La traversée du désert.
La traversée est un bien grand mot qui peut faire peur et pourquoi donc?
Pour vous expliquez, ou encore vous retranscrire au mieux cela.
Nous allons voir comment la « traversée », peut-être perçue et ressentie en soi et je vais définir ce mot grâce à l’aide du dictionnaire de l’internaute. Dans un but de rendre les choses évidentes, simples et claires. Tout du moins, je vais essayer.
Le même processus sera employé pour le mot « désert ».
Et enfin, je vous donnerez quelques astuces afin que cette traversée du désert soit la plus confortable possible. Et autrement dit voir comment la rendre moins pénible possible.
Allez c’est partie nous commençons une première traversée déjà avec cet article.
Alors selon le dictionnaire de l’internaute:
« Traversée, nom féminin:
Action de traverser une étendue d’eau, un pays, un désert, un espace… d’un bout à l’autre. Trajet ainsi fait.
Synonymes : voyage, franchissement »
A cela, je vais y rajouter un sens à cette expression, relevée aussi dans le dictionnaire de l’internaute. Ceci ayant pour objectif de se plonger encore un peu plus dans ce mot et ainsi découvrir les secrets qui s’y cachent.
« Formule employée pour parler d’une période longue et difficile dans la carrière d’une personnalité publique. »
« Sans musique, la vie ressemble à une traversée du désert. »
Pat Conroy
« Désert, Adjectif, nom masculin:
Région aride peu habitée, où la faune et la flore sont quasiment inexistantes. »
Ce que je peux déjà en ressortir avec ces deux définitions sont quelques mots:
« étendu, eau, espace, d’un bout à l’autre, aride, peu habitée, inexistantes »
Ces mots ne sont pas très appétissants au premier coup d’oeil et cela ne donne vraiment pas envie d’entamer ou de débuter un tel plat ou chemin. Tout dépend de ce que l’on y met derrière.
Dans tous les cas, ces deux mots expriment et me font ressentir une part d’aventure et surtout beaucoup de choses, d’éléments, des situations inconnus.
Nous avons là, un excellent cocktail pour ne pas passer à l’action et ainsi de rester « pépère » dans l’inaction ou encore une forme d’action qui à la longue est devenue habituelle et donc facile à réaliser.
Le comble qu’il puisse y avoir dans cette situation, c’est d’accomplir une action qui n’a pas de sens pour nous mais un sens pour les autres.
Or les habitudes, ont pour conséquences de ne plus se rendre compte de ce que nous faisons, c’est une habitude quoi!!
Par exemple conduire, au début c’est complexe et avec le temps, cela devient une habitude ce qui me permet de ne plus mettre autant d’attention que j’en mettais au début. Et ainsi me libérer de l’attention pour éventuellement, le mettre ailleurs.
Cela n’est pas recommandé et pourtant combien le font et moi le premier. C’est humain!!
Dans ces mots là, comment trouver une action, une situation qui puissent nous prendre toute notre attention pour fournir le meilleur de nous même?
D’ailleurs est-ce possible?
Je répondrais à cela que tout est possible, ce qui revient à dire que c’est possible.
Sur ce cheminement, je rencontre des personnes qui me disent « oui mais il faut du courage ». Or ce courage, je l’ai et j’en ai même à revendre.
Ce qui veut dire que c’est possible!!
En trouvant le meilleur de nous même, nous pouvons trouver des actions et situations qui monopolisent notre temps et attention, sans même s’en rendre compte.
Lorsque je fais la jonction des deux « temps » et « attention », nous nous retrouvons avec un mot: la passion
Par contre il est clair, que cela peut demander beaucoup et au plus j’attends pour m’y mettre au plus la charge est grande.
J’emploie volontairement le mot « charge », car cette charge peut-être visible comme invisible. Ce qui fait que nous ne pouvons pas nous en rendre compte directement.
De plus, il est plus facile de modifier quelque chose que nous voyons que quelque que nous ne voyons pas. Car nous arrivons à un résultat palpable.
Alors que ce qui est invisible ne nous donne pas de résultat palpable autrement dit concret.
Ce résultat, se ressent et le temps est nécessaire pour que le résultat soit concret.
Maintenant, si ce que nous voyons est trop grand, des peurs s’installent gentiment en nous et à la longue nous devenons bloqués par cela.
Nous ne nous en rendons pas forcément compte, qu’une peur s’est immiscé en nous, car il n’est pas évident de montrer nos peurs au monde.
Et le pire dans cela, c’est que nous passons de quelque chose visible, de grand peut-être trop, ce qui nous amène à quelque chose d’invisible, car nous ne voulons ni le voir, ni l’affronter, ni l’assumer. Limite nous le snobons.
Quelques petites astuces pour réaliser cette traversée sans trop d’encombres, susceptibles de nous amener à lâcher et abandonner la traversée entamée.
Je vais commencer par un petit exemple:
Lorsque je plante, une graine, il est évident que le lendemain, je n’ai pas encore un arbre. Le temps est nécessaire pour que je puisse le voir.
Dans un premier temps, je peux ressentir que j’ai fait tout ce que je pouvais pour que cette graine, croit et s’épanouisse pour devenir un arbre.
Je peux le ressentir, le visualiser et faire le nécessaire par la suite pour affiner ma vision. Car lorsqu’il naîtra et croîtra, des choses, des situations, dont je n’ai pas encore conscience se manifesteront.
Ce qui fait que j’apprendrais à les dépasser pour continuer et avancer vers cet objectif que j’avais initialement. J’affine ma vision et je me réalise, tel est l’objectif de ce pourquoi j’ai planté une graine.
Pour traverser un désert? Qui à vrai dire c’est quoi, un « désert »?
Ce n’est qu’un moment complexe, pas évident, qui demande du courage, de la volonté, un moment ou je peux me retrouver seul, seul face à moi, sans explications, sans moyens adaptés.
Et pourtant tout est possible, donc essayons de voir et ressentir ce qui est possible. A ce moment là:
– il est intéressant de prendre du recul,
– de savoir pourquoi je veux le faire?
– de savoir pour quoi, je veux le faire?
– de savoir pour qui je le faire?
– de savoir ce qui est important pour moi.
– de savoir me remettre en question.
– de savoir réajuster ma direction.
– de savoir me tromper et de l’accepter.
– de savoir recommencer.
Ces questions et réflexions sont valables à chaque moment de doutes, à chaque moment où je souhaite baisser les bras, à chaque moment où je me sens perdu, à chaque moment où je ne sais plus quoi faire.
Si je ne ressens pas les réponses en moi, ou que celles-ci ne sont pas claires au début, alors, j’ai à continuer d’avancer. Le tout en gardant à l’esprit que j’ai le choix et que je suis libre de changer d’outils, de moyens, pour affiner.
Du fait que je continue d’avancer, tout en me posant ce genre de questions et de réflexions et bien mon décor, mes pensées changent. Et un jour je vois et ressens ce que je n’avais jamais ressentis jusqu’à présent, pourquoi?
Car j’ai traverser un désert, que peu de personne emprunte.
Donc peu de personne peut voir et ressentir ce que je ressens exactement.
Grâce à cette traversée, je deviens rapidement mon maître, car c’est moi qui choisi et à côté je suis et reste aussi mon élève car j’applique ce que je choisi.
Un processus s’enclenche par la répétition et à ce moment là, un sentiment de fierté, de plénitude et de gratitude se manifeste en soi.
C’est la meilleur solution, que j’ai trouvé pour me réaliser et m’accomplir pour le moment. J’avance et j’affine.
En attendant, je m’éclate car je vis et découvre ce que je ne connaissais pas encore, alors que c’est extraordinaire.
Voilà, les petites astuces et conseils que je peux vous donner pour le moment.
J’en ai encore plein d’autres.
Posez-moi vos questions en lien avec votre désert et je me ferais un plaisir de vous donner quelques astuces, conseils susceptibles d’y voir plus clair?
Car d’une personne à une autre les résultats peuvent-être différents, dus à une compréhension différentes.