Comment se construire?

Comment se construire?


Lorsque le pourquoi est trouvé, le comment vient de suite derrière car l’impatience de se réaliser est bien présent.
A ce moment une nouvelle étape entre en jeu et de nouveaux challenges se présentent, alors que bien souvent nous pensons avoir fait le plus gros du travail. Du moins, c’est ce qu’il en a été pour moi.
C’est un peu comme si je démarre enfin la voiture de mes rêves et que je ne sais pas la piloter ou encore comme si que j’ai un quelconque outil en main et je n’ai aucune idée de son utilisation.

Construire est un bien grand mot nous l’utilisons souvent pour concevoir, bâtir, à l’extérieur de soi et qu’est ce qu’il en est vraiment de soi?

Comme je construis, conçois concrètement des choses à l’extérieur de moi. Alors, je suis tout simplement quelque part à l’extérieur de moi et n’arrive pas à me sentir bien en moi et avec moi, puisque je n’ai pas pris le temps de construire mon intérieur car j’ignorais que j’en avais un.

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Avons-nous à nous faire violence pour vivre?

Avons-nous à nous faire violence pour vivre?

J’aimerais bien vous dire à tous « non » et pourtant, cela serait vous mentir.
Et comme je me suis promis d’être le plus honnête possible avec vous.
Je vais vous dire où, et à quel moment, il est indispensable de se faire violence pour ceux qui veulent comprendre et apprendre un élément qui peut donner sens à votre vie.

A l’heure d’aujourd’hui il est facile « d’avoir » en un minimum d’effort et de temps.
J’échange de l’argent pour « avoir » un résultat direct. Ce qui amène à oublier les notions de temps et d’étapes que notre conscient ne voit et perçoit plus directement, il faut en prendre conscience.
Et au lieu de ça, je suis dans la réaction car il nous manque des éléments de compréhension.

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Qu’est ce qui nous pousse à changer?

Qu’est ce qui nous pousse à changer?

Je change, lorsque je ressens quelque chose qui ne va pas, un malaise ou encore un mal être. Autrement dit, je m’adapte à une situation inconfortable pour que celle-ci le soit moins par la suite.
Toujours est-il qu’il n’est pas si simple de changer cela, puisque ces difficultés restent bien souvent « tabou », car peu réussissent à le faire tout simplement.
Et si je suis entouré de personnes qui n’ont pas su et/ou ne veulent pas changer, alors je rends cette possibilité de changer, que bien plus délicate.

Ce qui pousse le monde à ne pas changer ses habitudes, c’est qu’elles sont bien ancrées depuis tout petit, voir même depuis plusieurs générations.
En conséquence, je les apprivoises et me dis « cela est normal, c’est comme ça pour la majorité ». Bien entendu inconsciemment je me résigne et fini par me considérer comme tel, puisque je ne côtoie que des personnes faisant partie de cette majorité qui ne change pas. Alors je ne fais que de renforcer ma croyance.
Et si par malheur, j’en venais à remettre une habitude de mon entourage en cause, alors il est évident que cela pourrait être mal perçu et ainsi réveiller les furies.

Il est bon de savoir que, si moi je veux changer, il n’est pas dit que mon entourage le veuille. Et donc c’est pot de fer, contre pot de terre.
Et si je veux changer, c’est quand?
Si c’est Maintenant, maintenant dure combien de temps?
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L’importance d’avoir des rêves en tête.

L’importance d’avoir des rêves en tête.

 

 

 

 

 

 
Il existe plusieurs sortes de rêves:
– les rêves inconscients que l’on fait lorsque l’on dort.
– les rêves conscients que l’on fait lorsque l’on s’imagine dans une situation agréable.
Nous parlerons plus particulièrement ici des rêves conscients sur lesquels nous avons un plus grand pouvoir d’action.

Commençons avec différentes citations inspirantes:

C’est la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. (Paulo Coelho)
Le rêve est la preuve qu’imaginer, rêver ce qui n’a pas été, est l’un des plus profonds besoins de l’homme. (Milan Kundera)
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. (Eleanor Roosevelt)
Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. (Walt Disney)
Les rêves sont la nourriture des dieux (Paul Ohl, écrivain).
Ne te crois pas pauvre parce que tes rêves ne se sont pas réalisés: vraiment pauvre est celui qui ne connaît pas le rêve. (Marie Von Ebner-Eschenbach, romancière)
Ayez des rêves et travaillez très fort pour les réaliser! Mais surtout, faites des choses que vous aimez parce qu’alors, les efforts pour les atteindre paraîtront moins exigeants. (Julie Payette, astronaute)

Des rêves nous en avons tous et que faisons nous pour les réaliser?
Faisons nous tout notre possible pour leur réalisation ou les laissons nous passer?

Les rêves ont beaucoup de vertus bénéfiques.
Ils nous animent, nous donnent accès à des ressources insoupçonnées.
Ils nous permettent de nous échapper vers une vision qui nous apporte de l’espoir et nous sortent de nos pensées négatives.
Ils développent notre imaginaire ouvrant la porte à de nouvelles solutions.
Ils donnent une direction, un sens à la vie.

Des rêves, il en existe une multitude mais comme tout individu, un rêve est propre à chacun et il peut se développer ou non?
Tout dépend, de l’énergie de l’intention et de l’attention que l’on y porte.
Il est certain que si nous consacrons peu de temps, voir pas du tout pour nos rêves, ces derniers risquent de ne pas voire le jour.

Il vaut mieux essayer de chercher à réaliser son rêve puisqu’il n’y a aucun plaisir à vivre du regret. Et puis pour réussir, il faut d’abord essayer.

Nous sommes plein d’entrain, plein de volonté pour réaliser un grand nombre de choses, telle que que voyager, découvrir, aider notre famille, se connaître, avoir un bon travail, de l’argent.
Et pourtant tout le monde a un rêve et pour certain il est difficile d’aller vers celui-ci, ils bloquent, pourquoi?

Les raisons sont diverses: les peurscelle du regards des autres, du jugement , la peur de l’échec, de décevoir les autres et surtout soi-même, l’idéalisation, la santé, l’argent, l’entourage…

Toutes ces raisons ne sont que des croyances limitantes telles des barrières qui peuvent être levées et dépassées. Tout comme dans un labyrinthe il est indispensable de mettre en place un plan d’action pour ne pas se perdre.

Je me suis alors appuyé sur ma technique d’enfant pour résoudre les labyrinthe de mes magazines.


Il s’agit de prendre du recul et de visualiser le bon chemin en commençant par la fin pour remonter jusqu’au départ. Une fois la visualisation faite je sais par où passer, en conséquent je pourrais investir à cent pour cent dans ce chemin puisque je connais la destination et le résultat. Cet investissement se décomposera en étapes et en fonction des moyens que j’ai à ma portée aujourd’hui.

N’oublions pas que tout est possible quand on s’y met.
Ils y a trois sortent d’homme: ceux qui vivent leur vie, ceux qui rêvent leur vie et ceux qui vivent leur rêve. Philippe BARTHEROTTE

Et vous, quel est votre façon de parvenir à vos rêves?

Pourquoi et Comment réussir?

Pourquoi et Comment réussir?

Il est clair que tout le monde veut réussir ce qu’il entreprend.
Et pourtant est-ce vraiment la priorité de savoir « COMMENT » réussir?

Le « COMMENT » réussir était pour moi la première des choses à savoir, puisque l’on attendait de moi que je réussisse, ce que je faisais.
Et le « POURQUOI » ne venait que bien plus tardivement, au moment des challenges et difficultés. Ce qui faisait que les réponses que je trouvais à mon « POURQUOI » étaient biaisées et n’avaient ni de sens pour mon entourage, ni de sens pour moi.
Ces réponses étaient du style:
« Je le fais car, mon entourage m’a dit que c’est bon pour moi et que je ne vaux pas mieux. »
« Je le fais pour ne pas décevoir mes parents. »
« Je le fais parce que je l’ai commencé et parce que j’aime aller jusqu’au bout. »
Et j’en passe car le discours interne et extérieur que j’avais ne tourner qu’au tour de cela et personne d’autres que moi ne pouvait casser et changer ce schéma.

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Comment avoir et vivre une vie sur mesure?

Comment avoir et vivre une vie sur mesure?

Avoir et vivre une vie sur mesure est un rêve que beaucoup aimeraient obtenir.
Et pourtant ce rêve ne reste bien souvent qu’un fantasme, une illusion que l’on pense impossible.
En fait c’est nous, qui le rendons impossible, car on nous finissons par ne plus y croire et on finit par se résigner.

Alors que pour « avoir » ce qui nous correspond le plus, il faut « être » ce qui nous correspond le plus, autrement dit ce que je suis .

Pour « être », il faut pouvoir se mouvoir pleinement sans restriction,  n’y même se sentir gêné. Autrement dit être « libre », cela va de soit dans son intérieur (psychique) et son extérieur (physique).

Une vie sur mesure, nécessite d’ingrédients sur mesure et il faut s’en donner les moyens et le temps.
Alors oui, comment? Lorsque bien souvent on a pas une minute à soit?
C’est ce que je croyais jusqu’au jour où je me suis posé et posé des questions.

Je me suis alors questionné sur un sujet concret pour me donner une direction, un cap et donc je suis parti sur la réalisation d’un costume.
Si je veux un costume sur mesure, je dois alors savoir comment et par quels moyens je peux l’obtenir?
Comment?
En le faire soi ou en le faisant faire faire.
Les moyens?
Cela se traduit bien souvent avec le coté financier et temps.

Si je ne prends pas le temps de me questionner à ce niveau là, alors je ne mettrai aucune chance de mon coté, pour un jour l’avoir. Et ce costume restera un rêve, un fantasme.
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La résilience est un bien grand mot.

La « résilience » est un bien grand mot.

La résilience est un mot qui me parle, sans trop me parler, qui m’attire et m’effraie à la fois, pourquoi donc?
Initialement, lorsque je le rencontrais je n’y prêtais pas plus attention que ça. Puisque ce n’était pas clair et cohérent pour moi. C’était comme si la vie me murmurait à quelque chose dont je ne comprenais pas le sens et qui ne m’intéressais d’ailleurs pas.

Et cela est valable pour toutes choses puisque lorsque tout va bien, que je ne connais pas de challenge en lien avec un sujet, je ne trouve pas l’utilité d’apprendre et d’en comprendre le sens. Pourtant je sais et sens qu’au fond de moi, c’est une erreur, qui peut être lourde de conséquences, puisque je ne serais pas prêt à vivre cela.
Je sais et savais que cela pouvait arriver évidemment et que personne n’est à l’abri.
J’espérais toujours passer aux travers les mailles du filet comme beaucoup. Par contre, le jour où j’y serais contrains et bien ce sera la catastrophe intérieur pour moi, puisque je ne suis pas prêt à vivre cela. Et d’ailleurs mon entourage non plus, donc bien souvent aucun apprentissage n’est fait avant ces traumatismes.

Bref, le temps est passé et c’est alors que le mot est réapparu. Cette fois de manière plus prononcée. Puisque, plusieurs personnes ne se connaissant pas m’en ont touché un mot, sans trop savoir non plus au juste ce que cela voulait réellement dire et signifié.
Puis par « hasard », je suis tombé sur un article dessus.

Au vu, de ces coïncidences troublantes pour moi, je me suis alors dis que cette fois, j’allais vraiment m’y intéresser de plus prêt.
En agissant ainsi, j’ai appris que j’étais déjà dans une forme de résilience, car je change mon attitude vis à vis de ce mot et par la même occasion vis à vis de la vie.
Puisque en m’intéressant à un nouveau mot, j’élargi mon champs des possibles. Et j’ai bien fait, car la vie m’a conduit vers ce que je cherchais, pour comprendre et ainsi avancer plus facilement et sereinement dans la vie.

Donc c’est avec émotion et joie que je vais vous partager les solutions de mes recherches.

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Quelle est la 1ère chose à savoir avant de se lancer dans quoi que ce soit?

Quelle est la 1ère chose à savoir avant de se lancer dans quoi que ce soit? 

Cette question est indispensable, car sa réponse détermine la continuité des choses, autrement dit la suite.
Je me rends compte aujourd’hui que je l’ai trop souvent oublié cette question et la réponse qui y allait avec.
Au plus j’ai grandi, au plus je ne trouvais plus d’intérêt à me la poser car la réponse ne résonnait plus en moi.
Cette question je l’avais découverte au début de mon enfance, lors du sport:
« qu’est-ce qui est le plus important dans une course et/ou compétition? »
« le plus important, c’est de participer et d’aller jusqu’au bout. »

Cette question et réponse me suffisaient pour mener à terme mes courses. D’ailleurs au début, je n’étais pas brillant loin de là, j’étais même un peu le clown de service, puisque je n’obtenais pas de bons résultats. Mais à force de participer à toutes les entraînements et courses, sans jamais une absence mon niveau augmentait et sans trop en comprendre le pourquoi?

Maintenant aujourd’hui, c’est évident. Mon niveau montait, du au biais des entraînements consécutifs et sans absences, qui étaient mis en place.
C’est un principe qui mène toujours à un résultat plus grand dans le temps, jusqu’à tendre vers l’excellence.
Et ce principe est la RÉPÉTITION.

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Le stress.

Le stress selon le Dictionnaire Hachette encyclopédique nm inv : Perturbation provoquée par des agents agresseurs variés (émotion, froid)

Plus le stress apparaît tôt et plus des troubles, tels que celui du sommeil, le manque d’appétit, l’anxiété, l’agressivité, l’irritabilité, le repli sur soi, les maux de ventre répétés et j’en passes, naissent et grandissent.
Jusqu’à en devenir des troubles chroniques. Des troubles que l’on apprend à vivre avec car ils restent présents en nous, coût que coût.
Et cela sans réellement en avoir pris conscience.

Tout ces troubles sont de plus en plus apparent chez les enfants, donc oui:
tout petit, les enfants connaissent déjà le stress. Et cela s’observe dans de nombreux cas avec l’apparition des troubles énoncés ci-dessus.

D’où provient le stress chez les enfants?
Comment y faire face et comment le prévenir?
Quand est-il nécessaire de s’en inquiéter?
Comment aider les enfants à grandir dans les meilleures conditions et ainsi d’épanouir pleinement?

L’enfant est tout comme l’adulte vulnérable au stress, si celui-ci n’est pas paraît à le surmonter, bien entendu à son échelle.
Et son échelle varie selon la vie qu’il a. On y retrouve bien souvent:
– la vie familiale avec les exigences parentales plus ou moins importantes,
– les divers problèmes familiaux (conflits, divorce, garde alternée, accidents, maladies…)
– les contraintes de l’école, (règlement intérieurs, devoirs…)
– les activités extra-scolaires (activités sportives, musicales…)
– les challenges environnementaux (bruits, transports, les appareils technologiques…
Et bien souvent, avec ces emplois du temps surchargés, les enfants se sentent débordés et finissent par craquer.

Il est important de savoir que le stress n’est en rien une manifestation normale chez l’enfant. Car au plus il apparaît hâtivement chez l’enfant, au plus les répercussions sur sa vie se feront ressentir.
Alors le stress est susceptible d’altérer directement son développement physique, affectif, social et intellectuel.
Et des symptômes divers et variés apparaîtront de manières croissantes pour alerter d’une disharmonie intérieure à l’enfant. Tels que l’agressivité, l’agitation, les insomnies, les difficultés de concentrations.
Et ce n’est pas tout, car à cela peut s’ajouter des manifestations somatiques: bégaiements, crises d’asthme nerveuse, maux de tête, maux de ventre…

Tout ce qui n’est pas exprimé est s’imprime dans le corps, donc essayons de comprendre. Au plus tôt, le « nœud » (symptômes, maux, comportement…) est compris, au plus vite l’enfant peut grandir sans ce stress inutile pour sa croissance.
Et la première des choses à faire est de prendre en considération ce que l’enfant a à dire, prendre le temps de l’écouter, connaître ses difficultés, ses peurs, lui donner de l’attention.
Autrement dit, lui donner son pouvoir d’être, pour vivre sa vie pleinement et dans l’harmonie.

Autrement, on retrouve par la suite les enfants et adolescents dans les cabinets de médecins, pédiatres, psychologues et autres, pour gérer leurs stress et angoisses.
Donc au plus, on laisse traîner la difficulté de l’enfant, au plus les symptômes croîtront dans le temps. Ce n’est qu’une question de temps pour que le message puisse passer et être compris.
Si tel n’est pas le cas alors, on peut connaître des challenges beaucoup plus conséquents, voire des drames.
C’est pour cela que l’apparition de stress chez l’enfant n’est pas à prendre à la légère. Et ce stress là est bien souvent, la résultante de difficultés perçues en amont.

Et des études récentes montrent que 60% des enfants d’âge scolaire ont de sérieux problèmes de stress. Et ce phénomène inquiète car les enfants qui y sont touchés sont jeunes, voire très jeunes.

Aujourd’hui, une grande partie des parents mise tout sur la réussite sociale et professionnelle pour leurs enfants, ce qui fait que parfois la barre est trop haute pour ces derniers.
Puisqu’ils doivent être le plus intelligent, le meilleur dans tout ce qu’il fait et entreprend. Ce qui fait que ces exigences peuvent être les mêmes pour toutes les activités extra-scolaires.

A ce rythme là, le constat est unanime: imposer trop d’activités à son enfant nuit à son développement.
Puisqu’un enfant à besoin de repos, il ne peut endurer continuellement une journée assis en classe, faire ses devoirs, assurer son cours de football finit par craquer.
La fatigue et le stress retentissent sur son équilibre, en conséquent il craque car il s’épuise physiquement et psychologiquement. Cela finit par se ressentir sur les notes, le comportement, le repli sur soi. Et pour les plus fragiles on retrouve la dépression et les tentatives de suicides.

C’est pour cela qu’il est vraiment impératif, d’observer ce qui se passe chez les enfants sans pour autant les étouffer. Un juste milieu est à trouver et il se trouve grâce à une communication et dialogue familiale, honnête et sincère.

A force d’en demander toujours plus à son enfant, on arrive à lui miner sa confiance en lui pour tous les domaines. Ils arrivent ainsi à douter d’eux mêmes, en arrivant à une peur d’échec et ainsi décident de ne plus s’investir dans leur apprentissage.
En conséquent, ils renoncent avant même d’avoir commencé, puisqu’ils ne se sentent pas à la hauteur.

Cette barre trop haute à bien souvent pour origine la projection d’un rêve d’un des parents pour leur enfant.
Alors là, l’enfant se retrouve dans une vie qui n’est pas pleinement la sienne. Il se retrouve avec tous les espoirs et les projections des parents, car là où ils ont échoué, il réussira.
Ce comportement, cette envie qui part peut être dans un premier temps, de plein de bons sentiments est lourd de conséquences pour la construction de la personnalité de l’enfant.
Puisqu’il est prisonnier des désirs de ses parents en conséquent, il n’a plus le temps de réfléchir à ce qu’il est, à ce qu’il aime et ce qu’il souhaiterait réellement faire.
Ce qui s’avère être complètement destructeur et incompréhensible. Malheureusement, ces cas de figures sont perçus que bien trop tard et donc tout est à refaire, pour construire la personnalité de l’être.

Tout enfant est unique et c’est là, leur principale richesse.
Alors il est grand temps de les prendre dans leurs globalité avec leur forces et leurs faiblesses d’origines, sans y créer de déséquilibre.
Car tôt ou tard, il y aura un clash.

Je trouve que de laisser et apprendre ou réapprendre à s’octroyer des temps de liberté à « ne rien faire » est indispensable aussi bien pour nous adultes, que pour nos enfants et adolescents.