Peut-on donner, sans prendre?

Peut-on donner, sans prendre?

J’ai toujours avancé dans ma vie, sans jamais remettre cette question en cause. Car la pression sociale y est et était importante, d’autant plus que mon entourage prônait cette croyance, qui normalement est propre à chacun.

Maintenant, en me retrouvant dans ma vie avec une telle croyance et où l’on me donnait quelque part le mode d’emploi pour être accepté et bien vu, il n’y avait plus qu’à.

« Donner c’est bien. »
Alors pourquoi faire défaut à cette affirmation dans la norme sociale où j’étais?

J’ai donné sans compter pour faire bonne figure.
Malheureusement ou heureusement, cela n’a duré qu’un temps. Car la vie se charge de tôt ou tard de rééquilibrer nos croyances, qui ne sont qu’une partie de la réalité. Nous ne voyons pas tout. Il y a tout ce que nous voyons et tout ce que nous ne voyons pas. Tout ce que nous savons et tout ce que nous ne savons pas.
Dans ces cas là, il est intéressant de côtoyer d’autres personnes, d’autres cultures, d’autres milieux et d’explorer le monde pour confronter nos croyances, qui ne cesses de grandir en nous tant qu’elles ne sont pas remise en causes.

J’ai du apprendre à remettre tout un tas de croyances que j’avais en questions et en causes. Cela m’a donné bien des challenges et des aventures rocambolesques.
J’ai avancé à mon rythme qui était ce qu’il était et au bout d’un moment, je me suis retrouvé dans un « cul de sac », une « impasse ».

Je me suis rendu compte à ce moment, que je n’étais plus dans le « donner » mais bien le « prendre ».
Je cherchais à « prendre » du nouveau pour continuer à « donner » du nouveau.

Je me suis rendu compte que lorsque je n’ai plus rien, alors je ne peu plus donner. A ce moment, un mal-être a commencé à grandir en moi et se faire de plus en plus ressentir, car quelque part, je désobéissais à un principe fondamental en moi.

J’étais devenu tellement différent, de ce que j’étais avant. Il me fallait avoir quelque chose à donner pour ainsi retrouver un équilibre en moi.

Maintenant, là aussi ça ne marche qu’un temps et pas avec les mêmes personnes.
Donc, j’ai perdu certains contacts qui m’étaient  chers, j’ai alors vécu un moment seul.

Peut-on prendre sans donner?

Si je ne fais que de prendre sans rien donner en retour, alors je vais très vite saturer et m’encombrer de choses, de savoirs bien souvent utiles au premier abord et inutiles à long termes par rapport à ce que je veux devenir et être.

« Donner et prendre », l’un ne va sans l’autre,
Il est important de se rappeler qu’au début, on m’a donné la vie et donc je suis déjà plein, de ce que je suis!! Et pourtant, ça je l’oublie, pour plusieurs raisons:
. J’en entends pas ou plus parler. Une langue qui ne se pratique pas, se perd à la longue.
. Je me laisse influencer pour découvrir ce que je ne connais pas,

Je suis tombé dans cette illusion d’avoir et d’avoir toujours plus, revenant à m’oublier un peu plus à chaque année qui s’écoule.

Pour avancer calmement et sereinement, je dois apprendre à me sentir léger et libre. Pour se faire, j’apprends à être un canal et non barrage.
Le « canal » laisse la libre circulation du « donner » et du « prendre ».
Et le « barrage » ne laisse pas l’échange se faire entre le « donner » et le « prendre ». C’est bien souvent à sens unique.
A ce moment, ce qui sont conditionnés à ne faire que « donner » vont attirer des personnes qui elles ne seront conditionner qu’à « prendre ». Pour qu’il y ait quelque part un équilibre.
Ce qui revient à dire que si je suis déséquilibré, je vais m’attirer quelqu’un de déséquilibrer dans l’autre sens pour qu’à nous deux, nous créons un équilibre.

Et j’ai remarqué avec le temps, qu’une fois avoir appris à nous rééquilibrer grâce aux challenges que nous rencontrons, nous nous détachons consciemment ou inconsciemment de ceux qui décident de rester adict à leurs conforts, inconfortables.

Tant que l’inconfort, n’est pas suffisamment inconfortable, pourquoi changer.

Ce qui revient à dire que:
« Peut-on prendre sans donner?
Peut-on donner sans prendre? »
Vécu à l’extrême, cela va nous attirer des personnes diamétralement opposées à ce que nous sommes.
Tout cela pour but d’apprendre à rééquilibrer notre perception erronée du monde, puisque nous ne percevons qu’une partie de ce qui est.

Je suis heureux, de pouvoir avancer vers cette « loi de l’équilibre » qui peut me demander beaucoup de temps, de concentration et d’attention pour ne pas à nouveau me déséquilibrer dans le sens opposé cette fois-ci.
Je dis cela car si à la base ma perception est erronée et que j’en ressors un inconfort trop grand, alors je vais changer et entrer en mode « rébellion » et m’orienter vers la solution contraire à celle que j’empruntais avant.

Dans ces cas là, je suis en réaction et non dans la maîtrise.
La réaction m’amène à ne plus rien contrôler car quelque part j’entre dans un mode de survie et de peur. Et là, les conséquences, sont bien souvent importantes.
Maintenant, si j’apprends à utiliser les outils pour maîtriser ou plutôt apprivoiser ce mode de survie et ce sentiment de peur, alors je pourrais être dans un climat plus stable et plus serin.

J’ai décidé suite à ce constat de me remettre le plus rapidement en harmonie avec moi et les exercices de cohérences cardiaques m’y aident beaucoup.

Et vous de votre côté, comment vivez vous vos expériences challengeantes?

Une erreur incontournable à enlever pour réussir.

Une erreur incontournable à enlever pour réussir.

Jusqu’ici, c’est une erreur que j’ai bien souvent trop faite et qui m’a conduit à bien des complexités. Ce que je ne découvrais qu’une fois l’avoir faite.

À l’époque, j’avais un égo surdimensionné, que je ne voulais surtout pas m’avouer, pour différentes raisons :

. Je ne le savais pas, car je ne savais pas que cela s’appelait comme cela.

. Par peur de sembler faible et pas à la hauteur aux yeux des autres. Mais surtout à mes yeux par ce que je mettais formé et savais intellectuellement. La pression que je m’imposais inconsciemment était énorme, j’étais tel, une bombe à retardement.

. Pour ne pas changer de chemin, de voie. Je ne voulais absolument pas tout remettre en cause ce que je savais déjà. Car je présupposais que cela me créerai plus d’inconvénients que d’avantages.

Alors je ne changerai rien à mon mode de fonctionnement, qui devenait de plus en plus pesant pour moi.

Sauf qu’au plus j’attendais et plus la pression montait sans que je ne m’en rende compte. Car ce que je faisais aux yeux d’autres personnes étaient extraordinaires.

Je m’étais habitué à cela sans pour autant être heureux.

Je ressentais un réel goût de  » pas assez  » et  » d’insatisfaction ». J’étais devenu un véritable intra face à la vie et surtout face à moi. J’étais bloqué frustré pour quelque chose, dont lequel, je n’arrivais pas à mettre de mot.

J’étais dans un challenge sans mot, ce qui fait que ma pression interne augmentait sans cesse. Je courrais après un véritable mirage dont je n’avais pas consciencence et dont mots m’échappaient. 

Pourtant la réponse m’avait peut être déjà était donnée dans le passé. Mais je ne pouvais pas la voir, ou ne voulais pas la voir, ou l’assumer à ce moment là.

Il me manquait des outils, de compréhensions, de pratiques, d’initiatives, de lexique.

J’étais perdu dans ce shéma. Plutôt que de vouloir le casser, le plus rapidement possible, je l’entretenais inconsciemment et me plaignais de quelques choses dont je n’arrivais franchement pas à verbaliser. Ce qui avait pour conséquences des tensions, divers symptômes, tel que des maux de dos, de crâne.

Quelle peut bien être cette erreur ?

J’aurais kiffer à l’époque avoir des pistes de réflexion, des indices pour approcher une meilleure compréhension de ce que je ne maîtrisais absolument pas et dont j’en avais une peur exacerbée.

Je ne savais pas, donc je courrais continuellement après le  » savoir  ».

Je pensais savoir des choses et ainsi avoir une forme de légétimitée. Pourtant, il n’en n’étais rien car je ne mettais que très en pratique. Il est certain que je ne pouvais aller bien plus loin.

Par contre, lui, le  »savoir » est infini car en perpétuelle mutation.

Ce qui fait qu’en courant après ce dernier,  je ne prends pas le temps d’aller jusqu’au bout,  car de nouveaux  »savoirs » aussi intéressants, les uns que les autres naissent et meurt tous les jours.

Ce qui fait qu’il n’y a pas réellement de début et de fin face à cela.

Donc on en vient à cette fameuse erreur à ne pas faire pour réussir.

Il s’agit de ne pas s’éparpillaient à trop grandes échelles dans le savoir. Mais plutôt d’apprendre à le maîtriser, pour savoir quand est venu le moment d’accélérer ou de freiner et focus sur une taches qui me convient et l’animent intérieurement en moi.

Car au début, je ne savais pas cela et donc je pensais qu’à l’époque pour aller le plus possible, il s’agissait de rester appuyer sur l’accélérateur pour avancer.

Et bien c’est là le meilleur moyen de finir dans le décor et de se perdre un peu plus chaque jour.

Étant donné que si j’élargi mon champs de connaissances, j’élargi, mon terrain de jeu.

Mathématiquement plus le terrain est grand plus la possibilité de rencontrer des embûches l’est tout autant.

Je vais apprendre à maîtriser l’outil de l’accélérateur et du frein pour mieux ressentir et vivre avec moi.

Et surtout rester focus sur une tâche avant d’en passer à une autre.

Comme cela, je n’ai pas à m’éparpiller, à mélanger dans l’apprentissage ce que je ne maitrima pas.

Comme cela en procédant ainsi, j’ai moins de choses à gérer, laissant ainsi plus de place à un et un seul sujet. Et de passer plus calmement de la théorie à la pratique par le biais de la répétition.

Et vous comment gérer vous, l’outil du frein et de l’accélérateur ?

Utilisez vous plutôt le frein, l’accélérateur ou un mix des deux ? Dites le moi en commentaire et ce que vous en retirez piup vous ?

Au plaisir et à très bientôt.

L’importance de casser son rythme.

L’importance de casser son rythme.

Cela peut sembler paradoxale et pourtant il s’y trouve une utilité. Celle de casser la routine et les habitudes afin de laisser place au nouveau.

Puisqu’il est possible qu’il existe un détail, un élément, une routine que je ne connaisse pas et qui me rendrait bien plus productif et attractif que je ne le suis pour le moment.

 »Je ne sais pas, ce que je ne sais pas. »

Qu’est-ce que je fais pour remédier à cela?

Pour ne pas  »garder tête baissée dans le guidon », il est nécessaire. De casser le rythme, de se relever et de voir ce qui se passe autour. De nouveaux chemins insoupçonnés jusqu’aujourd’hui  pour soi peuvent paraître.

Il est clair que la routine est confortable, sauf qu’elle cause bien des dégâts à la longue. Étant donné qu’elle créée des automatismes dont on en prend même plus conscience.

Alors en cassant ce rythme, je me donne un peu plus de liberté pour voir et apprivoiser ce que je ne sais pas.

En osant faire ce que je ne sais pas, je m’expose à un résultat que je ne connais pas. Et si je ne connais pas, souvent je me retranché dans mes peurs pour retrouver une part de confort.

Pour ne pas avoir à être tenté aussi facilement de se retrancher, dans ses peurs. Il est opportun d’explorer le nouveau avec un  »guide ». Ainsi quelque part, l’inconfort reste confortable.

Pour casser ce rythme, il est important de prévoir un début et une fin. Autrement, ça commence et fini quand? D’autant plus que le temps passe à une allure.

Pour la majorité d’entre nous, ce rythme, nous le cassons par le biais des vacances, en partant plus loin de chez soi. Ainsi nous découvrons et laissant place à du nouveau.

Maintenant,  certains, lorsqu’ils trouvent un lieu qu’ils aiment, ils s’y jettent dessus pour chaque vacances, pensant ainsi casser le rythme.

Effectivement, le rythme routinier est cassé, pour prendre celui des vacances. Sauf qu’une autre forme de routine naît. Nous savons où se trouve la boulangerie, les divers magasins. Nous connaissons aussi les personnes présentent dans les environs et qui elles ne bougent pas. Le nouveau, d’une année, à l’autre reste minime.

Autrement, pour connaître plus de nouvelles choses soi-même. Voyager, explorer de nouveaux lieux, de nouvelles cultures sur place, ce qui je sais, n’est pas donné à tout le monde. Même si je sais aussi que tout est possible, puisque si nous le voulons vraiment, nous pouvons y aboutir. Cela prendra et peu prendre un certain temps, étant donné que tout le monde ne pense pas ainsi. Et donc les résultats divergent, amenant une confusion et une plus grande complexité. Ce qui ne facilite en rien le nouveau car chacun se projettent leurs peurs. À ce moment là, personne ne fait rien de nouveau.

Maintenant, il existe un autre groupe de personne où le  »nouveau » est une norme. Ils expérimentent sans cesse de leur côté le  »nouveau », en explorant, en essayant de nouvelles choses.

Ce qui à pour but de laisser place à l’imagination, qui est une forme de liberté pour le corps et l’esprit.

Et à des moments bien spécifiques, une date de début et de fin est mise en place pour se retrouver et mettre en commun les nouveaux apprentissages de chacun. Ayant pour conséquence, un cercle vertueux.

Du nouveau, naît de nouvelles choses.

Après, il certain aussi que de l’ancien, il reste encore tout un choses qui n’a pas encore découvert.

C’est pourquoi tout le monde à le potentiel de réussir et d’avancer.

Avançons avec des personnes qui sont prêts et veulent avancer. Autrement, le rythme sera tellement différent qu’il y aura malaise et disharmonie.

Il m’a fallu longtemps pour me trouver et connaître mon rythme que je continue à apprivoiser pour le maîtriser encore davantage.

C’est pour cela que je m’entoure des meilleurs que je connaisse pour le moment. Et casse dès que possible mon rythme. Afin de laisser place à l’émergence de nouvelles choses.

Je vais partir en formation une semaine en Espagne pour découvrir et apprendre ce que je ne sais pas encore, ou que je n’ai pas encore implémenter en moi.

J’ai décidé d’apprendre continuellement pour découvrir ce que le monde nous réserve.

Et vous pensez vous de temps en temps à casser votre rythme ?

Si oui, comment faites vous?

 

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis. »

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis ».

Se choisir a été pour moi d’une difficulté extrême (extrême à l’infini). J’étais jeune, sans expérience professionnelle et sociale et de plus accidenté de la vie. Je pensais que mes connaissances n’étaient pas de grandes valeurs. Je ne voyais pas pourquoi je pouvais me choisir à l’époque.

Je vais vous raconter une anecdote qui m’est arrivée.

Je cherchais du travail à la sorti de mes études. J’ai postulé pour un travail de comptabilité (rien d’excitant jusque là). Il y avait 3 épreuves pour décrocher ce poste:
. Des exercices de comptabilité (ce qui est normal au vue du descriptif du poste).
. Un entretien en anglais (d’accord. Vive les voyages linguistiques!).
. Définir sa valeur en répondant à la question « pourquoi vous, plutôt qu’un autre? » (la question qui fait trembler toutes les générations de jeunes diplômés en recherche d’indépendance financière et familiale).

J’ai réussi avec brio les deux premières épreuves (ce n’est pas pour me vanter mais j’ai tout déchiré! ^^). Le dernier point a été plus complexe. Je n’ai pas réussi à dépasser l’obstacle qui était trop grand pour moi (Que voulez-vous? On ne peut pas être bon partout. ^^’).
Je ne voyais pas pourquoi je serais meilleur que quelqu’un d’autre. Pour moi,  nous avions tous le même niveau pour obtenir ce travail (Je le rappel. J’étais « jeune ». Soyez indulgent.).  Vous devinez bien que je n’ai pas eut ce travail.

J’en ai tiré une bonne leçon (mais bien plus tard dans ma vie. Sinon ce n’est pas drôle!). J’en ai conclu qu’il me manquait toute la partie compréhension et éducation nécessaires à ce moment là.

Je peux être le meilleur pour le travail qui m’est proposé et je dois me différencier des autres concurrents, partenaires, camarades pour trouver ma place. En ne trouvant pas ma place, je ne me sentirai jamais à ma place. Je partais du principe que ce serait les autres qui m’aideraient à trouver ma place.

Dans un premier temps, en ayant eut ce raisonnement, je me retrouvais dépendant. Prisonnier du regard et des avis des autres. Mon estime personnelle était en chute libre . Je me rendais complètement dépendant de l’extérieur. Je me dévalorisé (et j’étais doué pour ça à l’époque. Mais ça c’était avant!).

J’ai eut la chance de rencontrer des personnes qui m’ont permis de me rassurer Je ne le dirais jamais assez mais MERCI!). Ils m’ont appris à prendre conscience de ma valeur. Les lectures d’ouvrages spécifiques m’ont également aidé à surmonter les moment les plus douloureux de ma vie.
Une processus long pour montrer ma valeur: « se choisir soi et non les autres ».

J’ai découverts qu’en suivant les conseils des autres, pour leur satisfaction personnelle, m’a amené à laisser de côté mes valeurs. J’étais devenu un étranger à mes yeux.
Je pensais être uniquement ce que mon extérieur percevait de moi.

Grâce à toutes mes mésaventures, j’ai fini par comprendre que j’existai et que l’existence n’admet aucun représentant.
Si je voulais ma place, je devais tout simplement la prendre. Je devais ME choisir pour AVANCER.

Maintenant, ce choix là, à des conséquences aussi bien positives que négatives. A la seule différence, c’est que je sais pourquoi je le fais et surtout pour qui je fait avant tout.

Les conséquences positives:
– Ma confiance croît dans le temps.
– Ma certitude se développe.
– Je choisi un milieu qui me convient.
– Je rencontre des personnes que je comprends et avec qui je peux m’ouvrir sans peur.
– J’inspire du monde pour être ce que je suis.
– Des personnes misent sur moi.

Les conséquences négatives:
– Je suis critiqué.
– Je suis pointé du doigt.
– Je suis rejeté et donc souvent seul, tant que je n’ai pas trouvé.
– Je suis bien souvent en minorité, pour ne pas dire tout le temps, car je suis 24/24h avec moi. Ce qui fait que je dois trouver du temps pour moi et avec moi.

Le fait d’arriver à cela m’amène à m’auto discipliner et à grandir.
Je deviens responsable de mon bonheur ou de mon malheur.
Dans tous les cas, je finis par me rendre compte que les conséquences négatives m’aident à grandir, en les traversant et non les fuir.
Quant aux conséquences positives, elles me rassurent et me confortent sur mon avancée.

Si tout va bien, je suis l’auteur de cela.
Et si je rencontre des challenges de vie, des difficultés, des problèmes, des ennuis, j’en suis également responsable et je dois me rappeler que j’en suis aussi l’auteur. Pour me donner la force de changer la situation.

En disant que c’est les autres qui sont à l’origine de ma douleur ou de mon malheur je m’enlève de la responsabilité et donc du pouvoir. Ce qui a pour conséquence d’amoindrir mon estime personnelle et d’engendrer une perte de confiance, une perte d’envie ou encore une perte de vitalité.

A la longue, ce cocktail que j’ai souvent trop pris, faute de ne pas me connaître suffisamment, du au fait que je ne prenais ni le temps de me découvrir, ni celui de me connaître ou encore de simplement passer du temps avec moi, je n’arrivais à rien de durable sur le long terme.
Sur du cours terme, je pensais être dans la bonne voie car j’avais de bon retour de l’extérieur et de mauvais retour de l’intérieur. A savoir que mon corps, était sans cesse entrain de me faire des « feedbacks », des retours.

Je connaissais des maladies, des douleurs, des allergies que je « snobais », ou taisais avec des médicaments. Sauf que la nature fini par reprendre ses droits et comme mon corps fait parti de la nature, alors c’est lui qui fini par gagner devant mon mental.

En finissant par me choisir, j’ai fini par comprendre cela étant donné que je me retrouvais face à moi même et à mes douleurs et ou maladie.
Je ne pouvais pas dire que c’était de la faute des autres puisqu’il n’y avait que moi qui vivait ce malaise, qui au fil du temps c’est affiné.
Grâce à ma persévérance et mon envie de comprendre, j’ai fini par remonter en comprenant un peu plus ce que je ne comprenais pas avant.
A vrai dire, j’étais entrain de me découvrir un peu plus et le malaise que je pouvais ressentir avant, n’était qu’une forme de mal-être.

J’étais étranger à moi-même. Je n’y croyais pas au début, mais au plus j’avançais et au plus je faisais ce que je choisissais au mieux je me sentais présent et fier de moi.

Maintenant, j’ai de plus en plus conscience de ce que je suis et de la valeur que j’ai en moi.

Je m’aperçois que j’emprunte une voie qui a très peu de trace de pas, donc le celui-ci est peu connu car peu emprunté. Par contre les choses qui s’y cachent sont simplement sensationnelles.
Je vis des choses hors normes et je vous souhaites au minimum la même chose si ce n’est mieux.

Il n’y a rien de plus beau que de vivre sa vie.

 

Qui suis-je, si je change?

Qui suis-je, si je change?

« Changer » est un mot simple et pourtant complexe à mettre en oeuvre, car pour qu’il prenne tout son sens, il doit être suivi d’une action, autrement rien a changé, ne change et ne changera.

Selon le Larousse « changer » peut être définit comme suit:
« Céder quelque chose pour autre chose, l’échanger : Changer des livres contre des disques.
Convertir une monnaie en une autre monnaie, échanger une somme d’argent contre une même somme en pièces ou en billets de valeurs différentes : Changer des dollars en yens.
Remplacer quelque chose, quelqu’un par quelque chose, quelqu’un d’autre de même nature, de même fonction : Changer les assiettes. Changer le caissier d’une banque.
Remplacer quelqu’un, quelque chose par quelqu’un, quelque chose d’autre de même apparence, par malveillance ou malhonnêteté : Elle est persuadée que le bijoutier a changé les pierres de sa bague.
Mettre quelqu’un, quelque chose à un autre poste, etc. : Vous gênez ici, changez votre voiture de place.
Transformer quelque chose, quelqu’un en quelque chose ou quelqu’un d’autre, le faire passer à un autre état : Les alchimistes tentaient de changer certains métaux en or.
Mettre des couches propres à un bébé, du linge propre à un enfant, à un malade.
Modifier quelque chose, quelqu’un, le rendre différent : Changer le sens d’une phrase. Cette nouvelle coiffure la change complètement.
Faire sortir quelqu’un de ses habitudes, rompre la monotonie de ses activités et, en particulier, le distraire : Vous devriez accepter cette proposition de voyage, cela vous changerait un peu. »

Continuer la lecture de « Qui suis-je, si je change? »

Alalala à qui ça n’arrive pas?

Alalala à qui ça n’arrive pas?

Je me concentre pour bien faire les choses, que j’en oublie le temps, l’extérieur et les à cotés tellement que je suis absorbé par ce que je fais.
Jusqu’au moment où survient… quelque chose, et pour cette fois, pour moi, un bug informatique qui entraîne un arrêt de mon ordinateur avec tout mon article de rédiger qui se volatilise en une fraction de seconde.
Naturellement, je le sais que je dois enregistrer au fur et à mesure et pourtant, je ne pensais pas que cela m’arriverait maintenant.

C’est un événement qui m’a ramené très vite à la réalité, avec tout son lot de frustration, de stress à gérer. Et au plus je mets de temps à gérer cela au moins je peux rebondir et repartir rapidement.

Lorsque je dis, « gérer cela », c’est déjà de prendre conscience de ce qui m’est arrivé pour en faire un constat et voir d’où est ce que je peux repartir.
Le degré à gérer n’est pas le même si je dois repartir de zéro, ou si je dois repartir de là où j’en étais.

Et bien là, c’était de repartir à zéro. Donc super!! C’est une opportunité, un cadeau, même si je ne le vois pas encore, je sais que c’est le cas.
En me disant cela, je cherche à me rassurer et à me convaincre. Je me le répète plusieurs fois, jusqu’à ce que mon cerveau, mon esprit, mon corps finissent par s’apaiser.

Continuer la lecture de « Alalala à qui ça n’arrive pas? »

Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix.

Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix?

Je vais commencer par définir les deux « ingrédients », indispensables de cette question.

La « violence », selon wikipédia est « l’utilisation de force ou de pouvoir, physique ou psychique, pour contraindre, dominer, tuer, détruire ou endommager. Elle implique des coups, des blessures, de la souffrance, ou encore la destruction de biens humains ou d’éléments naturels. »

La « paix », selon wikipédia est « un concept qui désigne un état de calme ou de tranquillité ainsi que l’absence de perturbation, de trouble, de guerre et de conflit. Elle correspond aussi à un idéal social et politique. »

La majorité des personnes fuit la violence et j’en étais l’un des premiers car la société dans laquelle je vis la condamne.
Je suivais le mouvement et la condamnais à mon tour, ce qui m’amenais à ne vouloir que la paix. Continuer la lecture de « Est-ce que la violence est un ingrédient de la paix. »

Gratitude pour ce que je suis.

Gratitude pour ce que je suis.

Je ne me suis quasiment jamais dis que  »je suis fier de moi », alors que je vis 24/24h avec moi. Et pourtant je suis la personne la plus importante à mes yeux pour avancer.

C’est pourquoi  je décide de me dédier une lettre de gratitude. Car si personne ne me dit exactement ce que je veux entendre qui mieux que moi peux me les dire.

Je m’aperçois que cela n’est pas aussi évident de se féliciter soi même. Bref, je me lance:

Woah, je suis fier de moi lorsque je vois le chemin que j’ai parcouru depuis l’accident que j’ai connu le 22/10/2006.

C’est moi qui me suis bougé, puisque les conseilleurs ne sont pas les payeurs. Oui j’ai beaucoup payé pour les conseilleurs et mangé la poussière, ou leur poussière. Aujourd’hui, je m’enfou, puisque j’avance vers moi.

Et quelle fierté de l’avoir fait et de mettre relevé pour continuer d’avancer vers un chemin inconnu.

Oui je suis fier de moi car j’ai fini par réussir à me poser les bonnes questions où plutôt à me faire confiance et ainsi répondre moi même à mes questions.

Oui j’ai réussi à répondre moi même à mes questions. Ainsi! Je me suis comporté à la fois comme élève et maître.

Oui souvent, j’ai été critiqué, rabaissé, humilié, jusquà un point où je voulais tout abandonné et baissé mes bras. Pourtant, j’ai fait tout autre chose, le jour où je me suis fais confiance.

Je suis plein de gratitude d’avoir pris cette décision, qui était de me choisir. Au début, je sais que cette décision était plus que flou pour moi, car je ne me faisais pas suffisament confiance. Elle m’a bloqué à plusieurs reprises. Je ne me sentais pas légitime et sans accord préalable, ni le conseil pour foncer vers cette décision. J’y suis allé les yeux fermés.

J’ai écouté mon coeur et c’est la plus belle chose que j’ai faite. Puisque là, j’ai découvert de fabuleuses personnes. Ce qui fait  qu’au bout d’un moment, j’ai fini par comprendre que je devais arrêter de fuir et de courir à droite et à gauche  pour voir, apprendre, apprivoiser et découvrir qui j’étais vraiment.

A force de me découvrir un peu plus  chaque jour, grâce aux divers espaces temps que je n’accordais que pour moi. J’ai fini par m’aimer pour de vrai et comprendre qu’en toutes circonstanceses et à tous moments, j’étais à la bonne place.

A partir de là, je me suis relaxé, relâché et ainsi pu avancer plus sereinement. Aujourd’hui, après apprentissages et expériences, je sais que cela s’appelle l’estime de soi.

Je l’ignorai, mais grâce à mon éducation et ma personnalité de chercheur je retrouve ce qui m’anime, tel un aventurier qui cherche à redémarrer un feu à l’aide d’une infime petite braise, que seule lui perçoit et ressent.

Aujourd’hui grâce à mon opiniâtreté,  je suis ce que je suis. Content, c’est bien et pas content c’est pareil, donc j’apprend à m’aimer encore un pleut plus chaque jour, pour renforcer mon estime de moi et mon amour propre.

Je suis fier de moi, car j’ai décidé de passer à l’action et de créer ce qui me correspond pleinement. J’ai alors cherché qui j’étais au fond de moi par le biais  de formations et ensuite j’ai créé mon  entreprise.

Je suis fier de pouvoir vivre mes rêves aux travers des plaisirs et des souffrances que je génères.

Je suis plein de gratitude d’avoir découvert au cours de toutes mes expériences que mon maître est la VIE et que je l’Aime.

A partir du moment où, j’ai aimé la vie, j’ai pris conscience que je fais parti de la VIE.  Ce qui revient à me dire que JE M’AIME.

Woah, le chemin pour en arriver jusque-là, à été long, pas sans dommage, mais le résultat est sensationnel. L’explique avec juste des mots c’est délicat, ça ne peut que se vivre. Car qui mieux que m’Aimer comme je l’entends, le vois et le ressens.

Cette histoire d’Amour, et la plus belle qui puisse exister et m’arriver, car elle durera jusqu’à la fin de ma VIE.

Je suis fier de Moi, Jérôme.  Je m’Aime.

Merci d’Être à mes côtés pour vivre toutes mes AVENTURES.  Je me croyais tellement seul, alors que je suis avec moi.

Merci d’avoir cesser de regarder les autres pour enfin me regarder Moi.

Merci je m’Aime, bien plus que je ne pouvais le penser au début.

Merci Jérôme de m’avoir choisi, de me supporter, de me soutenir, d’avancer… j’ai un corps parfait pour réaliser ce que j’ai à faire sur cette planète.

Je suis plein de gratitude d’avoir les forces et faiblesses que j’ai, car cela rend l’homme que je suis aujourd’HUI.

WOAH!!! Let chemin de l’amour de soi est le plus beau chemin que vous puissiez trouver et PARCOURIR.

L’avez vous découvert où pas encore?

 

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

« Avoir les yeux plus gros que le ventre, » suite…

C’est un sujet sur lequel, je voulais revenir pour aussi bien y ajouter plus de détails, que pour l’élargir.
Je sais qu’en faisant cela, j’ai aussi quelque part les yeux plus gros que le ventre.

Maintenant, je me rends compte que cette expressions à des avantages que je ne percevais pas réellement dans le passé et qui a créé au cours du temps, une addiction inconsciente. D’où le fait que cela puisse être, plus fort que moi par moment.

Lorsque j’ai « les yeux plus gros que le ventre » et bien, quelque part, je marque et accentue une différence. Une différence que je fini par m’approprier.

La différence attire ou repousse, dans tous les cas, elle attire de « l’attention » et pas n’importe qu’elle attention, puisqu’il s’agit de l’attention des personnes qui m’entourent.
Ensuite cette « attention », qui m’est donnée entraîne une réaction et donc un résultat qui a un impact sur moi.
Ce résultat correspond soit à de l’attirance, soit à un forme de répulsion.

Cela à pour conséquence d’Être influencer en fonction de l’extérieur.
Car si je ne suis pas ancré, posé, déterminé et sûr de ce que je veux dans ma vie et pour ma vie. J’agirai pour les autres et en fonction des autres.

De plus, comme je souffre suffisamment comme cela en « ayant eut les yeux plus gros que le ventre » j’ai un prix à payer.
Dans ces cas là, je vais éviter ceux qui me repoussent pour ne pas avoir à souffrir et payer plus.
Ce qui fait que je vais naturellement me diriger vers ceux qui m’attirent pour ainsi supporter, un peu plus la souffrance que j’ai infligée à mon corps, en ne le respectant pas et en lui donnant plus qu’il ne le pouvait.
En procédant ainsi, je ne serais plus seul à porter le poids de ma souffrance.
Je me sentirai soutenu ou du moins j’en aurais la croyance. Je me rendrai ainsi dépendant de cette croyance, m’amenant à me limiter un peu plus.

En repensant à cela, je m’aperçois que tout cela est parti de moi,
Je n’arrive pas à exprimer ce que je veux vraiment, car je ne me connais pas suffisamment.
Ce qui fait que là ou j’aime un peu, ou ait la sensation d’aimer, puisque cela entraîne des réactions auprès des autres que j’apprécient.
Alors j’en fais trop!!! Pour augmenter cette sensation de plaisir.

Cela je peux et j’ai pu l’observer dans de nombreux domaine de vie.

Au début j’étais pris dans cet engrenage qui est une véritable prison, cercle vicieux. Dont je ne trouvais pas l’issu.
Et pourtant, j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison. Je ne voulais surtout pas l’admettre et donc qu’est ce que je faisais?
Je me voilais la face!!! En m’en rajoutant, toujours plus et en m’oubliant toujours plus.

Ce qui fait, que j’oubliais complètement, que j’étais l’architecte et le constructeur de ma prison.
Entre ma naissance et aujourd’hui, j’avais tout simplement oublié que je connaissais les plans et que j’avais les clefs. Je ne me préoccupé plus que j’avais tout cela en ma possession car je ne savais même plus que je le savais.

Souvent, il m’est arrivé dans le passé de me rendre compte rapidement, que je n’avais plus mes clefs, ou encore que j’étais perdu dans une ville.
A ce moment là, je mettais rapidement mon attention pour les retrouver ou me retrouver.
Maintenant, si cela dur dans le temps, je m’aperçois que je me réfère et compte sur l’extérieur de moi, pour trouver la solution.
Et la solution donnée ne me convient pas parfaitement, car il s’agit bien souvent d’une solution de secours, créé dans l’urgence.

Je ne prends plus le temps, pour comprendre ma souffrance, mes manques, mes envies profondes. Je me laisse influencé par des solutions de secours, qui normalement ne devraient intervenir qu’en cas d’extrême urgence, ou la vie et plus exactement ma propre vie est en jeu.

Au lieu de cela, je joue avec ma propre vie en ne la respectant pas.
Je fais comme si que je suis perdu dans un corps où j’y habite 24h/24 et durant toute l’année. Donc logiquement, je devrais prendre le temps, d’explorer ce que j’ai déjà pour emprunté ou créer des propres chemins internes à moi.

Je reste tout de même l’architecte de ma vie.
Tout ce que je peux changer dans ma vie, alors je le change pour me respecter, pour être en phase avec moi et ainsi ne plus être dans l’abus de ce que je suis.

Car si je ne fais pas le boulot maintenant et plus je vais avancer dans le temps, en âge, en expérience et plus je ne me souviendrais plus de ce que je suis réellement, de mon « architecture », de mon « moi ».
Etant donné que ceux qui m’auront aidé à porter ma souffrance, ne m’auront pas forcément aidé à la transformer ma souffrance. Pour cause qu’ils ne savent pas comment faire?

Je ne peux savoir que ce que j’ai appris, donc si je reste avec des personnes qui ne savent pas comment faire, alors je ne serais pas comment faire non plus et je continuerai à évoluer dans la vie avec des personnes qui ne savent pas comment faire?

Est-ce de leur fautes? Ou de la mienne?

Si je ne peux pas changer les autres, parce que je n’ai pas de pouvoirs sur eux.
Alors, je peux essayer de me changer, en apprenant ce que je ne sais pas, en explorant ce que je ne connais pas. Et comment?

En osant!! Je l’ai dit dans le sous titre de mon blog « code de la vie »: « La vie récompense ceux qui osent ».

En osant, je me redécouvrirai un peu plus, jusqu’à me souvenir de mes plans, de mon architecture, des raccourcis, du lieu exact où se trouve mes clés.
Ce qui fait que j’aurais connaissance de tous les éléments pour sortir de la prison dans laquelle, je me suis installé.

Dans ces cas là, je n’aurais plus besoin d’avoir « les yeux plus gros que le ventre » pour faire durer la sensation de plaisir que je peux ressentir, grâce à un élément de ma vie.

Je connaîtrai la juste dose et donc mon juste milieu.
Ainsi, je me respecte et respecte les autres.

« Osez quelque chose de nouveau, pour découvrir quelque chose de nouveau. »

Dîtes moi en commentaire, si vous essayez de nouvelles choses dans votre vie, pour découvrir de nouvelles solutions?
Sur quoi vous vous appuyez pour tester ces nouvelles solutions?
Osez répondre, vous ne savez pas ce que vous savez pas, seule la peur et les excuses vous bloquent pour ne pas répondre. Si vous voulez changer quelque chose, alors ça commence maintenant.
Au plaisir et à très vite.

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre. »

 »Avoir les yeux plus gros que le ventre’.’

C’est une expression que j’ai souvent entendu et pourtant, je n’en comprenais pas vraiment le sens. C’est seulement lorsque je me retrouvais en difficulté que les problèmes commençaient sérieusement et réellement pour moi.

Tant que tout va bien, je continue, je me fais plaisir, je prends, je prends et le reste je m’en fou. Pourtant tout à un prix et est-ce que cela j’y pense?

Je dois me rappeler qu’il y a toujours une cause à l’effet que je connais et/ou traverse. Les deux, la cause et l’effet sont liés, pourtant l’évidence n’est pas toujours claire et compréhensible. Il peut nous manquer des éléments pour arriver à cette compréhension.

Sur certains sujets, qui sont propres à chacun, il est nécessaire d’avoir des éclaircissements pour mieux comprendre et ainsi éviter les effets indésirables.

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