C’est être comprimé,
C’est ce laisser submerger (par ses émotions),
C’est se laisser dépasser (par le temps),
C’est une force (ressentie),
C’est se disperser (par les événements intérieurs et extérieurs)
C’est une absence (de calme),
C’est une croyance (apprise),
C’est un état interne (conditionné, cultivé, maintenu, en évolution),
C’est une ignorance (de la suite…),
C’est avancer (dans la crainte, la joie, la peur…),
C’est une fermeture,
C’est un repli sur soi,
C’est dense,
C’est complexe,
C’est un contenu,
Quoi d’autres selon vous? Nous avons là, simplement une partie de la panoplie de comment nous vivons et pouvons vivre la pression.
La pression se vit dans un espace confiné plus ou moins grand. Plus l’espace est petit, plus la pression possible grimpe rapidement jusqu’à ce qu’elle n’ai plus de place pour pour continuer à évoluer.
Naturellement en fonction de chaque niveau de pression, les résultats obtenus sont plus ou moins grands avec plus ou moins de conséquences.
La pression est un fond et non une forme.
Nous y mettons des formes pour que la pression tienne dans le fond.
Maintenant, il arrive que la forme ne soit pas appropriée à la forme.
– Si la pression, autrement dit le contenu est plus grand que la forme proposée, alors il y a explosion, éclatement car l’intérieur à besoin de plus de place et au bout d’un moment là et la seule solution.
– Si la pression, autrement dit le contenu est moins grand que la forme proposée, alors il y a ralentissement, implosion car l’extérieur a besoin de place et l’intérieur en a jusqu’à un moment donné.
– Si la pression, autrement dit le contenu est aussi grand que la forme proposée, alors il y a optimisation tant sur la vitesse que la durée de vie. C’est fluide et il y a de l’harmonie pour une situation stable et pérenne.
Exemple et conséquences de pression plus grande que la forme:
Un pneu reçoit bien plus d’air qu’il ne peut en contenir, il éclate.
Un ballon reçoit plus d’air qu’il ne peut en contenir, il éclate,
Un humain mange plus que ce qu’il peut réceptionner, il vomit,
Une corde supporte plus que ce qu’elle ne peut, elle cède,
…
Il y a des étapes intermédiaires avant d’en arriver, à ce résultat qui marque la fin d’une période et peut-être même une fin tout simplement. Du fait qu’il n’y ait pas de suite donner pour réparer cela.
– un pneu et un ballon qui éclatent, sont souvent changés au profit de nouveau et mis respectivement à la poubelle.
– un humain qui vomit prend un temps plus ou moins long, pour se remettre seul d’aplomb, en fonction de la sévérité subi dans le corps.
– une corde qui cède peut être renouée pour ravoir la même fonction que de supporter.
Dans le premier cas, nous nous contentons de remplacer par un autre, sans se soucier de ce que le premier devenait au final.
Alors que dans les autres cas, ce qui diffèrent, c’est que nous gardons le même humain et la même corde pour continuer les choses, leurs parcours de vie.
Si nous ne voulons pas obtenir les mêmes résultats obtenus dans nos exemples que précédemment, quelque chose sera à changer.
En un mot « pression »,
Exemples et conséquences de pression moins grande que la forme:
Un pneu reçoit bien moins d’air qu’il ne peut en contenir, il ralentit sa vitesse car plus de frottement généré sur la route et sa durée de vie en est amoindrie pour cette fonction.
Un ballon reçoit moins d’air qu’il ne peut en contenir, il n’est pas entièrement formé,
Un humain mange moins que ce qu’il peut réceptionner, il maigri,
Une corde supporte moins que ce qu’elle ne peut, elle prend de la place inutilement.
Exemple et conséquences de pression moins grande que la forme:
C’est la solution optimale et celle-ci est celle recherchée et/ou voulu pour chacun des résultats. Il s’agit d’une pression, autrement dit un contenu aussi grand que la forme proposée.
Exemple du pneu:
Un pneu gonflé à sa juste pression sera dans des conditions optimales pour rouler.
Car il y a une optimisation tant sur la fonctionnalité de rouler et par ricoché sur sa durée de vie.
C’est fluide et il y aura de l’harmonie pour une situation stable et pérenne.
Nous voulons tous cette dernière solution et pourtant y arrivons nous?
Et puis comment arriver à cette solution?
Nous pouvons y arriver par plusieurs biais:
– En se référant à des experts qui ont déjà fait le boulot pour trouver la juste mesure.
Cela est vrai pour ce qui concerne les choses, les objets, exemple les les pneux, ballons.
Tous ces objets qui n’ont pas de conscience peuvent-être délégué facilement à des professionnels du domaine.
– En revanche, tout ce qui attrait à de la conscience et l’être humain en fait parti, demande plus de temps car plus d’attention, de concentration sont requis pour résoudre cette complexité.
Bien souvent cela passe par la dichotomie, c’est à dire que nous y allons par tâtonnement et nous observons les résultats et le reportons dans une grille.
Ainsi à la longue, nous pouvons dresser une grille entre le pas assez, le moins, le bon, le plus, le trop.
Cela demande, du temps, de la discipline, alors souvent par négligence, nous nous référons à des professionnels extérieurs à nous et qui d’ailleurs nous comprenons peu ou pas assez car nous n’avons pas le même champs lexical, ni le même parcours de vie.
Conclusion de cette partie de la pression.
. Pour connaitre la pression, référé vous dans un premier temps à des professionnels et observez ce qu’il en est.
Pour les choses et objets, cela pose rarement des inconvénients, quoi que?
Pour ce qui est de nous les humains, les professionnels sont de réelles portes d’ouverture à soi à la condition d’apprendre à ressentir cette pression et de savoir la doser pour être ni dans le pas assez, ni dans le trop.
Maintenant pour connaître son juste milieu propre à chacun, il y a là encore du boulot.