Pourquoi ne le fait-on pas?
Cette question veut tout dire et rien dire, pourquoi?
Il y a tout simplement un manque de clarté et de compréhension envers soi-même.
Au cours de mes nombreux coaching, j’ai remarqué que plusieurs éléments étaient présents, pour ne pas le faire.
Dans un premier temps, il est impératif de déterminer pourquoi je vais le faire et pourquoi je veux le faire, sans quoi je peux très vite me perdre dans le comment? Ou encore le quoi? Le où?
Bref, ce que je veux dire par là c’est que les chemins pour se disperser sont infinis. Donc autant mieux se raccrocher à chaque fois que possible au fil conducteur qu’est le POURQUOI?
Je vais vous faire état de certaines situations qui nous poussent à ne pas le faire:
. Lorsque nous avons pris l’habitude que l’on nous dise quoi faire et quand?
En procédant ainsi, je ne prend pas d’initiative et reste dans une forme de passivité. Donc je n’ai pas appris autre chose que cela.
Je fais ce que je sais faire.
. Attente d’approbation.
Si je décide de mettre du nouveau dans ma vie. Bien souvent, j’ai eut besoin d’approbations car je ne me sentais pas forcément à la hauteur. Ou encore qu’il soit possible que se soit une perte de temps.
Je ne voulais pas assumer cela tout seul. Alors dans ces cas là, lorsque j’arrivais à obtenir l’approbation de certaines personnes, il m’était alors plus facile de me lancer.
Sauf que bien souvent, cela ne coïncidait pas avec les attentes/envies de ceux à qui je posais la question. Et comme je ne voulais pas l’assumer seul, par peur du rejet et bien je ne le faisais pas.
. La peur du ridicule.
J’ai beau savoir que la peur du ridicule ne tue pas et pourtant combien de fois le ridicule m’a empêché de passer à l’action?
Oui, ce n’est pas confortable d’être ridiculisé. Mais que se passe-t-illorsque je le suis?
Et bien j’ai la possibilité, d’apprendre, d’en constater un résultat concret et non qu’un résultat abstrait.
. La peur d’être critiqué.
La peur d’être critiqué se rapproche au niveau des conséquences de celle de la peur du ridicule.
Maintenant, avec du recul et de l’observation, j’ai pris conscience que ceux qui le font, sont ceux qui ne font rien de nouveau et qui ne tentent rien.
Ce qui fait que pour se sentir moins seuls dans leurs cas et bien la seul façon qu’ils trouvent pour exprimer cela et de critiquer.
La critique est facile, alors que l’action est toute autre.
Plus jeune, je critiquais mes parents, mais en fait, je ne connaissais rien à leur vie du passée. Je ne comprenais pas qu’ils la reportaient inconsciemment dans mon présent. Et qu’automatiquement, le décalage entre l’avant et le présent de l’époque pouvait être conséquent.
C’était alors un peu la loi du plus fort. Et dans le rapport parents/enfants, c’est complexe car il y a un déséquilibre dès le début physiquement, puis mentalement et l’histoire qui n’est pas la même.
Cela est vrai pour mes parents et pour chaque nouvelle que je côtoie.
Chacun a son histoire et son vécu, ce qui veut dire que chacun à une projection de sa vie.
Dans ces cas là, chaque critique blesse la personne.
Cela peut-être atténué grâce à la communication, la compréhension, le lâcher prise, l’ouverture d’esprit au nouveau.
. Tourner autour du pot.
Cela se vérifie, lorsque l’on observe un manque de clarté dans les objectifs.
Ce manque, découle souvent d’un manque de moyen, qui n’est pas que financier. Par exemple ne pas pouvoir mettre un mot exact sur ce que l’on peut ressentir est dû à une insuffisance de mots pour le sujet convoité et recherché.
Chaque sujet à un lexique, un vocabulaire prédéterminé pour mieux se comprendre. En parlant d’un même sujet avec un lexique et un vocabulaire déterminé, il est évident que la compréhension ne sera pas la même.
Les mots seront différents et parfois même incompréhensible.
Cela amène donc à une phase d’apprentissage, pour pouvoir poser et mettre les mots justes pour chaque situations. En procédant ainsi, je suis plus clair ce qui implique que je ne tourne plus autour du pot.
De plus l’une des erreurs que je commettais continuellement, c’était de me renseigner auprès de mon entourage qui n’expérimentais rien de neuf. Alors comment pouvais-je avoir des résultats allant dans mon sens?
Agir, c’est bien. En conscience c’est mieux et en groupe ça l’est encore plus.
Car je peux aller plus vite en me mouvant seul. Maintenant, si je veux aller loin dans cette démarche et cette envie. Et bien j’ai tout intérêt à m’entourer de personnes semblables à moi.
Cela m’a demandé beaucoup, notamment en remise en cause.
J’ai tout remis en cause, ce qui est une erreur, car tout n’est pas à remettre en cause. Par exemples, les lois universelles telle que la loi sur la gravité n’a pas lieu d’être remise en cause. Car cela revient à aller contre la nature.
Maintenant, toutes les croyances qui ne concernent que ma personne et ma vision du monde peut être remise en cause, afin de mieux comprendre mes mécanismes internes et donc mon fonctionnement.
En aillant emprunté ce chemin, tous les jours j’évolue, je grandi, j’apprends, je rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux mots. En d’autre mots en m’autorisant, je deviens quelque part un explorateur. Un explorateur de la vie.
Ainsi en explorant la vie, je rencontre des personnes sur le même chemin que moi à un niveau donné. Ce qui fait que nous pouvons évoluer avec un même vocabulaire, une même compréhension.
Et si je rencontre des personnes qui veulent évoluer et arriver à un niveau similaire au mien et bien c’est avec plaisir que je leur enseigne ce que je sais, pour les amener à croître dans leur vie.
Maintenant, cela ne peut partir que d’une personne, « toi ».
Si tu veux grandir et apprendre un peu plus sur ton fonctionnement, je suis présent pour t’amener à évoluer.
Dites moi en commentaire, ce qui vous bloquent et vous empêchent de passer à l’action.