La semaine dernière, j’avais tout calculé, tout prévu et…
… le début de la journée a été top, le milieu aussi. Par contre la fin, je ne la connais pas, pourquoi dis-je cela ?
Tout simplement car la fin de la journée du jeudi à retentie et je m’en suis aperçu qu’à 00:07. Nous n’étions plus le jeudi et bien vendredi matin.
Plus moyen de faire marche arrière, pourtant j’ai cogité pour.
Je pouvais me lamenter sur mon sort et cela aurait été gâcher la journée au top. D’ailleurs tellement top, qu’elle m’a fait sortir de la notion du temps.
Bon, j’avoue que je m’en suis voulu comme même un bon jour. Mais qu’importe au final j’ai été fier de moi, non pas sur le résultat, mais sur ma forme que cela prenait.
Avant, il me fallait des jours, voir des semaines, des semaines et même des années pour digérer cela.
Pourquoi autant de temps me diriez vous?
En prenant du recul, ce n’est pas grand chose. Or mit bout à bout, cela peut très vite devenir une montagne.
C’est pour quoi, il est important de revoir ces priorités. C’est ce que j’ai donc fait en me disant, qu’est ce que tu veux ? Comment tu veux te sentir?
- Et puis là, petit à petit, je me suis dit c’est vrai ça qu’est-ce que je veux?
- Offrir me meilleur.
- Comment offrir me meilleur ? Est-ce que tu crois que c’est en ne prenant pas le temps de le faire, pu de me faire en quatrième vitesse?
- Non, bien sûr que non.
- Alors assumes, cela.
- Et comment ?
- En ne le faisant pas après la date passée et en disant la prochaine fois pourquoi tu ne l’as pas fait.
- Ah oui c’est comme ça que l’on assume ?
- Oui, tu es humain, tu n’es pas une machine. La fois dernière, tu as vécu une journée sensationnelle et sous prétexte qu’il y a un truc qui a foiré, tout est à mettre à la poubelle pour toi ?
- Non, bien sûr que non.
- Pourtant, c’est ce que tu étais prêt a faire à nouveau.
Oui, cette rigidité que je m’imposais continuellement ne laissait pas de place à la flexibilité, aux imprévus.
Ce qui fait que lorsque la flexibilité ou les imprévus intervenaient et bien je me sentais perdu, sans quoi savoir faire, sans quoi faire à la place. Je me contentais que l’extérieur gère cela pour moi. Et souvent, je considérais qu’il le gérait mal car je n’étais pas ouvert à ça. Donc automatiquement, tensions, complexités, frictions, heurts et j’en passe.
Oui, il est plus facile d’entrer dans une maison, lorsque la porte est ouverte. Autrement, c’est toujours possible mais les moyens mis en place se doivent d’être plus importants et stratégiques pour limiter les dégâts à réparer.
Le fait de ne pas comprendre et de se poser en prenant du recul et en essayant de mettre des mots, très vite la situation devient plus paisible et surtout plus claire.
Et vous les Ami e s, comment faites vous lorsque vous ne comprenez pas ?