Gratitude pour ce que je suis.

Gratitude pour ce que je suis.

Je ne me suis quasiment jamais dis que  »je suis fier de moi », alors que je vis 24/24h avec moi. Et pourtant je suis la personne la plus importante à mes yeux pour avancer.

C’est pourquoi  je décide de me dédier une lettre de gratitude. Car si personne ne me dit exactement ce que je veux entendre qui mieux que moi peux me les dire.

Je m’aperçois que cela n’est pas aussi évident de se féliciter soi même. Bref, je me lance:

Woah, je suis fier de moi lorsque je vois le chemin que j’ai parcouru depuis l’accident que j’ai connu le 22/10/2006.

C’est moi qui me suis bougé, puisque les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Oui j’ai beaucoup payé pour les conseilleurs et mangé la poussière, ou leur poussière. Aujourd’hui, je m’enfou, puisque j’avance vers moi.

Et quelle fierté de l’avoir fait et de mettre relevé pour continuer d’avancer vers un chemin inconnu.

Oui je suis fier de moi car j’ai fini par réussir à me poser les bonnes questions où plutôt à me faire confiance et ainsi répondre moi même à mes questions.

Oui j’ai réussi à répondre moi même à mes questions. Ainsi! Je me suis comporté à la fois comme élève et maître.

Oui souvent, j’ai été critiqué, rabaissé, humilié, jusquà un point où je voulais tout abandonné et baissé mes bras. Pourtant, j’ai fait tout autre chose, le jour où je me suis fais confiance.

Je suis plein de gratitude d’avoir pris cette décision, qui était de me choisir. Au début, je sais que cette décision était plus que flou pour moi, car je ne me faisais pas suffisament confiance. Elle m’a bloqué à plusieurs reprises. Je ne me sentais pas légitime et sans accord préalable, ni le conseil pour foncer vers cette décision. J’y suis allé les yeux fermés.

J’ai écouté mon coeur et c’est la plus belle chose que j’ai faite. Puisque là, j’ai découvert de fabuleuses personnes. Ce qui fait  qu’au bout d’un moment, j’ai fini par comprendre que je devais arrêter de fuir et de courir à droite et à gauche  pour voir, apprendre, apprivoiser et découvrir qui j’étais vraiment.

A force de me découvrir un peu plus  chaque jour, grâce aux divers espaces temps que je n’accordais que pour moi. J’ai fini par m’aimer pour de vrai et comprendre qu’en toutes circonstanceses et à tous moments, j’étais à la bonne place.

A partir de là, je me suis relaxé, relâché et ainsi pu avancer plus sereinement. Aujourd’hui, après apprentissages et expériences, je sais que cela s’appelle l’estime de soi.

Je l’ignorai, mais grâce à mon éducation et ma personnalité de chercheur je retrouve ce qui m’anime, tel un aventurier qui cherche à redémarrer un feu à l’aide d’une infime petite braise, que seule lui perçoit et ressent.

Aujourd’hui grâce à mon opiniâtreté,  je suis ce que je suis. Content, c’est bien et pas content c’est pareil, donc j’apprend à m’aimer encore un pleut plus chaque jour, pour renforcer mon estime de moi et mon amour propre.

Je suis fier de moi, car j’ai décidé de passer à l’action et de créer ce qui me correspond pleinement. J’ai alors cherché qui j’étais au fond de moi par le biais  de formations et ensuite j’ai créé mon  entreprise.

Je suis fier de pouvoir vivre mes rêves aux travers des plaisirs et des souffrances que je génères.

Je suis plein de gratitude d’avoir découvert au cours de toutes mes expériences que mon maître est la VIE et que je l’Aime.

A partir du moment où, j’ai aimé la vie, j’ai pris conscience que je fais parti de la VIE.  Ce qui revient à me dire que JE M’AIME.

Woah, le chemin pour en arriver jusque-là, à été long, pas sans dommage, mais le résultat est sensationnel. L’explique avec juste des mots c’est délicat, ça ne peut que se vivre. Car qui mieux que m’Aimer comme je l’entends, le vois et le ressens.

Cette histoire d’Amour, et la plus belle qui puisse exister et m’arriver, car elle durera jusqu’à la fin de ma VIE.

Je suis fier de Moi, Jérôme.  Je m’Aime.

Merci d’Être à mes côtés pour vivre toutes mes AVENTURES.  Je me croyais tellement seul, alors que je suis avec moi.

Merci d’avoir cesser de regarder les autres pour enfin me regarder Moi.

Merci je m’Aime, bien plus que je ne pouvais le penser au début.

Merci Jérôme de m’avoir choisi, de me supporter, de me soutenir, d’avancer… j’ai un corps parfait pour réaliser ce que j’ai à faire sur cette planète.

Je suis plein de gratitude d’avoir les forces et faiblesses que j’ai, car cela rend l’homme que je suis aujourd’HUI.

WOAH!!! Let chemin de l’amour de soi est le plus beau chemin que vous puissiez trouver et PARCOURIR.

L’avez vous découvert où pas encore?

 

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

C’est un sujet sur lequel, je voulais revenir pour aussi bien y ajouter plus de détails, que pour l’élargir.
Je sais qu’en faisant cela, j’ai aussi quelque part les yeux plus gros que le ventre.

Maintenant, je me rends compte que cette expressions à des avantages que je ne percevais pas réellement dans le passé et qui a créé au cours du temps, une addiction inconsciente. D’où le fait que cela puisse être, plus fort que moi par moment.

Lorsque j’ai « les yeux plus gros que le ventre » et bien, quelque part, je marque et accentue une différence. Une différence que je fini par m’approprier.

La différence attire ou repousse, dans tous les cas, elle attire de « l’attention » et pas n’importe qu’elle attention, puisqu’il s’agit de l’attention des personnes qui m’entourent.
Ensuite cette « attention », qui m’est donnée entraîne une réaction et donc un résultat qui a un impact sur moi.
Ce résultat correspond soit à de l’attirance, soit à un forme de répulsion.

Cela à pour conséquence d’Être influencer en fonction de l’extérieur.
Car si je ne suis pas ancré, posé, déterminé et sûr de ce que je veux dans ma vie et pour ma vie. J’agirai pour les autres et en fonction des autres.

De plus, comme je souffre suffisamment comme cela en « ayant eut les yeux plus gros que le ventre » j’ai un prix à payer.
Dans ces cas là, je vais éviter ceux qui me repoussent pour ne pas avoir à souffrir et payer plus.
Ce qui fait que je vais naturellement me diriger vers ceux qui m’attirent pour ainsi supporter, un peu plus la souffrance que j’ai infligée à mon corps, en ne le respectant pas et en lui donnant plus qu’il ne le pouvait.
En procédant ainsi, je ne serais plus seul à porter le poids de ma souffrance.
Je me sentirai soutenu ou du moins j’en aurais la croyance. Je me rendrai ainsi dépendant de cette croyance, m’amenant à me limiter un peu plus.

En repensant à cela, je m’aperçois que tout cela est parti de moi,
Je n’arrive pas à exprimer ce que je veux vraiment, car je ne me connais pas suffisamment.
Ce qui fait que là ou j’aime un peu, ou ait la sensation d’aimer, puisque cela entraîne des réactions auprès des autres que j’apprécient.
Alors j’en fais trop!!! Pour augmenter cette sensation de plaisir.

Cela je peux et j’ai pu l’observer dans de nombreux domaine de vie.

Au début j’étais pris dans cet engrenage qui est une véritable prison, cercle vicieux. Dont je ne trouvais pas l’issu.
Et pourtant, j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison. Je ne voulais surtout pas l’admettre et donc qu’est ce que je faisais?
Je me voilais la face!!! En m’en rajoutant, toujours plus et en m’oubliant toujours plus.

Ce qui fait, que j’oubliais complètement, que j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison.
Entre ma naissance et aujourd’hui, j’avais tout simplement oublié que je connaissais les plans et que j’avais les clefs. Je ne me préoccupé plus que j’avais tout cela en ma possession car je ne savais même plus que je le savais.

Souvent, il m’est arrivé dans le passé de me rendre compte rapidement, que je n’avais plus mes clefs, ou encore que j’étais perdu dans une ville.
A ce moment là, je mettais rapidement mon attention pour les retrouver ou me retrouver.
Maintenant, si cela dur dans le temps, je m’aperçois que je me réfère et compte sur l’extérieur de moi, pour trouver la solution.
Et la solution donnée ne me convient pas parfaitement, car il s’agit bien souvent d’une solution de secours, créé dans l’urgence.

Je ne prends plus le temps, pour comprendre ma souffrance, mes manques, mes envies profondes. Je me laisse influencé par des solutions de secours, qui normalement ne devraient intervenir qu’en cas d’extrême urgence, ou la vie et plus exactement ma propre vie est en jeu.

Au lieu de cela, je joue avec ma propre vie en ne la respectant pas.
Je fais comme si que je suis perdu dans un corps où j’y habite 24h/24 et durant toute l’année. Donc logiquement, je devrais prendre le temps, d’explorer ce que j’ai déjà pour emprunté ou créer des propres chemins internes à moi.

Je reste tout de même l’architecte de ma vie.
Tout ce que je peux changer dans ma vie, alors je le change pour me respecter, pour être en phase avec moi et ainsi ne plus être dans l’abus de ce que je suis.

Car si je ne fais pas le boulot maintenant et plus je vais avancer dans le temps, en âge, en expérience et plus je ne me souviendrais plus de ce que je suis réellement, de mon « architecture », de mon « moi ».
Etant donné que ceux qui m’auront aidé à porter ma souffrance, ne m’auront pas forcément aidé à la transformer ma souffrance. Pour cause qu’ils ne savent pas comment faire?

Je ne peux savoir que ce que j’ai appris, donc si je reste avec des personnes qui ne savent pas comment faire, alors je ne serais pas comment faire non plus et je continuerai à évoluer dans la vie avec des personnes qui ne savent pas comment faire?

Est-ce de leur fautes? Ou de la mienne?

Si je ne peux pas changer les autres, parce que je n’ai pas de pouvoirs sur eux.
Alors, je peux essayer de me changer, en apprenant ce que je ne sais pas, en explorant ce que je ne connais pas. Et comment?

En osant!! Je l’ai dit dans le sous titre de mon blog « code de la vie »: « La vie récompense ceux qui osent ».

En osant, je me redécouvrirai un peu plus, jusqu’à me souvenir de mes plans, de mon architecture, des raccourcis, du lieu exact où se trouve mes clés.
Ce qui fait que j’aurais connaissance de tous les éléments pour sortir de la prison dans laquelle, je me suis installé.

Dans ces cas là, je n’aurais plus besoin d’avoir « les yeux plus gros que le ventre » pour faire durer la sensation de plaisir que je peux ressentir, grâce à un élément de ma vie.

Je connaîtrai la juste dose et donc mon juste milieu.
Ainsi, je me respecte et respecte les autres.

« Osez quelque chose de nouveau, pour découvrir quelque chose de nouveau. »

Dîtes moi en commentaire, si vous essayez de nouvelles choses dans votre vie, pour découvrir de nouvelles solutions?
Sur quoi vous vous appuyez pour tester ces nouvelles solutions?
Osez répondre, vous ne savez pas ce que vous savez pas, seule la peur et les excuses vous bloquent pour ne pas répondre. Si vous voulez changer quelque chose, alors ça commence maintenant.
Au plaisir et à très vite.

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre. »

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre’.’

C’est une expression que j’ai souvent entendu et pourtant, je n’en comprenais pas vraiment le sens. C’est seulement lorsque je me retrouvais en difficulté que les problèmes commençaient sérieusement et réellement pour moi.

Tant que tout va bien, je continue, je me fais plaisir, je prends, je prends et le reste je m’en fou. Pourtant tout à un prix et est-ce que cela j’y pense?

Je dois me rappeler qu’il y a toujours une cause à l’effet que je connais et/ou traverse. Les deux, la cause et l’effet sont liés, pourtant l’évidence n’est pas toujours claire et compréhensible. Il peut nous manquer des éléments pour arriver à cette compréhension.

Sur certains sujets, qui sont propres à chacun, il est nécessaire d’avoir des éclaircissements pour mieux comprendre et ainsi éviter les effets indésirables.

Continuer la lecture de «  »Avoir les yeux plus gros que le ventre. » »

Le Kangourou qui devient Oiseau.

Le Kangourou qui devient Oiseau.

Quel titre!?
Ce titre m’est venu lors d’un coaching.
J’aime bien raconter des histoires pour dévoiler des messages utiles à mes coachés afin qu’ils puissent être impactés et ainsi la retenir plus facilement.
Alors là, j’ai décidé de vous partager cette petite histoire.

Lors de sa naissance, ce petit être bougeait beaucoup, il allait dans tous les sens. Il avait soif de découverte et de savoir.
Cependant, son espace était restreint, il était dans un nid, il ne pouvait sortir que sous la surveillance de ses parents qui pour lui, de ce qu’il avait pu comprendre, appris et interprété sont des kangourous. Et donc ce qui fait qu’il en ait un lui aussi.

Pour se mouvoir, il n’apprit qu’à utiliser ses pattes pour se déplacer, ce qui fait qu’au plus il avancer au plus, il fortifiait ses pattes.
Son énergie était débordante, il sautait de plus en plus haut et pourtant n’arrivait pas à aspirer à ce qu’il voulait être au fond de lui.
Il ne se connaissait pas suffisamment et les échanges avec ses parents étaient pauvres.
Comme si qu’ils fuyaient des sujets de toutes leurs importances, à savoir certainement:
QUI SUIS-JE?
QUI SOMMES-NOUS?
SOMMES-NOUS CE QU’ON NOUS A DIT, APPRIT?
QUE POUVONS NOUS FAIRE D’AUTRES QUE NOUS SAVONS DÉJÀ FAIRE?

Ce qui fait qu’il ignorait, qu’elles étaient réellement ses ressources, ses forces propres. Oui, il savait faire certaines choses, mais simplement les choses qu’on lui a apprises et même obligées à faire. Lorsque la parole lui était laissée et bien cela dérangeait .

Il pensait alors avoir fait le tour de ce qu’il avait à savoir sur les kangourous, donc sûr de lui, il s’aventurait un peu plus loin, se donnait de plus grand défi, de plus grands challenges, bref toujours dans le « plus ».
De ce fait, il rencontrait du « monde » qui le regardait, l’observait, le jugeait, car ils voyaient bien qu’il était différent de ce qu’ils pouvaient voir dans leur quotidien.

A force de rencontrer du monde, il rencontra quelqu’un qui lui parla du royaume des kangourous.
C’est alors qu’il s’est intéressé avec grande attention à ce royaume et à la direction qu’il fallait prendre pour s’y rendre.
Il inscrivit tout sur un carnet et s’y rendit en suivant les indications qu’ il’avait écrites et même apprises par coeur, tellement que cela lui tenait à coeur.

Le trajet, était long, très long.
Sur la route, il rencontra du monde, beaucoup de monde, de toutes sortes, de toutes races, de toutes les couleurs. Ce qui éveilla en lui des ressentis insoupçonnés jusqu’à présent.
Il s’y rendait car il était sûr d’apprendre beaucoup plus de chose sur lui, qu’en restant de là où il venait.
Au cours, de ce trajet, un doute naissait en lui, puisqu’il fatiguait, échangeait, communiquait de tout et de rien avec ceux qu’ils rencontraient.
Et à chaque fois, on lui disait qu’il perdait son temps de vouloir se rendre là-bas, car il n’était pas un kangourou aux yeux des autres.
Certes, il sautait tel un kangourou et il n’avait que ça comme point commun.
Il avançait bien et vite pour la moyenne de ceux qu’ils rencontraient vers son résultat, qu’est le royaume des kangourous.
La différence était, qu’il n’avait en rien de la carrure d’un kangourou. Il n’était pas très grand et surtout avait des ailes atrophiées sur son dos.
Donc un doute planait en lui. Qu’importe, il était sûr d’avoir des réponses une fois à la destination.

Bien plus tard, il arriva au « royaume des kangourous ».
Et au premier abord, il se dit: « mais c’est ça des kangourous, ce n’est pas réellement ce que j’ai appris. Bon, ok ils sautent comme moi et bien plus haut donc j’ai encore à apprendre, je vais m’y mettre ».

C’est alors qu’il essaya d’entrer en contact avec d’autres kangourous, mais ils n’avaient pas de temps à lui accorder.
Il persévéra et finit par renconter un petit kangourou qui voulu bien lui accordait, du temps, de l’attention et de l’écoute.
C’est alors qu’il exposa ses questionnements.
Calmement le petit kangourou lui expliqua, ce qu’était la vie des kangourous. Et que ces derniers n’avaient pas d’ailes sur le dos.

Donc qu’est-ce que c’est? Ils y mirent tous deux de l’attention et du temps pour comprendre, ce qu’étaient que cela.
Il s’informèrent dans un premier temps chacun de leur coté pour en savoir un peu plus sur le sujet. Et c’est alors qu’ils trouvèrent des plumes au sol et à force d’en trouver et d’avancer, ils rencontrèrent des oiseaux de toutes les tailles et avec la même chose sur le dos qu’avait le soit disant « kangourou » venu au « royaume des kangourous ».

A force d’avoir essuyer les peurs et les rejets d’oiseaux. Leur persévérance fini par payer.
Ils purent avoir accès directement à une crèche d’oisillons où étaient enseignés les bases rudimentaires pour un premier vol d’oiseau.
Il y était enseigné comment déployer ses ailes, comment les refermer, comment les utiliser, comment les entretenir, jusqu’au premier cours pratique.

Il eut beaucoup de mal à s’intégrer dans la crèche d’oisillon, car c’était un adulte et donc un oiseau.
La force de ses pattes lui permettait de sauter très haut et il ne lui restait plus qu’à déployer ses ailes pour avoir les premières sensations de planer.

Ta Dam!!
C’est alors que le kangourou devint un oiseau.
Pourtant était ce le cas?

Les autres oisillons devaient prendre leur élans, sans grands résultats.
L’oiseau adulte riche de son expérience de kangourou, put alors transmettre des astuces inédites chez les oisillons, grâce à sa pédagogie, sa patience et sa persévérance.
En  procédant ainsi, il put apporter confort et réconfort chez les oisillons.

Une fois s’être instruit suffisamment et avoir intégré tout ce qu’il avait appris en lui.
Il retourna chez ses parents avec beaucoup moins de temps, qu’il ne lui a fallu pour parcourir la même distance. Car maintenant, il savait qui il était et quelles étaient ses forces et ressources propres.

Maintenant, il peut expliquer à ses parents, si ces derniers le souhaitent, que ce ne sont pas des kangourous et bien des oiseaux.
Et faire la même chose avec tous les kangourous qui sont dans cette case par défaut et qui ne sentent pas à leur place.

Il connait le processus pour savoir où trouver quoi et où trouver qui?

Si le kangourou n’avait pas bougeait de chez lui, de son confort de naissance et bien il n’aurait jamais pu explorer le ciel qui est à l’origine son terrain de jeu et son épanouissement.

Si cette histoire raisonne en vous, mettez moi un commentaire. Et si elle ne raisonne pas en vous, je suis preneur aussi puisque vous avez tous une valeur en vous que vous ignorez peut-être encore et qui ne demande qu’à Être.