Qu’est-ce que les douleurs cherchent-elles à me dire?

Qu’est-ce que les douleurs cherchent-elles à me dire?

Selon Wikipédia, la douleur est une « expérience sensorielle et émotionnelle désagréable », une sensation subjective normalement liée à un message de douleur, un stimulus nociceptif transmis par le système nerveux.

Et la complexité des douleurs est qu’elle se retrouve à tout un tas de niveau différent, tel que sur le physique, le côté émotionnel, le côté mental, le côté spirituel.

Et toutes ces douleurs peuvent amener à une incompréhension et donc un repli sur soi et un terrain propice à tout types de douleurs.

Nous avons tous des questions en nous, portant sur des sujets plus ou moins délicats.

Par exemple, dans ma vie j’ai été proche de la violence physique, psychique, verbal et que je n’ai jamais réellement voulu affronter. Je préférais subir, ou fuir plutôt que d’affronter, car j’avais « peur », « peur » d’Être ce que je subissais.

La défense, face à la « peur » se manifeste sous différentes formes. Et la notre cerveau reptilien nous aide ou pas. Le cerveau reptilien est le cerveau primitif, animal, que nous avons tous en nous.
Toujours est-il, qu’il nous donne une solution et cette solution est la première qui nous vient à l’esprit. Elle consiste soit à « attaquer », soit à « fuir ».
Il se peut aussi qu’il y ait des « bugs », tel que la tétanie où à ce moment là, une forme de paralysie nous gagne et c’est un phénomène que j’ai connu à maintes reprises dans ma vie.
Pourtant, à l’heure d’aujourd’hui il y a bien des étapes intermédiaires entre la fuite et l’attaque, car j’avoue que de passer de fuyard à attaquant la marche est énorme, surtout si derrière, il y a plein de schémas présents et ancrer pour fuir.

C’est pour cela que je me suis attelé à la dure tâche, de dénouer mes gros nœuds en moi. Ces derniers m’ont empêché d’avancer et d’être pleinement dans ma vie.
Avant, je ne cherchais pas à le dénouer faute de moyens et surtout de temps, car ça prend un temps fou de dénouer un super gros noeud.
La plupart du temps, la pression ressenti et l’impatience de mon environnement me gagner et je préférais me remettre dans le « moule ». Ainsi, je préférais ignorais ce « putain » de noeud qui me faisait « chier ». Car je voyais les autres avancer dans leurs vie et pas moi.

« En suivant le chemin qui s’appelle plus tard, nous arrivons sur la place qui s’appelle jamais » Confucius

Aujourd’hui je sais que comparaison égal « suicide », donc j’avance à partir de moi et du rythme qu’il me faut.
Je sais que je suis encore enclin à me comparer même si cela diminue de plus en plus avec le temps.

J’apprends, tout ce que je peux en fonction de mon rythme que j’ajuste encore aujourd’hui.

Ce « noeud » qui est apparu au court de mon jeune âge et je n’ai pas su le dénouer, j’avais souvent pour réponses « je ne sais pas », « tu n’as qu’à », « vas voir ailleurs, si j’y suis », « débrouilles toi, tout seul, tu es grand maintenant » et jamais une réelle explication comme j’aurais aimé quelle soit formulée ou donnée. A ce moment là, une panoplie d’émotions se mélangeait en moi et jusqu’à en perdre plusieurs fois pieds.
Avec le temps, ce noeud à grossi entraînant des douleurs de cervicales, de dos et de jambes. Tout est lié, tout à une vie, tout à un début et une fin.
Les douleurs font parties de ce « tout », donc il ne déroge pas à la règle.

Pour moi, les douleurs, sont présentes pour nous aider à réajuster notre cap telle la philosophie du marin, qui ne garde pas le cap mais qui le réajuste constamment.
Naturellement, il arrive qu’il y ait des tempêtes et c’est là ou il faut être un bon marin car il sait que derrière les nuages, le soleil est toujours présent pour l’aider à s’épanouir. Sans soleil, il n’y aurait pas de vie.

Tout est équilibré dans la vie et tout à sa raison d’être.

Si vous voulez avoir plus d’explications sur la nature de vos maux (mots) ou encore douleurs. Je vous invite soit à me contacter en me laissant un commentaire et je me ferais un plaisir de vous y répondre.
Soit en allant faire un tour sur le site de « Lise Bourbeau » http://www.ecoutetoncorps.com/fr/ ou je me suis inspiré de certaines choses.

Je vous dis à très bientôt et au plaisir.

Je réserve une petite surprise pour les 3 premiers qui me laisseront un commentaire.

 

Le retour, avec la distorsion du temps.

Le retour, avec la distorsion du temps.

Et quel « challenge »!! Ou plutôt quelle « nouveauté », car à force de tout prendre comme des « challenges » je m’étais bloqué complètement et tout seul en plus.

Le temps est le même pour tout le monde est pourtant celui-ci donne l’impression qu’il diffère d’une personne à une autre.

J’ai commencé mon inventaire, il y a 3 mois et sincèrement je ne pensais pas que cela me prendrait autant de temps. Et d’ailleurs ce dernier n’est pas encore fini. Pourquoi donc?

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L’inventaire et son utilité.

L’inventaire et son utilité.

Il a cinquante ans. C’est l’âge où un homme entreprend l’inventaire de ses biens.
C’est quoi réussir sa vie.
Ce qu’on gagne dans le monde, on le perd dans sa vie.
La part manquante (1989) de Christian Bobin

Selon Wikipédia: L’inventaire (latin inventus) est une liste exhaustive d’entités considérées comme un patrimoine ou une somme de biens, matériels ou immatériels, afin d’en faciliter l’évaluation ou la gestion.

Pourquoi s’intéresser à l’inventaire?
Personnellement, je ne veux pas comme le dit la citation, arriver à l’âge de 50 ans pour entreprendre un inventaire de ma vie et me poser ces questions.

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Formez-vous dès que vous le pouvez.

Formez-vous dès que vous le pouvez.

Au plus je me forme vers ce qui m’attire intérieurement, au plus je découvre et au plus mon horizon s’ouvre.
En apprenant, j’ouvre le champ des possibles et en agissant ainsi, je me rend vite compte qu’en ouvrant une, des portes du « savoir », je m’aperçois très vite que beaucoup d’autres se trouvent derrière.

En aucun cas, je panique, me frustre ou me stoppe dans cet élan, au moment de cette réalisation ou conscientisation.
Sinon, c’est l’un des meilleurs moyens pour ne pas aller plus loin.


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L’utilité des rencontres

L’utilité des rencontres.

« Rencontre » provenant du verbe rencontrer, celui-ci a pour définition selon le dictionnaire HACHETTE encyclopédique:
rencontrer vt : 1 Se trouver en présence de; entrer en relation avec quelqu’un.
                                 2  Affronter dans un match.
                       vpr : 1 Se trouver en présence l’un de l’autre.
                                 2 Se toucher se heurter.
                                 3 Exister, se trouver. Cela peut se rencontrer.

Si je fais un article spécialement sur les rencontres, c’est parce que celles-ci m’ont apportées beaucoup de réponses que je n’avais pas eut. Et je m’en privais moi même, car je restais bien ancré avec les personnes que je connaissais et aussi je ne voulais pas changer par peur.
Maintenant, grâce aux rencontres, j’ai aussi obtenu beaucoup de questions que je n’avais pas au début.
En rencontrant souvent de nouvelles personnes, je suis entré dans ce processus, où j’obtiens des réponses à mes questions actuelles et aussi la naissance de nouvelles questions qui seront résolues grâce à mes futurs rencontres.
C’est un apprentissage permanent.

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Nos valeurs propres, épanouissent notre Être.

Nos valeurs propres, épanouissent notre Être.

« Nul savoir, si étendu qu’il soit, ne permet d’atteindre à la plénitude de la sagesse, sans la connaissance de soi-même. »
– Bernard de Clairvaux

Il est indispensable d’avoir une bonne estime personnelle, pour connaître ses propres valeurs. Car dans le cas contraire nous sommes facilement influençables et nous nous retrouvons avec des valeurs, des étiquettes, que nous croyons être les nôtres et qui pourtant ne le sont pas.

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Le pouvoir des vacances.

Le pouvoir des vacances.

Les vacances d’été arrivent à grand pas, certains seront ravis et d’autres pas, pourquoi?

Juste le mot « vacances », peut nous rendre euphorique, car quelque part nous retombons à la période  de notre enfance, avec toute la magie que cela pouvait amener.
C’est d’ailleurs au moment de notre enfance, que nous avons pris conscience du mot « vacances ».

Pour ma part c’était un moment où, je pouvais lâcher prise et vivre comme bon me le semblais un moment donné. Je me retrouvais avec moi et des activités qui me plaisaient.
Je savais qu’il n’y avait plus les contraintes extérieures habituelles, tels que l’école, les devoirs, les sports et j’en passes.
Il restait tout de même un règlement interne à la famille, donc les vacances restaient tout de même cloisonnées.
Et grâce à cette cloison, je me sentais rassuré car papa et maman organisaient cette période avec plus ou moins de liberté.
Toujours est-il que c’était un moment ou je pouvais souffler sans trop de responsabilités à prendre car le maintien de celui-ci était assuré par mes parents.
Donc quelque part, j’accédais beaucoup plus facilement au repos, à la détente, aux jeux, à ma créativité, à mon insouciance.

A l’âge adulte, je trouve que c’est une toute autre histoire, les vacances peuvent être vécues et ressenties différemment.
Puisqu’au cours du temps, nous avons endossé des responsabilités supplémentaires, celles que nous n’avions pas à prendre par le passées.
Même si les responsabilités varient toujours d’un individu à un autre, (cf: le pouvoir de l’organisation)
Les responsabilités tournent toujours autour de l’individu, du foyer avec enfants, du couple, du travail, des activités annexes. Dans chaque situation, il y a relation et à partir du moment où des relations sont présentes, les responsabilités le sont autant.

Si nous n’avons pas appris à apprivoiser ces responsabilités, alors à l’âge adulte, nous stagnerons dans la même dynamique. Et ainsi nous resterons basé sur nos simples connaissances et ce qui se trouve à notre portées.

Pour ce qui est de notre portée, nous n’avons pas à aller chercher loin. En procédant ainsi, la déconnexion reste superficielle. On reste toujours relié à nos amis, nos repères, nos activités proches. Tout reste proche est le risque de retomber dans notre train, train quotidien est grand.

Pour essayer de nouvelles choses et pour être rassuré dans ce moment d’exploration, nous prenons des voyages organisés. Pour se délester à nouveau des responsabilités d’organisations.
A ce moment là, nous fonctionnons comme la majorité et nous avons de fortes chances d’être copieusement entouré.

Par contre, en prenant le temps de s’organiser, nous sommes plus en clin à réaliser de nouvelles choses, vivres de nouvelles expériences et tout ça en restant zen du au fait qu’elles ont été anticipées.
Cette anticipation fait suite à un inventaire fait au préalable, qui m’a permis de ne pas avoir à être être pris au dépourvu.
Naturellement, les besoins varient selon les vacances choisies. Je ne vais pas prendre des combinaisons de ski pour aller à la plage. J’exagère pour que cela soit explicite, combien de fois, j’ai réalisé mes vacances et me suis encombré de choses inutiles, pensant en avoir besoin, sous prétexte des au cas où ou on sait jamais.

Je me rends compte que les vacances sont aussi utiles pour se poser et se retrouver avec soi, faire un point sur soi et son mode de vie.
Si je ne change rien à ma vie et ma façon de faire, alors rien ne changera.
Si je veux changer quelque chose, c’est en profondeur et non en superficiel, car sinon un coup de vent et je suis perdu.
En changeant les choses en profondeurs, je prends mes responsabilités et deviens autonome à tout point de vu.

Certains prennent leurs vacances pour aller, vite, vite, et ainsi visiter le maximum de choses. Résultat des courses, ils sont plus fatigués qu’à leur départ.
Certains n’ont rien découverts de plus car ils ne peuvent pas accéder aux vacances, ou si ils y accèdent, ils se font encore plus de mauvais sens.
En voulant faire plaisir à leurs proches, c’est eux même qui subissent le stress et l’anxiété sous une autre forme puisque le vécu des vacances est différent de ce que l’on peut connaître ailleurs.

Certaines personnes prennent des vacances « farniente » et si elles ont été prévues alors il y a possibilité de laisser place à des improvisations.
Car avoir un imprévu dans un emploi du temps où tout est prévu ce n’est pas possible, ce qui veut dire qu’une flexibilité est nécessaire.

Des vacances trop rigides ne sont pas idéales pour ressentir cette sensation de liberté. Et des vacances trop souples amènent à trop de liberté et une sensation où l’on peut très vite se sentir perdu.
Même les vacances ont besoin d’un juste milieu pour les apprécier vraiment dans le « avant », « pendant » et « après ».

Les vacances idéales, sont celles où l’on arrive à réellement à se déconnecter au moment du « pendant ».  Car en ayant anticipé, le « avant » et « après », nous pouvons profiter pleinement du repos des vacances. Ainsi nous rechargeons nos batteries interne sans se soucier de rien d’autre.

Ce qui fait que l’on vit des vacances constructives, enrichissantes, inspirantes pour l’évolution de notre vie future.

Le bémol que je trouve, est que les vacances ont une fin. Cela est une habitude qui a été prise lors de l’enfance et qui est conservée à l’âge adulte.
Pourtant les responsabilités sont tout autres, le mot est le même mais pas les conséquences.
Je trouve aberrant de pouvoir vivre 5 semaines une vie qui nous inspire, contre 47 qui nous inspirent moins.
Donc construisons une vie sur mesure pour ne plus avoir cette sensation, déséquilibrée, de fin de vacances, de déception.

Si nous construisons notre vie, à notre image en fonction des impératifs, alors il est possible que le ressenti des vacances se déroulera toute l’année.
Autrement dit: « Restons dans les limites et vivons notre vie, car nous le méritons du fait que l’on soit présent, aujourd’hui. »
Transformons notre « présent » en « présence ».

Et vous comment vivez-vous vos vacances?

Le pouvoir de l’organisation.

Le pouvoir de l’organisation.

Au plus je m’organise, au plus je peux faire d’actions.
Et au moins je m’organise, au moins je peux faire d’actions.

Je remarque aujourd’hui que c’est évident et pourtant ce n’est pas quelque chose qui a toujours fait parti de moi.
Et cela, ne changera pas tant que je ne mettrai pas toute mon attention sur cette envie de m’organiser pour changer.

« Mon énergie, va où se trouve mon attention. »
Au plus je mets mon attention sur un sujet, au plus j’y consacre du temps.
Si je consacre mon énergie vers un mieux dans ma vie, alors je vais investir du temps dessus, j’apprendrai, implémenterai et serais ce que j’apprends.

En apprenant ce que je veux, je finirais par changer et vivre la vie de mes rêves.
Pour cela, je m’organise, teste, essai, confirme, retire, réajuste mon emploi du temps, afin de le rendre sur mesure.

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