Le pouvoir des questions?
Deux mots d’une extrême importance, « pouvoir » et « question », car en sachant les utiliser à bon escient et à leur juste titre, ils transforment une vie.
Dans un premier temps nous allons définir ces mots grâce au dictionnaire de l’internaute pour s’approcher au plus près de leur importance.
Puis nous verrons en quoi les questions peuvent nous aider dans la vie de tous les jours et pour notre propre vie.
1) Définition de « pouvoir » et « question » pour s’approcher au plus près de leur importance.
Ici le pouvoir est un nom masculin et non un verbe.
. « pouvoir », nom masculin
Sens 1 Puissance, possibilité.
Exemple : Le pouvoir d’achat des Français, le pouvoir exécutif, le pouvoir législatif, le pouvoir judiciaire, un pouvoir surnaturel, un pouvoir magique.
Synonymes : capacité, disposition, autorité, aptitude, compétence, faculté, possibilité
Sens 2 Autorité.
Exemple : Les pouvoirs publics, les pouvoirs adjudicateurs.
Synonymes : souveraineté, empire, gouvernement, règne, toute-puissance, puissance, prestige
Sens 3 Influence exercée sur quelqu’un.
Synonymes : permission, domination, influence, mainmise, mandat
Sens 4 Propriétés d’une chose.
Exemple : Le pouvoir nettoyant d’un produit, le pouvoir des pierres. »
. « question , nom féminin
Sens 1 Question désigne une demande qu’une personne fait afin de s’éclairer, de s’informer sur quelque chose.
Synonymes : charade, énigme, devinette, demande, colle
Sens 2 Question désigne un point à discuter, à examiner ; une difficulté à résoudre.
Synonymes : point, difficulté, discussion, controverse, problème, thème
Sens 3 Question désigne une interrogation qui est adressée à un élève, un écolier, etc.
2) En quoi les questions peuvent nous aider dans la vie de tous les jours et pour notre propre vie.
Les questions dans la vie de tous les jours nous aident à nous diriger dans l’espace.
ex: où se trouve la librairie?
Les questions servent à ajuster et approfondir le ou les choix.
ex: De quelle librairie parlez-vous?
– La plus proche d’ici.
A travers les deux exemples énoncés ci-dessus, nous voyons aussi que les questions permettent d’instaurer un dialogue, un échange, un apprentissage, une connaissance supplémentaire tant dans l’espace, que dans la communication, l’estime de soi, la confiance, la prise de parole.
Une simple question peut déboucher à bien plus que je ne peux le penser, à la condition de rester ouvert aux détails et aux questions que me renvoie mon interlocuteur. Sans quoi, je peux passer à côté de nombreuses choses, détails, qui ont toutes leurs importances ou pas. Tout dépend du degrés d’implication que j’y accorde.
En restant fermé, je n’entendrais qu’une réponse à ma question, un peu de manière binaire et c’est sûrement ce dont j’ai besoin à ce moment là pour aller au plus rapide à mon but.
En fait, ce dialogue, cet échange vient m’apporter plus de pouvoir sur le territoire, plus de connaissance et moins de dépendance par la suite.
– Les questions renforcent notre indépendance et aussi notre interdépendance*.
– Les questions éclaircissent nos zones d’ombres.
– Les questions nous amènent à réfléchir sur des choses dont nous avions peut-être pas pensées. Et ce que nous soyons émetteur ou récepteur des questions.
– Les questions amènent et finissent par résoudre les petits problèmes comme les gros problèmes.
– Les questions nous donnent une forme d’autorité en commençant et en ouvrant sur un sujet.
– L’addition de questions poussent à une forme de profondeur et aboutissent à plus de clarté.
Le terme « question » agit sur nous consciemment ou inconsciemment comme un frein et pourquoi donc?
D’une part car les questions, nous renvois principalement à l’époque de l’école, où la majorité des questions étaient posées par celle-ci. Ce qui mettait en évidence nos lacunes.
Certains élèves osaient poser certaines questions, sauf que la bienveillance des autres camarades de classes de l’époque n’était pas toujours de mise.
Ce qui a des répercutions sur le futur, pour autant les camarades de classes ne sont plus présent, alors que la peur née à cette époque l’est toujours.
Après nous pouvons remonter encore plus loin, au moment ou nous commençons à parler et à explorer le monde.
Au moment de notre naissance nous n’avons pas d’autre façons que de chercher à comprendre le monde pour survivre, avant de vivre.
Puis au moment où la parole arrive, l’enfant s’empresse d’en savoir plus, car il est émerveillé de tout: « pourquoi-ci? Pourquoi ça? Et cela n’arrête pas.
Là encore nous observons là même chose que dans les deux premiers exemple, à la seule différence que l’enfant ne sait même pas réellement ce qu’il veut, ci ce n’est que découvrir.
Or il s’aperçoit très rapidement que peu de personne à le temps et prend le temps de répondre à ces questions.
Alors, il essai de poser des questions un peu avec tout le monde, pour tenter d’en savoir un peu plus sur ce monde.
Tout petit nous comprenons très rapidement que nous pouvons avoir du pouvoir sur les autres avec des questions?
Malheureusement, ce schéma et ce processus de questionnement et misent à rude épreuve durant notre enfance, adolescence et à l’âge adulte.
Comme toutes choses ou personnes mal entretenues, la dégradation se fait prématurément.
C’est intéressant d’observer cela, puisque nous pourrions tellement nous aider plus rapidement les uns, les autres et la majorité de nos problèmes seraient résolus.
En fait c’est à partir de ce moment là, ou nous avons la possibilité de tout recommencer et de tout reconstruire en nous.
Il arrive un moment dans sa vie tôt ou tard, voir jamais pour certains. Où poser des questions à son environnement ne suffit plus, car nous engrangeons du savoir et donc une forme de pouvoir, ce qui déstabilise grandement ceux qui nous côtoient.
Faut-il alors faire semblant de ne pas savoir, pour ne pas déranger?
Où faut-il faire état de ce que l’on ressent et de cette foutu vérité qui dérange tant?
Mais quelle est la base? Quelle est l’intention? Quelle est la fondation? Quels sont les ressources? Sur quel environnement?
A vrai dire, ce sont des questions qui dérangent et qui foutent un véritable bordel. Avant de le faire vaut mieux savoir avec qui vous le faite.
C’est pile poil à ce moment, où apprendre à se faire confiance pour essayer de se poser « soi » face à « soi » et commencer un dialogue, un échange, de l’empathie, de la compréhension et tout ce dont j’aimerais avoir d’un inconnu.
Je dis bien « essayer », car des essais il y en aura et je ne sais pas combien au juste.
Des hauts, il y en aura et des bas aussi.
Tout dépend de la valeur que vous estimez avoir en vous.
Moins la valeur est grande, plus la volonté, la persévérance, les accompagnements pour éclaircir le tout, seront misent à rudes épreuves.
Sachez une chose, plus vous essayer et plus vous gagner de la valeur.
Car vous connaîtrez les essais qu’ils ne faut pas faire et donc à ce moment vous pourrez aider d’autres personnes à se concentrer sur d’autres essais et ou réussites.
Plus vous gagnez de la valeur et plus vos chances de réussir croîtront.
Et vous les amis où en êtes vous dans vos questions?
A qui les posez-vous?
Ensemble on avance et regagnons petit à petit notre « pouvoir » délaissé en osant.