La balade,
L’appel du large.
C’est bizarre, c’est étrange, c’est tout à la fois, vous savez cette énergie qui veut, qui croît dans les cocottes minutes et qui font tourner le sifflet.
Et bien c’est ce que je ressens.
Je suis content de pouvoir le verbaliser, car c’est quelque chose que j’avais occulté et qui me faisait tellement part que j’en avais une phobie et pour tant, il n’est pas question de rester dans un même lieu de sa naissance à sa mort. Du moins c’est ce que je pense et souhaite.
Autrement dit, il n’est pas question de rester dans le nid, de l’éclosion à la mort pour différentes raisons.
A quoi sert le silence? Et à quoi nous sert-il?
Cela va faire maintenant un mois que j’ai expérimenté le vide en me rendant dans la forêt.
Depuis lors, je recherche régulièrement le vide.
« Régulièrement » est peut-être beaucoup dit. Qu’importe je le recherche bien plus qu’avant et je fais plusieurs activités pour m’en rapprocher afin certainement de l’apprivoiser et de me sentir bien avec.
Et pourquoi donc se sentir bien avec le « vide »?
Qu’est-il?
A quoi nous sert-il?
Voilà plusieurs questions que je me poses au cours d’un exercice que j’opère quotidiennement. M’installer sur des morceaux de bétons où je laisse venir ce qui se déroule durant 30 minutes:
Expérience à la gare,
Je ne comprends pas, est-ce une fuite?
Est-ce un test?
Est-ce une envie?
Est-ce une peur?
Est-ce un essai?
Est-ce une frustration?
Est une incompréhension?
Est-ce une obsession?
Est-ce une réalité?
Est-ce un rêve?
Pourquoi tout change?
Pourquoi tout évolue?
Dans la nature,
Comme les deux fois précédentes je me suis donner un « timing » de deux heures où j’entrerais en observation. Je ressens « toujours » quelques peu une légère pression intérieur, car deux heures ce n’est pas « rien ».
Sauf que je prends goût à expérimenter cette sensation de me poser, j’y découvre tout un tas de sensations qui me font du bien, qui m’aident à ressentir mon corps et surtout avec cette impression de sortir du temps.
Alors aujourd’hui, j’ai choisi un espace non loin de chez moi pour renouveler cette expérience et vous la partager avec quelques photos et son:
Au Cœur du désert.
A la suite de mon précédent article portant sur le « Vide » , je me suis senti quelque peu différent, enthousiaste, joyeux, rempli d’énergie et un nouveau « fuel » qui circulait en moi que je ne saurais comment relater au juste. Cela fut une superbe expérience.
Par contre le lendemain, une sensation de vide incommensurable se faisait ressentir en moi. Je ne comprenais pas, je dirais même que cela était affreux à vivre. Ce quelque chose que je ne comprends pas, m’insupporte, d’autant plus lorsque la sensation et le ressenti sont désagréables.
Je me suis alors rappeler que « le maître fait avec ce qu’il a, alors que l’élève se plaint de ce qu’il a. »
Le vide,
Alalala le vide, c’est quoi? C’est où? C’est quand? C’est comment?
Oui le vide c’est une notion flou, puisque le mot à lui seul vient contrebalancer cette notion.
Pourquoi j’en viens à parler du vide?
Tout simplement car je veux l’expérimenter avec un maximum de conscience.
Je vous invite à me suivre pour en savoir plus sur cette notion.
Pourquoi je me fuis?
C’est une excellente question ?
Cette période de confinement tombe à point nommé, comme de par hasard.
Est-ce un hasard?
Ce »Coronavirus » met en lumière de nombreuses choses, situations, événements, loupés, stratagèmes pour compenser ce confinement.
Chaque nouvelle situation demande à notre organisme, notre intérieur de dépasser des peurs conscientes ou inconscientes.
Est-ce que j’ai déjà regardé ces peurs en face?
Est-ce que j’ai déjà réussi à les nommés?
Comment j’agis ?
Comment je réagis ?
Quels sont les compensations employées et déployées en moi?
»Que se passe-t-il ? »
Combien de fois cette question est posée dans une vie?
Pourquoi et pour qui?