du doigt et d’être considéré comme sans coeur, égoïste, absent…

L’erreur que j’ai bien trop souvent commise est celle de penser pour les autres, ce qui m’amener à biaiser ma réponse.
Ma réponse dépendait d’une réponse que j’avais sous entendu en pensant à la place des autres personnes.

Ce qui fait que je donnais plus d’importance à l’extérieur de moi que pour moi.
En d’autre mots à force de penser ainsi, je m’oublier un peu plus.

Maintenant, je m’entraîne à dire de vrai « non », pour dire de vrai « oui ».
Cela demande un entraînement. Et comme dans tout entraînement, il y a des louper.
Par la suite, lorsque j’analyse les louper et que je les remets en questions alors, je peux arriver à un autre résultat que le précédent, avec lequel je peux comparer.
En procédant ainsi, je peux affiner mes résultats obtenus, grâce à la dichotomie.

« Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. »
A. Einstein

Dans ces cas là, plus je vais essayer de choses venant de moi et plus je me connaîtrais et plus je m’affinerais dans ma façon d’être et de penser.
Et ainsi, je pourrais agir plus en étant moi.

Dîtes moi, qu’est ce qui vous empêche de passer la vitesse suivante dans votre vie pour passer au niveau supérieur?
Lâcher prise, c’est perdre pour mieux se retrouver ensuite, c’est accepter ce que je ne comprends pas, c’est aussi et avant tout pour moi se faire confiance.
Car lorsque je le fais, je décide de le faire consciemment ce qui a une double valeur.

La prochaine fois, je vous parlerais de la patience, c’est un sujet qui m’a trop souvent fait défaut, alors je vous donnerais mes conseils.

Dernier article de l’année 2017, le bilan.

Dernier article de l’année 2017, le bilan.

L’année dernière, je débutais la création de mon blog en investissant dans un nom de domaine et le 31/12/2016 l’aventure commençais.

Oui, le parcours a été sinueux et semé d’embûches ce qui m’a peut-être ralenti, mais je suis toujours là.
Comme je l’entends souvent « doucement mais sûrement ».
. Alors en chiffre sur l’année j’ai fait:
– 33 articles,
– des dizaines de coaching,
– une dizaine de séminaires,
– écouté des heures d’audio,
– lu une dizaine de livre,
– créé un mastermind.

Par ailleurs coté humain, j’ai rencontré de grandes « pointures ».
J’avoue que cela à pu me déstabiliser tant l’écart pouvait être grand.

Mais j’ai gardé à l’esprit d’avancer et de toujours avancer pour ne pas avoir à perdre l’équilibre comme le dit très bien A. Einstein avec son exemple sur la bicyclette.
En allant moins vite, j’ai pu mieux négocier certain virage de ma vie, chose que je n’aurais certainement pas put faire en allant trop vite.

Et j’ai rencontré des personnes qui ont su transformer leur vie en une vie extraordinaire.
J’ai assisté à des transformations, des révélations, de personnes qui ne demandaient qu’à Être.
J’ai découvert de nouveaux lieux, Malaga, Athènes.

Tout cela a put être réaliser grâce au saut que j’ai fait avec la réalisation de ce blog.

Maintenant, l’année prochaine:
Je consolide ce que j’ai déjà entrepris et je continue de m’entourer des meilleurs pour créer une solide équipe et être présent:
– sur les réseaux sociaux
– en vidéos
– en présentiel un peu partout dans la France

D’ailleurs, n’hésitez pas à me faire part de toutes vos suggestions en commentaires.

Pour l’instant, je vous souhaite une excellente fin d’année 2017, pour laisser place à 2018.

Merci les amis et à très vite.