L’importance de casser son rythme.

L’importance de casser son rythme.

Cela peut sembler paradoxale et pourtant il s’y trouve une utilité. Celle de casser la routine et les habitudes afin de laisser place au nouveau.

Puisqu’il est possible qu’il existe un détail, un élément, une routine que je ne connaisse pas et qui me rendrait bien plus productif et attractif que je ne le suis pour le moment.

 »Je ne sais pas, ce que je ne sais pas. »

Qu’est-ce que je fais pour remédier à cela?

Pour ne pas  »garder tête baissée dans le guidon », il est nécessaire. De casser le rythme, de se relever et de voir ce qui se passe autour. De nouveaux chemins insoupçonnés jusqu’aujourd’hui  pour soi peuvent paraître.

Il est clair que la routine est confortable, sauf qu’elle cause bien des dégâts à la longue. Étant donné qu’elle créée des automatismes dont on en prend même plus conscience.

Alors en cassant ce rythme, je me donne un peu plus de liberté pour voir et apprivoiser ce que je ne sais pas.

En osant faire ce que je ne sais pas, je m’expose à un résultat que je ne connais pas. Et si je ne connais pas, souvent je me retranché dans mes peurs pour retrouver une part de confort.

Pour ne pas avoir à être tenté aussi facilement de se retrancher, dans ses peurs. Il est opportun d’explorer le nouveau avec un  »guide ». Ainsi quelque part, l’inconfort reste confortable.

Pour casser ce rythme, il est important de prévoir un début et une fin. Autrement, ça commence et fini quand? D’autant plus que le temps passe à une allure.

Pour la majorité d’entre nous, ce rythme, nous le cassons par le biais des vacances, en partant plus loin de chez soi. Ainsi nous découvrons et laissant place à du nouveau.

Maintenant,  certains, lorsqu’ils trouvent un lieu qu’ils aiment, ils s’y jettent dessus pour chaque vacances, pensant ainsi casser le rythme.

Effectivement, le rythme routinier est cassé, pour prendre celui des vacances. Sauf qu’une autre forme de routine naît. Nous savons où se trouve la boulangerie, les divers magasins. Nous connaissons aussi les personnes présentent dans les environs et qui elles ne bougent pas. Le nouveau, d’une année, à l’autre reste minime.

Autrement, pour connaître plus de nouvelles choses soi-même. Voyager, explorer de nouveaux lieux, de nouvelles cultures sur place, ce qui je sais, n’est pas donné à tout le monde. Même si je sais aussi que tout est possible, puisque si nous le voulons vraiment, nous pouvons y aboutir. Cela prendra et peu prendre un certain temps, étant donné que tout le monde ne pense pas ainsi. Et donc les résultats divergent, amenant une confusion et une plus grande complexité. Ce qui ne facilite en rien le nouveau car chacun se projettent leurs peurs. À ce moment là, personne ne fait rien de nouveau.

Maintenant, il existe un autre groupe de personne où le  »nouveau » est une norme. Ils expérimentent sans cesse de leur côté le  »nouveau », en explorant, en essayant de nouvelles choses.

Ce qui à pour but de laisser place à l’imagination, qui est une forme de liberté pour le corps et l’esprit.

Et à des moments bien spécifiques, une date de début et de fin est mise en place pour se retrouver et mettre en commun les nouveaux apprentissages de chacun. Ayant pour conséquence, un cercle vertueux.

Du nouveau, naît de nouvelles choses.

Après, il certain aussi que de l’ancien, il reste encore tout un choses qui n’a pas encore découvert.

C’est pourquoi tout le monde à le potentiel de réussir et d’avancer.

Avançons avec des personnes qui sont prêts et veulent avancer. Autrement, le rythme sera tellement différent qu’il y aura malaise et disharmonie.

Il m’a fallu longtemps pour me trouver et connaître mon rythme que je continue à apprivoiser pour le maîtriser encore davantage.

C’est pour cela que je m’entoure des meilleurs que je connaisse pour le moment. Et casse dès que possible mon rythme. Afin de laisser place à l’émergence de nouvelles choses.

Je vais partir en formation une semaine en Espagne pour découvrir et apprendre ce que je ne sais pas encore, ou que je n’ai pas encore implémenter en moi.

J’ai décidé d’apprendre continuellement pour découvrir ce que le monde nous réserve.

Et vous pensez vous de temps en temps à casser votre rythme ?

Si oui, comment faites vous?

 

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis. »

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis ».

Se choisir a été pour moi d’une difficulté extrême (extrême à l’infini). J’étais jeune, sans expérience professionnelle et sociale et de plus accidenté de la vie. Je pensais que mes connaissances n’étaient pas de grandes valeurs. Je ne voyais pas pourquoi je pouvais me choisir à l’époque.

Je vais vous raconter une anecdote qui m’est arrivée.

Je cherchais du travail à la sorti de mes études. J’ai postulé pour un travail de comptabilité (rien d’excitant jusque là). Il y avait 3 épreuves pour décrocher ce poste:
. Des exercices de comptabilité (ce qui est normal au vue du descriptif du poste).
. Un entretien en anglais (d’accord. Vive les voyages linguistiques!).
. Définir sa valeur en répondant à la question « pourquoi vous, plutôt qu’un autre? » (la question qui fait trembler toutes les générations de jeunes diplômés en recherche d’indépendance financière et familiale).

J’ai réussi avec brio les deux premières épreuves (ce n’est pas pour me vanter mais j’ai tout déchiré! ^^). Le dernier point a été plus complexe. Je n’ai pas réussi à dépasser l’obstacle qui était trop grand pour moi (Que voulez-vous? On ne peut pas être bon partout. ^^’).
Je ne voyais pas pourquoi je serais meilleur que quelqu’un d’autre. Pour moi,  nous avions tous le même niveau pour obtenir ce travail (Je le rappel. J’étais « jeune ». Soyez indulgent.).  Vous devinez bien que je n’ai pas eut ce travail.

J’en ai tiré une bonne leçon (mais bien plus tard dans ma vie. Sinon ce n’est pas drôle!). J’en ai conclu qu’il me manquait toute la partie compréhension et éducation nécessaires à ce moment là.

Je peux être le meilleur pour le travail qui m’est proposé et je dois me différencier des autres concurrents, partenaires, camarades pour trouver ma place. En ne trouvant pas ma place, je ne me sentirai jamais à ma place. Je partais du principe que ce serait les autres qui m’aideraient à trouver ma place.

Dans un premier temps, en ayant eut ce raisonnement, je me retrouvais dépendant. Prisonnier du regard et des avis des autres. Mon estime personnelle était en chute libre . Je me rendais complètement dépendant de l’extérieur. Je me dévalorisé (et j’étais doué pour ça à l’époque. Mais ça c’était avant!).

J’ai eut la chance de rencontrer des personnes qui m’ont permis de me rassurer Je ne le dirais jamais assez mais MERCI!). Ils m’ont appris à prendre conscience de ma valeur. Les lectures d’ouvrages spécifiques m’ont également aidé à surmonter les moment les plus douloureux de ma vie.
Une processus long pour montrer ma valeur: « se choisir soi et non les autres ».

J’ai découverts qu’en suivant les conseils des autres, pour leur satisfaction personnelle, m’a amené à laisser de côté mes valeurs. J’étais devenu un étranger à mes yeux.
Je pensais être uniquement ce que mon extérieur percevait de moi.

Grâce à toutes mes mésaventures, j’ai fini par comprendre que j’existai et que l’existence n’admet aucun représentant.
Si je voulais ma place, je devais tout simplement la prendre. Je devais ME choisir pour AVANCER.

Maintenant, ce choix là, à des conséquences aussi bien positives que négatives. A la seule différence, c’est que je sais pourquoi je le fais et surtout pour qui je fait avant tout.

Les conséquences positives:
– Ma confiance croît dans le temps.
– Ma certitude se développe.
– Je choisi un milieu qui me convient.
– Je rencontre des personnes que je comprends et avec qui je peux m’ouvrir sans peur.
– J’inspire du monde pour être ce que je suis.
– Des personnes misent sur moi.

Les conséquences négatives:
– Je suis critiqué.
– Je suis pointé du doigt.
– Je suis rejeté et donc souvent seul, tant que je n’ai pas trouvé.
– Je suis bien souvent en minorité, pour ne pas dire tout le temps, car je suis 24/24h avec moi. Ce qui fait que je dois trouver du temps pour moi et avec moi.

Le fait d’arriver à cela m’amène à m’auto discipliner et à grandir.
Je deviens responsable de mon bonheur ou de mon malheur.
Dans tous les cas, je finis par me rendre compte que les conséquences négatives m’aident à grandir, en les traversant et non les fuir.
Quant aux conséquences positives, elles me rassurent et me confortent sur mon avancée.

Si tout va bien, je suis l’auteur de cela.
Et si je rencontre des challenges de vie, des difficultés, des problèmes, des ennuis, j’en suis également responsable et je dois me rappeler que j’en suis aussi l’auteur. Pour me donner la force de changer la situation.

En disant que c’est les autres qui sont à l’origine de ma douleur ou de mon malheur je m’enlève de la responsabilité et donc du pouvoir. Ce qui a pour conséquence d’amoindrir mon estime personnelle et d’engendrer une perte de confiance, une perte d’envie ou encore une perte de vitalité.

A la longue, ce cocktail que j’ai souvent trop pris, faute de ne pas me connaître suffisamment, du au fait que je ne prenais ni le temps de me découvrir, ni celui de me connaître ou encore de simplement passer du temps avec moi, je n’arrivais à rien de durable sur le long terme.
Sur du cours terme, je pensais être dans la bonne voie car j’avais de bon retour de l’extérieur et de mauvais retour de l’intérieur. A savoir que mon corps, était sans cesse entrain de me faire des « feedbacks », des retours.

Je connaissais des maladies, des douleurs, des allergies que je « snobais », ou taisais avec des médicaments. Sauf que la nature fini par reprendre ses droits et comme mon corps fait parti de la nature, alors c’est lui qui fini par gagner devant mon mental.

En finissant par me choisir, j’ai fini par comprendre cela étant donné que je me retrouvais face à moi même et à mes douleurs et ou maladie.
Je ne pouvais pas dire que c’était de la faute des autres puisqu’il n’y avait que moi qui vivait ce malaise, qui au fil du temps c’est affiné.
Grâce à ma persévérance et mon envie de comprendre, j’ai fini par remonter en comprenant un peu plus ce que je ne comprenais pas avant.
A vrai dire, j’étais entrain de me découvrir un peu plus et le malaise que je pouvais ressentir avant, n’était qu’une forme de mal-être.

J’étais étranger à moi-même. Je n’y croyais pas au début, mais au plus j’avançais et au plus je faisais ce que je choisissais au mieux je me sentais présent et fier de moi.

Maintenant, j’ai de plus en plus conscience de ce que je suis et de la valeur que j’ai en moi.

Je m’aperçois que j’emprunte une voie qui a très peu de trace de pas, donc le celui-ci est peu connu car peu emprunté. Par contre les choses qui s’y cachent sont simplement sensationnelles.
Je vis des choses hors normes et je vous souhaites au minimum la même chose si ce n’est mieux.

Il n’y a rien de plus beau que de vivre sa vie.

 

Qui suis-je, si je change?

Qui suis-je, si je change?

« Changer » est un mot simple et pourtant complexe à mettre en oeuvre, car pour qu’il prenne tout son sens, il doit être suivi d’une action, autrement rien a changé, ne change et ne changera.

Selon le Larousse « changer » peut être définit comme suit:
« Céder quelque chose pour autre chose, l’échanger : Changer des livres contre des disques.
Convertir une monnaie en une autre monnaie, échanger une somme d’argent contre une même somme en pièces ou en billets de valeurs différentes : Changer des dollars en yens.
Remplacer quelque chose, quelqu’un par quelque chose, quelqu’un d’autre de même nature, de même fonction : Changer les assiettes. Changer le caissier d’une banque.
Remplacer quelqu’un, quelque chose par quelqu’un, quelque chose d’autre de même apparence, par malveillance ou malhonnêteté : Elle est persuadée que le bijoutier a changé les pierres de sa bague.
Mettre quelqu’un, quelque chose à un autre poste, etc. : Vous gênez ici, changez votre voiture de place.
Transformer quelque chose, quelqu’un en quelque chose ou quelqu’un d’autre, le faire passer à un autre état : Les alchimistes tentaient de changer certains métaux en or.
Mettre des couches propres à un bébé, du linge propre à un enfant, à un malade.
Modifier quelque chose, quelqu’un, le rendre différent : Changer le sens d’une phrase. Cette nouvelle coiffure la change complètement.
Faire sortir quelqu’un de ses habitudes, rompre la monotonie de ses activités et, en particulier, le distraire : Vous devriez accepter cette proposition de voyage, cela vous changerait un peu. »

Continuer la lecture de « Qui suis-je, si je change? »

Alalala à qui ça n’arrive pas?

Alalala à qui ça n’arrive pas?

Je me concentre pour bien faire les choses, que j’en oublie le temps, l’extérieur et les à cotés tellement que je suis absorbé par ce que je fais.
Jusqu’au moment où survient… quelque chose, et pour cette fois, pour moi, un bug informatique qui entraîne un arrêt de mon ordinateur avec tout mon article de rédiger qui se volatilise en une fraction de seconde.
Naturellement, je le sais que je dois enregistrer au fur et à mesure et pourtant, je ne pensais pas que cela m’arriverait maintenant.

C’est un événement qui m’a ramené très vite à la réalité, avec tout son lot de frustration, de stress à gérer. Et au plus je mets de temps à gérer cela au moins je peux rebondir et repartir rapidement.

Lorsque je dis, « gérer cela », c’est déjà de prendre conscience de ce qui m’est arrivé pour en faire un constat et voir d’où est ce que je peux repartir.
Le degré à gérer n’est pas le même si je dois repartir de zéro, ou si je dois repartir de là où j’en étais.

Et bien là, c’était de repartir à zéro. Donc super!! C’est une opportunité, un cadeau, même si je ne le vois pas encore, je sais que c’est le cas.
En me disant cela, je cherche à me rassurer et à me convaincre. Je me le répète plusieurs fois, jusqu’à ce que mon cerveau, mon esprit, mon corps finissent par s’apaiser.

Continuer la lecture de « Alalala à qui ça n’arrive pas? »

Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix.

Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix?

Je vais commencer par définir les deux « ingrédients », indispensables de cette question.

La « violence », selon wikipédia est « l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d’éléments naturels. »

La « paix », selon wikipédia est « un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l’absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond aussi à un idéal social et politique. »

La majorité des personnes fuit la violence et j’en étais l’un des premiers car la société dans laquelle je vis la condamne.
Je suivais le mouvement et la condamnais à mon tour, ce qui m’amenais à ne vouloir que la paix. Continuer la lecture de « Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix. »