« Jamais deux sans trois »: »Envies les envies, envies tes envies, découvres tes envies. » Revisité. 2/2

Nous avons vu au cours du précédent article « I. L’envie d’avoir envie, »
Et maintenant nous allons voir:
 » II) Mais comment faire avec cette nouvelle envie d’avoir des envies ? « 

Nos envies seraient-elles un instrument de mesure, un instrument pour gouverner et diriger nos vies.
Sont-elles là pour mener à bien notre vie et ainsi nous réorienter en cas d’égarement?

Quand l’envie renaît, nous arrivons à regain d’énergie extraordinaire et une folle envie de découvrir ses envies qui s’éveillent et se réveillent en nous.
Par la même occasion, nous nous approchons grandement de nos valeurs profondes, celles ancrées en nous depuis le début de notre existence. Nous retrouvons l’envie d’avoir des envies et entrons ainsi dans ce que nous pouvons appeler plus communément un « cercle vertueux ».

Maintenant, avoir des envies c’est bien beau, toujours est-il qu’il est important de savoir quoi en faire avec toutes ces mises à jours d’envies.
Autrement, devant la quantité et le désordre nous avons de grandes chances de nous laisser submerger et abandonner avant de se retrouver à nouveau « perdu » et « sans aucun sens concret à prendre ».

II) Mais comment faire avec cette nouvelle envie d’avoir des envies ?

Quand nous nous reconnectons à l’envie d’avoir envie, avons une nouvelle énergie et l’envie de faire de nouvelles choses. Parfois quelques-unes seulement et tant mieux car cela nous laisse le temps de pouvoir les explorer et les apprécier grandement. Et parfois plein d’envies arrivent en même temps.

1) Alors que pouvons-nous faire avec cette nouvelle énergie ?

Avec la présence de cette nouvelle énergie, nous allons avoir besoin de se canaliser. Autrement le risque est de perdre pied et, au fil du temps, en venir à se décourager, jusqu’à abandonner. Sauf, si une solution alternative est trouvée pour apprivoiser cette nouvelle énergie.

Par exemple, j’ai touché du doigt cette énergie avec cet article que je rédige actuellement sur les « envies ». Au début, c’était extraordinaire, je me laissais porter part cette envie de vous retranscrire ce à quoi je venais de m’éveiller.
Sauf que je n’arrivais pas à la canaliser, il me manquait du vocabulaire pour pouvoir mettre des mots sur ce que je ressentais et vivais.
C’était vraiment désagréable à vivre car il y avait là un véritable paradoxe.
Je voulais vous apporter quelque chose de surprenant et pourtant je voyais bien, ou du moins ressentais bien qu’il me manquait à nouveau quelque chose pour vous partager cette énergie bienfaisante qui m’envahissait.

Face à ce constat et cette prise de conscience, un sentiment inverse et désagréable se fit ressentir en moi. Je n’arrivais pas non plus à y mettre de véritable mots et d’ailleurs, je cherchais nullement à en mettre car ça je ne voulais pas le voir.
J’ai donc fuis et assumé ce sentiment en vous fournissant le premier jet de mon article sur les « envies » qui ne relatais qu’en définitive une bien mince partie de ce que cela pouvait réellement dire.
Vous savez, un peu comme les iceberg, nous ne voyons que la partie émergée de ceux-ci et ne voyons pas celle immergée.
Cependant intellectuellement, nous savons que cette partie est importante par contre concrètement nous savons quoi?
Car entre le vivre concrètement et intellectuellement, il y a deux.
Ces deux parties peuvent être proches comme aux antipodes et ce n’est qu’en le vivant réellement à partir de tous ses sens que nous entrons dans cette pleine conscience qui peut être agréable, comme désagréable.
Ce côté désagréable n’est en réalité qu’une partie de nous qui n’est pas encore « musclée ».

A ce moment là, une nouvelle prise de conscience arrive et plutôt que de fuir à nouveau, je l’accueille pour tenter de l’apprivoiser.
J’entre ainsi dans un nouveau mode: le mode « recherche de solution extérieur à moi ».

J’ai alors fait une nouvelle tentative pour vous retranscrire cet article, cependant le résultat a été le même que le précédant. Sauf qu’au terme de ce nouvel essai je me sentais plus nul que la première fois.

Plutôt que, d’entrer dans mon auto-sabotage que je connais bien et qui me mène souvent à l’abandon. Je me suis alors mis à l’évidence que je n’avais pas en moi les justes mots et la structure pour retranscrire ce que je souhaitais vous partager.
C’est à ce moment où j’ai fait appel à mon amie Ludivine LESENECHAL, experte dans la rédaction et la correction d’articles, de mémoires, de livres, afin que je puisse mettre de la clarté dans toutes mes idées et envies.

Et grâce à cette aide j’ai pu envisager une solution et redonner tout le sens et l’éclat de cette énergie que je souhaitais vous partager.
Ainsi, je mène à bien cet article et continue mes projets en-cours d’éveils.

2) Comment faire quand on a envie de plusieurs choses en même temps ?

Je vous invite à les lister et voir celles qui te fait le plus tripper/vibrer, parce que ce sont elles-ci qui vont te donner encore plus envie d’avoir envie et de cultiver cette envie.
. Puis parmi ses envies, mettez sur chacune une note : plus elle sera élevée, plus elle devra retenir votre attention.

Demandez-vous ensuite lesquelles de mes envies vont combler réellement mes besoins. Lesquelles autres sont juste pour le fun ?

A partir du moment où tu as mis de la clarté dans tes envies, je t’invite à ne prendre que les 3 premières les mieux notées de ta liste pour les « cultiver » jusqu’à les voir éclorent/apparaîtrent dans ta réalité.

Cultiver, ça va être par exemple de la nommer spécifiquement.
Par ex : J’ai envie de construire une maison. Ok, mais tu veux une maison de quelle couleur ? Située où ? De combien d’étages ? Bref, il va falloir aller plus dans le détail.

« Le détail mène à l’excellence » alors pourquoi vous priver de votre excellence, lorsque vous pouvez le faire en prenant ce temps pour vous?

Après avoir spécifié les détails de nos envies…Qu’est-ce que nous faisons avec ça ?

Les envies doivent contribuer à notre évolution. Si nous nous sentons bloqué et que nous ne faisons rien, et bien nous restons là où on est et c’est dommage.
Nous ne sommes pas obligés d’atteindre le stade de la souffrance pour réagir, nous pouvons agir en posant ses propres choix, ses propres directives, ses propres décisions, ses propres détails, ses propres règles.

Et à partir de ce moment là, nous pouvons tracer notre propre route dans la Vie.

Conclusion:

« Nous pouvons être cette voie sans trace de pas. »
Ce qui veut dire que tout est à construire. Maintenant, construire pour construire, nous pouvons construire notre propre vie, grâce à nos instruments internes que sont nos envies et nos instruments externes que sont notre entourage.

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