« L’appel. »

« L’appel. »

L’appel prend et à plusieurs sens, tout dépend de son contexte.
Pour y voir plus clair, nous allons nous rapprocher du dictionnaire de « l’internaute ».

Sens 1: Action d’appeler, d’attirer l’attention de quelqu’un par la voix ou par un geste.
Exemple : Un appel au secours. Un appel téléphonique.
Sens 2:  Invitation, incitation à agir.
Exemple : Un appel à la raison. Un appel à l’action.
Sens 3: Action de convoquer des jeunes au service militaire. (la JAPD)
Sens 4: Action de nommer les personnes pour vérifier leur présence.
Exemple : Faire l’appel à la rentrée des classes.

Cela peut sembler étrange et pourtant l’appel est bien utile pour être inciter à passer à l’action.

Ce qui est intéressant à voir, ressentir, percevoir ou encore vivre, c’est pourquoi être appelé? Pour quoi être appelé? Pour qui être appelé? Par qui ou quoi sommes nous appelés?

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La traversée du désert.

La traversée du désert.

La traversée est un bien grand mot qui peut faire peur et pourquoi donc?
Pour vous expliquez, ou encore vous retranscrire au mieux cela.
Nous allons voir comment la « traversée », peut-être perçue et ressentie en soi et je vais définir ce mot grâce à l’aide du dictionnaire de l’internaute. Dans un but de rendre les choses évidentes, simples et claires. Tout du moins, je vais essayer.
Le même processus sera employé pour le mot « désert ».
Et enfin, je vous donnerez quelques astuces afin que cette traversée du désert soit la plus confortable possible. Et autrement dit voir comment la rendre moins pénible possible.

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Pourquoi dépasser et se dépasser?

Pourquoi dépasser et se dépasser?

C’est un titre qui à toute son importance.

Il arrive des moments dans la vie où dépasser est incontournable pour explorer et ressentir qu’il est possible de simplement dépasser celui qui est devant nous et qui nous limite, tout simplement.

Cette notion de limite est présente partout, parce qu’on nous le rappel partout, que se soit en visuel, en auditif, en ressenti. Cette limite nous amène à nous limiter avant même d’essayer. Et pourquoi cela?

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La notion du temps?

La notion du temps?

Le temps est mesurable et pourtant n’est pas palpable. Nous ne pouvons pas le toucher, il se ressent, s’observe et il laisse des traces lors de son passage.
Ces traces peuvent avoir des conséquences bénéfiques comme maléfiques.
Là encore, ces conséquences se ressentent, se vivent bien ou mal tout dépend ce que l’on en fait.

Nous pouvons l’observer auprès des enfants, ils grandissent d’une date d’anniversaire à une autre.
Auprès d’un adulte avec l’apparition de cheveux gris.
Mais l’impact du temps se fait sur tout autres parties du monde, que ce soit des humains, des projets, des choses, ou encore la nature, les animaux.
Rien n’échappe au temps, puisque tout à une durée de vie plus ou moins longue.

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Se reconstruire

Se reconstruire.

J’ai peut-être été trop vite en besogne pour  « Comment vivre la vie de ses rêves. »

Selon le dictionnaire Larousse, « reconstruire » à pour définition:
. Construire de nouveau ce qui a été détruit : Reconstruire une ville ravagée par un tremblement de terre.
. Rétablir quelque chose dans son état premier : Reconstruire sa fortune.
. Imaginer quelque chose autrement, en général de manière contestable : Reconstruire l’histoire.

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Comment vivre la vie de ses rêves?

Comment vivre la vie de ses rêves?

Je vais continuer à parler en ma personne, donc avec le « je ».
Je ne veux pas dire « vous » car tout le monde est unique.
Dans ces cas là, nous avons déjà un début de réponse, uniquement avec ces deux phrases pour vivre nos rêves.
Cependant, je vous invite à aller plus loin dans cette question, qui peut mener à une réflexion et voir plusieurs si nous en voulant en savoir plus.

Si je n’y suis pas encore parvenu à vivre la vie de mes rêves, c’est qu’il y a une raison. Laquelle? Ou Lesquelles?

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L’intérêt de l’ordre et le chaos.


  • L’intérêt de l’ordre et du chaos.

    Pour débuter, il est important pour moi de toujours définir les termes de mon sujet de la semaine, ici: l’ordre et le chaos.Nous verrons ensuite l’intérêt de l’un, l’ordre, et celui de l’autre, le chaos.

    Nous observerons, ou du moins nous prendrons le temps de remarquer, que l’un né de l’autre et vice versa qui se justifie par une forte corrélation entres ces deux notions. Nous terminerons par un constat simple et évident de cette corrélation, analysé d’un point de vue personnel.

    Qu’est- ce que l’ordre? Qu’est-ce que le chaos ?

    Il convient de définir les termes de manière conventionnelle. De ce fait, les définitions sont extraites du dictionnaire HACHETTE encyclopédie.

    Nous retenons ici, les définitions suivantes:

    – Ordre: nm. Organisation d’un tout en ses parties. Ordre chronologique.

    – Chaos: nm. Désordre, confusion extrême.

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Est-ce que la perfection existe?

Est-ce que la perfection existe?

Je trouve cette question excellente, car je répondais comme tout le monde, « non la perfection n’existe pas. »

Et pourtant en êtes vous sûr?

Jusqu’à présent, je ne remettais pas cette affirmation en cause, car je faisais le mouton, le suiveur, celui qui n’arrive pas à s’affirmer et à être tout simplement.

Que la perfection n’existe pas avait été intégré avec « force » en moi.
Cela correspondait en imageant les choses, « Ah ben tu n’en veux pas et ben t’en auras deux. » Et je me retrouvais avec deux je ne sais pas quoi.
J’étais alors embarrassé et surtout encombré. Et le comble dans l’histoire, c’est que pour m’en débarrasser, je devais accepter les deux je ne sais pas quoi.
Sauf qu’en les acceptants, le monde pensait que j’aimais les « je ne sais pas quoi. »
Ce qui fait que je me retrouver avec beaucoup de « je ne sais pas quoi ».
Cela me dérangeait énormément, mais comment le dire? Comment le faire comprendre?

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Sommes nous « finis(ies) » ou « infinis(ies) ».

Sommes nous « fini(e)s » ou « infini(e)s »?

Avant de débuter cet article, il est nécessaire de savoir ce que ces deux notions veulent dire. Selon le dictionnaire HACHETTE encyclopédique:
– « fini, ie » a 1 Parfait, achevé. 2 Usé intellectuellement.
                 nm 1 Perfection. Manquer de fini. 2 Ce qui a des bornes. Le fini et l’infini.
-« l’infini, ie » a 1 sans bornes. Espace, durée infinis. 2 Très considérable. Infinie variété d’objets. nm Ce qui est sans limites. Loc A l’infini: sans fin.

Commençons par le début: la naissance. Naissons-nous fini(e)?
Si tel était le cas, il n’y aurait pas de place à l’évolution. Nous serons, vous et moi, bloqués dans le temps, ce qui nous amènerait à une mort certaine.
De plus si nous naissions fini(e)s, nous n’aurions aucun choix possible. Nous serions contrains de répondre aux besoins primaires de l’Homme: naître, manger, grandir, se reproduire et mourir, et cela sans but précis.

C’est une pensée que j’ai eut pendant plusieurs années et l’environnement dans lequel j’évoluais me confortais ce mode de pensée.
Puisque toutes pensées étrangères qui me venaient, semblaient utopiques, hasardeuses et sans sens.
J’en avais mare de me sentir seul et incompris de l’extérieur, alors je « finissais » par me contraindre et m’oublier pour me sentir moins seul.

Pour résumer ma façon de penser, c’était: « tu nés, tu vis, tu crèves. »
J’avoue que cela n’étais pas une chose trépidante à vivre et ressentir. Je ne trouvais pas de sens, je ne faisais plus confiance et ne me faisais plus confiance.
J’étais perdu et je ne voulais plus me faire rejeter, critiquer, battre. Je ne voulais plus rien et pourtant, je restais en vie.

Je trouvais cela très étrange pour quelqu’un qui ne voulais plus rien.
Je suis alors entré dans le « rien faire », et c’est alors que je me suis rendu compte que le « rien faire » est tout un art.
C’est un art qui demande beaucoup de concentration, d’attention et d’énergie car resté fixé sur une personne, un animal, un élément, une situation, une chose ou encore la nature. Et bien la complexité est bien plus grande qu’elle n’en paraît être.

J’étais subjugué car ne rien m’amener à entrer dans une observation et quelle observation?
Ma croyance initiale que notre but était « fini » voir « prédéfini » devenait de plus en plus bancal. Je ne savais pas à l’origine que l’observation aller me faire entrer sur et dans plusieurs niveaux, plusieurs « terrains de jeux ».

Moi, qui aime la complexité, la stratégie pour rendre les choses simples et compréhensibles et bien j’étais servi.

Nous naissons non fini, nous continuons à grandir et à évoluer tout au long de notre vie.

Cette observation peut se faire à différents niveaux, dont:
– sur le plan physique
– sur le plan psychique
– sur le plan émotionnel

Sur le plan physique:
Nous commençons à 4 pattes à l’état bébé, pour ensuite être sur 2 pattes à l’état enfant, adolescent, adulte. Et ce pour la majeure partie de notre vie.
Et finir à 3 pattes pour les personnes âgées ayant la nécessitées d’une canne.
Maintenant, cela n’est qu’une observation et un constat fait pour la majorité d’entre nous. Il y a toujours des exceptions et heureusement, car cela me montre à nouveau et me démontre que nous ne sommes pas « finis, ies ».

Sur le plan psychique:
Notre psychisme évolue à chaque fois que nous observons quelque chose de nouveau. Car notre cerveau est une tête chercheuse et à besoin de comprendre. Comprendre ce qu’il ne comprend pas.
Maintenant, grâce à l’observation et à mon expérience personnelle, je me suis rendu compte que peu de fois je me suis fais confiance pour trouver par moi-même. Et la raison est simple « pendant des années, petit j’ai appris à demander l’autorisation pour faire. »
Autorisation, qui était donnée ou non. Lorsqu’elle était donnée tout allé bien, mais lorsqu’elle ne l’était pas et bien je restais dans un mode « bug ». Car pas de réponse, pas de résultat. Je pensais que c’était ainsi et un peu comme une fatalité, car je n’avais pas d’autres options.
Une fois adulte j’apprends que les limites que je connaissaient ne sont plus d’actualités. Alors pour cerveau, ce n’est pas simple à comprendre à ce moment là. Je redeviens alors un « aventurier » dans ma vie en me disant que les limites d’hier, ne sont pas les limites d’aujourd’hui.

Ces limites ne sont qu’en évolution. C’est à moi d’apprendre à les apprivoiser pour être le plus aligné avec moi et le plus juste possible avec mes aspirations.
Les limites que j’avais « hier », n’étaient pas réellement mes limites. Elles n’étaient que des limites de mon environnement qui n’avaient jamais été remises en questions et à plat.

Pendant combien de temps le monde croyait que la terre était plate?
Et que le jour où Galilée affirmait que la terre était ronde, et bien cette affirmation à été contestée avec une grande violence.
Maintenant, dire à quelqu’un, que la terre est ronde et bien, c’est une évidence.

Cette infinité, nous rend sur un terrain sans limite ou plus rien n’est certain. Ce qui fait qu’inconsciemment nous entrons dans une forme de doute certaine.

En sommes-nous conscient?
Dans une infime partie « oui » et tant mieux car cela, nous laisse de la maîtrise dans nos actions. Et dans ce cas là nous pouvons réguler nous même, ce doute et cette incertitude.
Maintenant, si nous n’en sommes pas conscient, alors notre inconscient va nous pousser à dire, faire des choses ou encore rencontrer des personnes et situations différentes pour me bousculer et changer mes habitudes.
Tout cela dans un but, celui d’Être un peu plus maître de nous.

Maintenant, il est important d’aller à son allure.
Celle-ci est propre à chacun. Et lorsque nous sommes sur une même longueur d’ondes, alors des affinités, des liens se créent, ce qui nous permet de se sentir moins seul et pouvoir converser concrètement avec des personnes sur des sujets qui nous animent intérieurement et le tout sans avoir de craintes pour en parler.

Ici dans ce blog, c’est ce que je me permets de faire. Pouvoir agir ainsi, libère.
Et quoi de mieux que de se sentir libre?

Maintenant, j’ai conscience que trop de liberté peut faire peur et que j’ai besoin de ramener une forme de cadre pour revenir au concret au travers ce blog, mes formations, mes coachings, mes accompagnement et tout simplement l’observation de la vie.

Et vous comment vous sentez-vous? Bloqué ou libre?