Une erreur incontournable à enlever pour réussir.
Jusqu’ici, c’est une erreur que j’ai bien souvent trop faite et qui m’a conduit à bien des complexités. Ce que je ne découvrais qu’une fois l’avoir faite.
À l’époque, j’avais un égo surdimensionné, que je ne voulais surtout pas m’avouer, pour différentes raisons :
. Je ne le savais pas, car je ne savais pas que cela s’appelait comme cela.
. Par peur de sembler faible et pas à la hauteur aux yeux des autres. Mais surtout à mes yeux par ce que je mettais formé et savais intellectuellement. La pression que je m’imposais inconsciemment était énorme, j’étais tel, une bombe à retardement.
. Pour ne pas changer de chemin, de voie. Je ne voulais absolument pas tout remettre en cause ce que je savais déjà. Car je présupposais que cela me créerai plus d’inconvénients que d’avantages.
Alors je ne changerai rien à mon mode de fonctionnement, qui devenait de plus en plus pesant pour moi.
Sauf qu’au plus j’attendais et plus la pression montait sans que je ne m’en rende compte. Car ce que je faisais aux yeux d’autres personnes étaient extraordinaires.
Je m’étais habitué à cela sans pour autant être heureux.
Je ressentais un réel goût de » pas assez » et » d’insatisfaction ». J’étais devenu un véritable intra face à la vie et surtout face à moi. J’étais bloqué frustré pour quelque chose, dont lequel, je n’arrivais pas à mettre de mot.
J’étais dans un challenge sans mot, ce qui fait que ma pression interne augmentait sans cesse. Je courrais après un véritable mirage dont je n’avais pas consciencence et dont mots m’échappaient.
Pourtant la réponse m’avait peut être déjà était donnée dans le passé. Mais je ne pouvais pas la voir, ou ne voulais pas la voir, ou l’assumer à ce moment là.
Il me manquait des outils, de compréhensions, de pratiques, d’initiatives, de lexique.
J’étais perdu dans ce shéma. Plutôt que de vouloir le casser, le plus rapidement possible, je l’entretenais inconsciemment et me plaignais de quelques choses dont je n’arrivais franchement pas à verbaliser. Ce qui avait pour conséquences des tensions, divers symptômes, tel que des maux de dos, de crâne.
Quelle peut bien être cette erreur ?
J’aurais kiffer à l’époque avoir des pistes de réflexion, des indices pour approcher une meilleure compréhension de ce que je ne maîtrisais absolument pas et dont j’en avais une peur exacerbée.
Je ne savais pas, donc je courrais continuellement après le » savoir ».
Je pensais savoir des choses et ainsi avoir une forme de légétimitée. Pourtant, il n’en n’étais rien car je ne mettais que très en pratique. Il est certain que je ne pouvais aller bien plus loin.
Par contre, lui, le »savoir » est infini car en perpétuelle mutation.
Ce qui fait qu’en courant après ce dernier, je ne prends pas le temps d’aller jusqu’au bout, car de nouveaux »savoirs » aussi intéressants, les uns que les autres naissent et meurt tous les jours.
Ce qui fait qu’il n’y a pas réellement de début et de fin face à cela.
Donc on en vient à cette fameuse erreur à ne pas faire pour réussir.
Il s’agit de ne pas s’éparpillaient à trop grandes échelles dans le savoir. Mais plutôt d’apprendre à le maîtriser, pour savoir quand est venu le moment d’accélérer ou de freiner et focus sur une taches qui me convient et l’animent intérieurement en moi.
Car au début, je ne savais pas cela et donc je pensais qu’à l’époque pour aller le plus possible, il s’agissait de rester appuyer sur l’accélérateur pour avancer.
Et bien c’est là le meilleur moyen de finir dans le décor et de se perdre un peu plus chaque jour.
Étant donné que si j’élargi mon champs de connaissances, j’élargi, mon terrain de jeu.
Mathématiquement plus le terrain est grand plus la possibilité de rencontrer des embûches l’est tout autant.
Je vais apprendre à maîtriser l’outil de l’accélérateur et du frein pour mieux ressentir et vivre avec moi.
Et surtout rester focus sur une tâche avant d’en passer à une autre.
Comme cela, je n’ai pas à m’éparpiller, à mélanger dans l’apprentissage ce que je ne maitrima pas.
Comme cela en procédant ainsi, j’ai moins de choses à gérer, laissant ainsi plus de place à un et un seul sujet. Et de passer plus calmement de la théorie à la pratique par le biais de la répétition.
Et vous comment gérer vous, l’outil du frein et de l’accélérateur ?
Utilisez vous plutôt le frein, l’accélérateur ou un mix des deux ? Dites le moi en commentaire et ce que vous en retirez piup vous ?
Au plaisir et à très bientôt.