Quoi faire?

Quoi faire?

A partir du moment où je me pose cette question, il y a un élément déclencheur et il y a quelque chose qui ne colle plus avec mes habitudes, la routine. Ou encore la présence d’une souffrance.

Dans ces cas là, je cherche à changer quelque chose en moi, en fonction de?
Puisqu’il y a une forme d’inégalité de présente et que je cherche à rééquilibrer pour ne plus avoir à ressentir cela.
Et bien souvent, pour résoudre cette forme de déséquilibrée, je me laisse influencer par l’extérieur, car je n’ai plus la réflexion et le réflexe interne pour la résoudre.

Pourtant, je l’avais lorsque j’étais enfant. Qu’est-ce que je veux dire par là?
Instinctivement, un enfant ne se retient pas pour exprimer quelque chose, alors que la majorité des adultes ne font que ça.
Naturellement, qu’il est compliqué de dire à son patron ouvertement qu’il nous fait chié et que ceux qui osent le faire sont pointés du doigt et donc plus grandement condamnables étant donné que la majorité ne le fait pas.
Dire tout haut, ce que les autres pensent tout bas, à un prix, que peu de monde est prêt à payer.

Autrement, ce que je veux dire par là, pour ne pas avoir de responsabilités à prendre et que je n’ai pas de réponse. Plutôt que de la chercher, je me réfugie vers la facilité. Et quoi de mieux pour se rassurer que de demander la solution à l’extérieur de sois et qui bien souvent n’a pas la réponse voulue?
Ainsi, je pourrais poser ma préoccupation à une personne extérieure à moi, qui en prendra bien souvent part à partir du moment où elle sera à notre écoute.

Maintenant, je sais aussi que certaines personnes ne nous écoutent pas car, elles estiment en avoir déjà assez à gérer avec leurs propres vies. Et c’est tout à leur honneur.
D’ailleurs, dire « non » à quelqu’un en détresse n’est pas une mince affaire à faire. Car cela revient à être pointé du doigt et d’être considéré comme sans coeur, égoïste, absent…

L’erreur que j’ai bien trop souvent commise est celle de penser pour les autres, ce qui m’amener à biaiser ma réponse.
Ma réponse dépendait d’une réponse que j’avais sous entendu en pensant à la place des autres personnes.

Ce qui fait que je donnais plus d’importance à l’extérieur de moi que pour moi.
En d’autre mots à force de penser ainsi, je m’oublier un peu plus.

Maintenant, je m’entraîne à dire de vrai « non », pour dire de vrai « oui ».
Cela demande un entraînement. Et comme dans tout entraînement, il y a des louper.
Par la suite, lorsque j’analyse les louper et que je les remets en questions alors, je peux arriver à un autre résultat que le précédent, avec lequel je peux comparer.
En procédant ainsi, je peux affiner mes résultats obtenus, grâce à la dichotomie.

« Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. »
A. Einstein

Dans ces cas là, plus je vais essayer de choses venant de moi et plus je me connaîtrais et plus je m’affinerais dans ma façon d’être et de penser.
Et ainsi, je pourrais agir plus en étant moi.

Dîtes moi, qu’est ce qui vous empêche de passer la vitesse suivante dans votre vie pour passer au niveau supérieur?
Lâcher prise, c’est perdre pour mieux se retrouver ensuite, c’est accepter ce que je ne comprends pas, c’est aussi et avant tout pour moi se faire confiance.
Car lorsque je le fais, je décide de le faire consciemment ce qui a une double valeur.

La prochaine fois, je vous parlerais de la patience, c’est un sujet qui m’a trop souvent fait défaut, alors je vous donnerais mes conseils.

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