Dernier article de l’année 2017, le bilan.

Dernier article de l’année 2017, le bilan.

L’année dernière, je débutais la création de mon blog en investissant dans un nom de domaine et le 31/12/2016 l’aventure commençais.

Oui, le parcours a été sinueux et semé d’embûches ce qui m’a peut-être ralenti, mais je suis toujours là.
Comme je l’entends souvent « doucement mais sûrement ».
. Alors en chiffre sur l’année j’ai fait:
– 33 articles,
– des dizaines de coaching,
– une dizaine de séminaires,
– écouté des heures d’audio,
– lu une dizaine de livre,
– créé un mastermind.

Par ailleurs coté humain, j’ai rencontré de grandes « pointures ».
J’avoue que cela à pu me déstabiliser tant l’écart pouvait être grand.

Mais j’ai gardé à l’esprit d’avancer et de toujours avancer pour ne pas avoir à perdre l’équilibre comme le dit très bien A. Einstein avec son exemple sur la bicyclette.
En allant moins vite, j’ai pu mieux négocier certain virage de ma vie, chose que je n’aurais certainement pas put faire en allant trop vite.

Et j’ai rencontré des personnes qui ont su transformer leur vie en une vie extraordinaire.
J’ai assisté à des transformations, des révélations, de personnes qui ne demandaient qu’à Être.
J’ai découvert de nouveaux lieux, Malaga, Athènes.

Tout cela a put être réaliser grâce au saut que j’ai fait avec la réalisation de ce blog.

Maintenant, l’année prochaine:
Je consolide ce que j’ai déjà entrepris et je continue de m’entourer des meilleurs pour créer une solide équipe et être présent:
– sur les réseaux sociaux
– en vidéos
– en présentiel un peu partout dans la France

D’ailleurs, n’hésitez pas à me faire part de toutes vos suggestions en commentaires.

Pour l’instant, je vous souhaite une excellente fin d’année 2017, pour laisser place à 2018.

Merci les amis et à très vite.

Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous?

Pourquoi prendre le « leadership » qui est en nous?

Selon wikipédia,  « Le leadership est l’influence politique, psychologique, sociale, etc. d’un individu ou d’un groupe d’individus sur un groupe ou un autre groupe. Le leader a des compétences personnelles qui lui confèrent une différence et qui lui permet d’être écouté et suivi par un groupe de personne. »

Autrement dit, c’est une personne ou un groupe de personne prenant une direction commune.
Par ailleurs, si je décompose ce mot:
. Lead: conduire
. Leader: chef
. Ship: navire

1) Ces mots sont forts de sens, puisque si je suis seul, je décide de « conduire » en me comportant tel un « chef », mon « navire » à la destination que j’ai choisi.
2) Maintenant,  si je m’entoure de personne de spécialisée dans leur domaine et voulant arriver à la même destination que moi. Alors nous ne nous marcherons pas dessus, et nous serions tous « leader » de notre tâches à effectuer. Continuer la lecture de « Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

Merci Elisabeth et maman pour votre participation et votre réponse.

La vie récompense ceux qui passent à l’action, j’aime cette devise. En conséquent je vous offre une séance de coaching, qui vous permettra d’aller encore un peu plus loin pour votre bien-être.

Je vais vous apporter à mon tour mon point de vu, mes observations, mes apprentissages.

La comparaison est une forme de suicide car c’est vouloir faire comme…, ou se distinguer de… et donc quelque part procéder autrement et finir par ne pas être soi.
Dans ces cas là, je n’agis pas en conscience de moi mais plutôt en fonction de.
Si j’utilise continuellement ce principe et bien j’arrive à m’oublier complètement, puisque je serais toujours tenter à observer à droite et à gauche.
D’ailleurs la comparaison est aussi une forme de compétition et de classement. J’observe le résultat de quelqu’un d’autre part rapport au mien.
Maintenant, en fonction des intentions qui y sont mises, cela peut-être bénéfique ou négatif pour moi.

La comparaison vient d’où?
Cette dernière apparaît à partir du moment où il y au minimum deux individus faisant et/ou voulant un résultat qui leur serait optimal.
La comparaison leur donne ainsi des références et des bases, reflétant principalement un manque intérieur représenté bien souvent par ce manque de confiance en soi, qui à grande dose détruit l’Être.
D’où le fait que, j’ai fait état de comparaison = suicide.

Autrement, si je suis seul, je ne peux pas me comparer. Donc sur quoi je m’appui?
Si j’ai pu et su développer au préalable ma confiance en moi, alors je n’aurais plus ce besoin de me comparer pour faire.

« Je ne peux savoir que ce que j’ai appris. »

Donc comment puis-je apprendre?
Je sais que nous commençons tous notre vie avec des outils.
Et ces outils, nous avons à en prendre conscience, connaissance, à les utiliser à sa juste valeur, à les expérimenter pour se faire la main et ainsi en rendre son utilité et efficacité facile.
Car si je ne sais pas utiliser un outil que je trimbale avec moi, il m’est plus encombrant qu’utile.
Pourtant, si nous utilisons nos propres outils à leurs juste valeurs et bien nous n’aurons pas à nous comparer.
Si nous nous comparons, c’est tout simplement que je cherche à apprendre à utiliser mes outils. Et c’est là où les choses peuvent se complexifier, car lorsque je me compare, je le fais bien souvent avec quelqu’un qui maîtrise l’outil et donc l’écart peut-être grand, voir trop grand.

Nous allons voir ensemble quels sont ces outils et notamment le premier qui nous pousse à la comparaison.
J’ai une boîte à outil et vous en avez tous une, où se trouve plusieurs sens.
Normalement, pour la grande majorité du monde, nous apprenons grâce à nos  5 sens:

. La vue

. L’odorat

. L’ouïe

. Le toucher

. Le goût

Chaque sens, affine un peu plus encore la vision de ma vie, à la condition bien sûr que je les utilise.

La vue est le premier sens qui me permet de me faire une vision de ma vie.

Car juste en voyant des choses de près ou de loin, je peux, me faire ma propre interprétation, qui peut être erronée, ou vraie en fonction de mon passé.

Là où je sais faire, j’y vais tel un leader.

Par contre, là où je ne sais pas faire et bien c’est plus complexe. Si je me retrouve face à quelque chose de nouveau ou encore une situation nouvelle et bien j’arrive quelque part face à un obstacle. Donc j’observe et me compare avec les autres pour tenter par la suite de reproduire le résultat et l’adapter à moi en cas d’inconfort.

Cependant, la vue n’est pas toujours suffisante pour réussir à faire et reproduire ce que les autres font.

Ainsi je peux connaître des formes de frustrations, de jalousies, si je ne réussis pas. Et je peux collecter des étiquettes que mon entourage me colles tout au long de mon parcours de vie.
Sincèrement, les étiquettes ont tendance à coller avec le temps et c’est souvent là, où je retrouve mes croyances.

Qu’est-ce qui se passent en moi au moment où je cherche à me comparer?

Et bien je ressens une zone d’insécurité, car je ne sais pas.

Je cherche à combler cette insécurité en me comparant pour voir, déjà dans un premier temps, si j’ai tous les mêmes outils extérieurs tels que la posture et les gestes.

Lorsque je ressens cette insécurité et bien la relation est impactée avec les autres.
J’ai alors à être attentif à cela pour que l’impact ne se fasse pas ressentir.

D’ailleurs, il est possible que je ne pense pas à la comparaison et que cela soit mon extérieur qui se compare à moi et m’en fasse part.

Ce qui fait, qu’il y a une interaction qui se créée et là comment faire?

La meilleure solution que j’ai trouvée jusqu’à présent est de continuer d’avancer, car si je m’arrête je perds l’équilibre. Et je l’ai perdu bien souvent.
Mais rassurez vous, un échec ne tu pas, il rend simplement plus fort, seulement si tu en tire une leçon et que tu te relèves.
Car derrière chaque échèc, il y a une opportunité à saisir.
Maintenant, si je me compare à des personnes qui sont elles-mêmes jalousent de moi de part ce que je fais, alors je n’évolue plus dans le sens qui m’intéresse.

A ce moment-là, je ressens des émotions et les émotions que je traverse m’amènent à des efforts d’adaptations.

Pour que l’adaptation soit simple, évidente et bien j’ai à me former à apprendre comment faire et surtout comment agir en conséquence plutôt qu’à être dans la réaction.
Car c’est entrant en réaction, que je me décentre, me déséquilibre et perd pied. Ce qui fait que je me retrouve là ou le vent me mène.

Le vent est le même pour tous, il y en a simplement qui ont appris à naviguer et faire face au vent pour arriver où ils le souhaitent.

Je suis dans un monde où je ne suis pas seul, donc oui rien que pour cela je me comparerais que je le veuille ou non.
J’utiliserais simplement un outil qui est propre à chacun, celui de la vue.
Avec cet outil, je peux réaliser de très belles choses comme son contraire. Tout comme un couteau de cuisine. Tout dépend ce que j’en fait et de ce que j’en ai appris à faire.

Je vous invite à laisser un commentaire, si vous avez aimez cet article pour que je le sache et puisse éventuellement vous aider sur une thématique, un outil.
Car si vous ne me dites rien et bien j’avance.
Au plaisir et à très bientôt.