L’intérêt de l’ordre et le chaos.


  • L’intérêt de l’ordre et du chaos.

    Pour débuter, il est important pour moi de toujours définir les termes de mon sujet de la semaine, ici: l’ordre et le chaos.Nous verrons ensuite l’intérêt de l’un, l’ordre, et celui de l’autre, le chaos.

    Nous observerons, ou du moins nous prendrons le temps de remarquer, que l’un né de l’autre et vice versa qui se justifie par une forte corrélation entres ces deux notions. Nous terminerons par un constat simple et évident de cette corrélation, analysé d’un point de vue personnel.

    Qu’est- ce que l’ordre? Qu’est-ce que le chaos ?

    Il convient de définir les termes de manière conventionnelle. De ce fait, les définitions sont extraites du dictionnaire HACHETTE encyclopédie.

    Nous retenons ici, les définitions suivantes:

    – Ordre: nm. Organisation d’un tout en ses parties. Ordre chronologique.

    – Chaos: nm. Désordre, confusion extrême.

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Est-ce que la perfection existe?

Est-ce que la perfection existe?

Je trouve cette question excellente, car je répondais comme tout le monde, « non la perfection n’existe pas. »

Et pourtant en êtes vous sûr?

Jusqu’à présent, je ne remettais pas cette affirmation en cause, car je faisais le mouton, le suiveur, celui qui n’arrive pas à s’affirmer et à être tout simplement.

Que la perfection n’existe pas avait été intégré avec « force » en moi.
Cela correspondait en imageant les choses, « Ah ben tu n’en veux pas et ben t’en auras deux. » Et je me retrouvais avec deux je ne sais pas quoi.
J’étais alors embarrassé et surtout encombré. Et le comble dans l’histoire, c’est que pour m’en débarrasser, je devais accepter les deux je ne sais pas quoi.
Sauf qu’en les acceptants, le monde pensait que j’aimais les « je ne sais pas quoi. »
Ce qui fait que je me retrouver avec beaucoup de « je ne sais pas quoi ».
Cela me dérangeait énormément, mais comment le dire? Comment le faire comprendre?

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Sommes nous « finis(ies) » ou « infinis(ies) ».

Sommes nous « fini(e)s » ou « infini(e)s »?

Avant de débuter cet article, il est nécessaire de savoir ce que ces deux notions veulent dire. Selon le dictionnaire HACHETTE encyclopédique:
– « fini, ie » a 1 Parfait, achevé. 2 Usé intellectuellement.
                 nm 1 Perfection. Manquer de fini. 2 Ce qui a des bornes. Le fini et l’infini.
-« l’infini, ie » a 1 sans bornes. Espace, durée infinis. 2 Très considérable. Infinie variété d’objets. nm Ce qui est sans limites. Loc A l’infini: sans fin.

Commençons par le début: la naissance. Naissons-nous fini(e)?
Si tel était le cas, il n’y aurait pas de place à l’évolution. Nous serons, vous et moi, bloqués dans le temps, ce qui nous amènerait à une mort certaine.
De plus si nous naissions fini(e)s, nous n’aurions aucun choix possible. Nous serions contrains de répondre aux besoins primaires de l’Homme: naître, manger, grandir, se reproduire et mourir, et cela sans but précis.

C’est une pensée que j’ai eut pendant plusieurs années et l’environnement dans lequel j’évoluais me confortais ce mode de pensée.
Puisque toutes pensées étrangères qui me venaient, semblaient utopiques, hasardeuses et sans sens.
J’en avais mare de me sentir seul et incompris de l’extérieur, alors je « finissais » par me contraindre et m’oublier pour me sentir moins seul.

Pour résumer ma façon de penser, c’était: « tu nés, tu vis, tu crèves. »
J’avoue que cela n’étais pas une chose trépidante à vivre et ressentir. Je ne trouvais pas de sens, je ne faisais plus confiance et ne me faisais plus confiance.
J’étais perdu et je ne voulais plus me faire rejeter, critiquer, battre. Je ne voulais plus rien et pourtant, je restais en vie.

Je trouvais cela très étrange pour quelqu’un qui ne voulais plus rien.
Je suis alors entré dans le « rien faire », et c’est alors que je me suis rendu compte que le « rien faire » est tout un art.
C’est un art qui demande beaucoup de concentration, d’attention et d’énergie car resté fixé sur une personne, un animal, un élément, une situation, une chose ou encore la nature. Et bien la complexité est bien plus grande qu’elle n’en paraît être.

J’étais subjugué car ne rien m’amener à entrer dans une observation et quelle observation?
Ma croyance initiale que notre but était « fini » voir « prédéfini » devenait de plus en plus bancal. Je ne savais pas à l’origine que l’observation aller me faire entrer sur et dans plusieurs niveaux, plusieurs « terrains de jeux ».

Moi, qui aime la complexité, la stratégie pour rendre les choses simples et compréhensibles et bien j’étais servi.

Nous naissons non fini, nous continuons à grandir et à évoluer tout au long de notre vie.

Cette observation peut se faire à différents niveaux, dont:
– sur le plan physique
– sur le plan psychique
– sur le plan émotionnel

Sur le plan physique:
Nous commençons à 4 pattes à l’état bébé, pour ensuite être sur 2 pattes à l’état enfant, adolescent, adulte. Et ce pour la majeure partie de notre vie.
Et finir à 3 pattes pour les personnes âgées ayant la nécessitées d’une canne.
Maintenant, cela n’est qu’une observation et un constat fait pour la majorité d’entre nous. Il y a toujours des exceptions et heureusement, car cela me montre à nouveau et me démontre que nous ne sommes pas « finis, ies ».

Sur le plan psychique:
Notre psychisme évolue à chaque fois que nous observons quelque chose de nouveau. Car notre cerveau est une tête chercheuse et à besoin de comprendre. Comprendre ce qu’il ne comprend pas.
Maintenant, grâce à l’observation et à mon expérience personnelle, je me suis rendu compte que peu de fois je me suis fais confiance pour trouver par moi-même. Et la raison est simple « pendant des années, petit j’ai appris à demander l’autorisation pour faire. »
Autorisation, qui était donnée ou non. Lorsqu’elle était donnée tout allé bien, mais lorsqu’elle ne l’était pas et bien je restais dans un mode « bug ». Car pas de réponse, pas de résultat. Je pensais que c’était ainsi et un peu comme une fatalité, car je n’avais pas d’autres options.
Une fois adulte j’apprends que les limites que je connaissaient ne sont plus d’actualités. Alors pour cerveau, ce n’est pas simple à comprendre à ce moment là. Je redeviens alors un « aventurier » dans ma vie en me disant que les limites d’hier, ne sont pas les limites d’aujourd’hui.

Ces limites ne sont qu’en évolution. C’est à moi d’apprendre à les apprivoiser pour être le plus aligné avec moi et le plus juste possible avec mes aspirations.
Les limites que j’avais « hier », n’étaient pas réellement mes limites. Elles n’étaient que des limites de mon environnement qui n’avaient jamais été remises en questions et à plat.

Pendant combien de temps le monde croyait que la terre était plate?
Et que le jour où Galilée affirmait que la terre était ronde, et bien cette affirmation à été contestée avec une grande violence.
Maintenant, dire à quelqu’un, que la terre est ronde et bien, c’est une évidence.

Cette infinité, nous rend sur un terrain sans limite ou plus rien n’est certain. Ce qui fait qu’inconsciemment nous entrons dans une forme de doute certaine.

En sommes-nous conscient?
Dans une infime partie « oui » et tant mieux car cela, nous laisse de la maîtrise dans nos actions. Et dans ce cas là nous pouvons réguler nous même, ce doute et cette incertitude.
Maintenant, si nous n’en sommes pas conscient, alors notre inconscient va nous pousser à dire, faire des choses ou encore rencontrer des personnes et situations différentes pour me bousculer et changer mes habitudes.
Tout cela dans un but, celui d’Être un peu plus maître de nous.

Maintenant, il est important d’aller à son allure.
Celle-ci est propre à chacun. Et lorsque nous sommes sur une même longueur d’ondes, alors des affinités, des liens se créent, ce qui nous permet de se sentir moins seul et pouvoir converser concrètement avec des personnes sur des sujets qui nous animent intérieurement et le tout sans avoir de craintes pour en parler.

Ici dans ce blog, c’est ce que je me permets de faire. Pouvoir agir ainsi, libère.
Et quoi de mieux que de se sentir libre?

Maintenant, j’ai conscience que trop de liberté peut faire peur et que j’ai besoin de ramener une forme de cadre pour revenir au concret au travers ce blog, mes formations, mes coachings, mes accompagnement et tout simplement l’observation de la vie.

Et vous comment vous sentez-vous? Bloqué ou libre?

 

Peut-on donner, sans prendre?

Peut-on donner, sans prendre?

J’ai toujours avancé dans ma vie, sans jamais remettre cette question en cause. Car la pression sociale y est et était importante, d’autant plus que mon entourage prônait cette croyance, qui normalement est propre à chacun.

Maintenant, en me retrouvant dans ma vie avec une telle croyance et où l’on me donnait quelque part le mode d’emploi pour être accepté et bien vu, il n’y avait plus qu’à.

« Donner c’est bien. »
Alors pourquoi faire défaut à cette affirmation dans la norme sociale où j’étais?

J’ai donné sans compter pour faire bonne figure.
Malheureusement ou heureusement, cela n’a duré qu’un temps. Car la vie se charge de tôt ou tard de rééquilibrer nos croyances, qui ne sont qu’une partie de la réalité. Nous ne voyons pas tout. Il y a tout ce que nous voyons et tout ce que nous ne voyons pas. Tout ce que nous savons et tout ce que nous ne savons pas.
Dans ces cas là, il est intéressant de côtoyer d’autres personnes, d’autres cultures, d’autres milieux et d’explorer le monde pour confronter nos croyances, qui ne cesses de grandir en nous tant qu’elles ne sont pas remise en causes.

J’ai du apprendre à remettre tout un tas de croyances que j’avais en questions et en causes. Cela m’a donné bien des challenges et des aventures rocambolesques.
J’ai avancé à mon rythme qui était ce qu’il était et au bout d’un moment, je me suis retrouvé dans un « cul de sac », une « impasse ».

Je me suis rendu compte à ce moment, que je n’étais plus dans le « donner » mais bien le « prendre ».
Je cherchais à « prendre » du nouveau pour continuer à « donner » du nouveau.

Je me suis rendu compte que lorsque je n’ai plus rien, alors je ne peu plus donner. A ce moment, un mal-être a commencé à grandir en moi et se faire de plus en plus ressentir, car quelque part, je désobéissais à un principe fondamental en moi.

J’étais devenu tellement différent, de ce que j’étais avant. Il me fallait avoir quelque chose à donner pour ainsi retrouver un équilibre en moi.

Maintenant, là aussi ça ne marche qu’un temps et pas avec les mêmes personnes.
Donc, j’ai perdu certains contacts qui m’étaient  chers, j’ai alors vécu un moment seul.

Peut-on prendre sans donner?

Si je ne fais que de prendre sans rien donner en retour, alors je vais très vite saturer et m’encombrer de choses, de savoirs bien souvent utiles au premier abord et inutiles à long termes par rapport à ce que je veux devenir et être.

« Donner et prendre », l’un ne va sans l’autre,
Il est important de se rappeler qu’au début, on m’a donné la vie et donc je suis déjà plein, de ce que je suis!! Et pourtant, ça je l’oublie, pour plusieurs raisons:
. J’en entends pas ou plus parler. Une langue qui ne se pratique pas, se perd à la longue.
. Je me laisse influencer pour découvrir ce que je ne connais pas,

Je suis tombé dans cette illusion d’avoir et d’avoir toujours plus, revenant à m’oublier un peu plus à chaque année qui s’écoule.

Pour avancer calmement et sereinement, je dois apprendre à me sentir léger et libre. Pour se faire, j’apprends à être un canal et non barrage.
Le « canal » laisse la libre circulation du « donner » et du « prendre ».
Et le « barrage » ne laisse pas l’échange se faire entre le « donner » et le « prendre ». C’est bien souvent à sens unique.
A ce moment, ce qui sont conditionnés à ne faire que « donner » vont attirer des personnes qui elles ne seront conditionner qu’à « prendre ». Pour qu’il y ait quelque part un équilibre.
Ce qui revient à dire que si je suis déséquilibré, je vais m’attirer quelqu’un de déséquilibrer dans l’autre sens pour qu’à nous deux, nous créons un équilibre.

Et j’ai remarqué avec le temps, qu’une fois avoir appris à nous rééquilibrer grâce aux challenges que nous rencontrons, nous nous détachons consciemment ou inconsciemment de ceux qui décident de rester adict à leurs conforts, inconfortables.

Tant que l’inconfort, n’est pas suffisamment inconfortable, pourquoi changer.

Ce qui revient à dire que:
« Peut-on prendre sans donner?
Peut-on donner sans prendre? »
Vécu à l’extrême, cela va nous attirer des personnes diamétralement opposées à ce que nous sommes.
Tout cela pour but d’apprendre à rééquilibrer notre perception erronée du monde, puisque nous ne percevons qu’une partie de ce qui est.

Je suis heureux, de pouvoir avancer vers cette « loi de l’équilibre » qui peut me demander beaucoup de temps, de concentration et d’attention pour ne pas à nouveau me déséquilibrer dans le sens opposé cette fois-ci.
Je dis cela car si à la base ma perception est erronée et que j’en ressors un inconfort trop grand, alors je vais changer et entrer en mode « rébellion » et m’orienter vers la solution contraire à celle que j’empruntais avant.

Dans ces cas là, je suis en réaction et non dans la maîtrise.
La réaction m’amène à ne plus rien contrôler car quelque part j’entre dans un mode de survie et de peur. Et là, les conséquences, sont bien souvent importantes.
Maintenant, si j’apprends à utiliser les outils pour maîtriser ou plutôt apprivoiser ce mode de survie et ce sentiment de peur, alors je pourrais être dans un climat plus stable et plus serin.

J’ai décidé suite à ce constat de me remettre le plus rapidement en harmonie avec moi et les exercices de cohérences cardiaques m’y aident beaucoup.

Et vous de votre côté, comment vivez vous vos expériences challengeantes?

Une erreur incontournable à enlever pour réussir.

Une erreur incontournable à enlever pour réussir.

Jusqu’ici, c’est une erreur que j’ai bien souvent trop faite et qui m’a conduit à bien des complexités. Ce que je ne découvrais qu’une fois l’avoir faite.

À l’époque, j’avais un égo surdimensionné, que je ne voulais surtout pas m’avouer, pour différentes raisons :

. Je ne le savais pas, car je ne savais pas que cela s’appelait comme cela.

. Par peur de sembler faible et pas à la hauteur aux yeux des autres. Mais surtout à mes yeux par ce que je mettais formé et savais intellectuellement. La pression que je m’imposais inconsciemment était énorme, j’étais tel, une bombe à retardement.

. Pour ne pas changer de chemin, de voie. Je ne voulais absolument pas tout remettre en cause ce que je savais déjà. Car je présupposais que cela me créerai plus d’inconvénients que d’avantages.

Alors je ne changerai rien à mon mode de fonctionnement, qui devenait de plus en plus pesant pour moi.

Sauf qu’au plus j’attendais et plus la pression montait sans que je ne m’en rende compte. Car ce que je faisais aux yeux d’autres personnes étaient extraordinaires.

Je m’étais habitué à cela sans pour autant être heureux.

Je ressentais un réel goût de  » pas assez  » et  » d’insatisfaction ». J’étais devenu un véritable intra face à la vie et surtout face à moi. J’étais bloqué frustré pour quelque chose, dont lequel, je n’arrivais pas à mettre de mot.

J’étais dans un challenge sans mot, ce qui fait que ma pression interne augmentait sans cesse. Je courrais après un véritable mirage dont je n’avais pas consciencence et dont mots m’échappaient. 

Pourtant la réponse m’avait peut être déjà était donnée dans le passé. Mais je ne pouvais pas la voir, ou ne voulais pas la voir, ou l’assumer à ce moment là.

Il me manquait des outils, de compréhensions, de pratiques, d’initiatives, de lexique.

J’étais perdu dans ce shéma. Plutôt que de vouloir le casser, le plus rapidement possible, je l’entretenais inconsciemment et me plaignais de quelques choses dont je n’arrivais franchement pas à verbaliser. Ce qui avait pour conséquences des tensions, divers symptômes, tel que des maux de dos, de crâne.

Quelle peut bien être cette erreur ?

J’aurais kiffer à l’époque avoir des pistes de réflexion, des indices pour approcher une meilleure compréhension de ce que je ne maîtrisais absolument pas et dont j’en avais une peur exacerbée.

Je ne savais pas, donc je courrais continuellement après le  » savoir  ».

Je pensais savoir des choses et ainsi avoir une forme de légétimitée. Pourtant, il n’en n’étais rien car je ne mettais que très en pratique. Il est certain que je ne pouvais aller bien plus loin.

Par contre, lui, le  »savoir » est infini car en perpétuelle mutation.

Ce qui fait qu’en courant après ce dernier,  je ne prends pas le temps d’aller jusqu’au bout,  car de nouveaux  »savoirs » aussi intéressants, les uns que les autres naissent et meurt tous les jours.

Ce qui fait qu’il n’y a pas réellement de début et de fin face à cela.

Donc on en vient à cette fameuse erreur à ne pas faire pour réussir.

Il s’agit de ne pas s’éparpillaient à trop grandes échelles dans le savoir. Mais plutôt d’apprendre à le maîtriser, pour savoir quand est venu le moment d’accélérer ou de freiner et focus sur une taches qui me convient et l’animent intérieurement en moi.

Car au début, je ne savais pas cela et donc je pensais qu’à l’époque pour aller le plus possible, il s’agissait de rester appuyer sur l’accélérateur pour avancer.

Et bien c’est là le meilleur moyen de finir dans le décor et de se perdre un peu plus chaque jour.

Étant donné que si j’élargi mon champs de connaissances, j’élargi, mon terrain de jeu.

Mathématiquement plus le terrain est grand plus la possibilité de rencontrer des embûches l’est tout autant.

Je vais apprendre à maîtriser l’outil de l’accélérateur et du frein pour mieux ressentir et vivre avec moi.

Et surtout rester focus sur une tâche avant d’en passer à une autre.

Comme cela, je n’ai pas à m’éparpiller, à mélanger dans l’apprentissage ce que je ne maitrima pas.

Comme cela en procédant ainsi, j’ai moins de choses à gérer, laissant ainsi plus de place à un et un seul sujet. Et de passer plus calmement de la théorie à la pratique par le biais de la répétition.

Et vous comment gérer vous, l’outil du frein et de l’accélérateur ?

Utilisez vous plutôt le frein, l’accélérateur ou un mix des deux ? Dites le moi en commentaire et ce que vous en retirez piup vous ?

Au plaisir et à très bientôt.

L’importance de casser son rythme.

L’importance de casser son rythme.

Cela peut sembler paradoxale et pourtant il s’y trouve une utilité. Celle de casser la routine et les habitudes afin de laisser place au nouveau.

Puisqu’il est possible qu’il existe un détail, un élément, une routine que je ne connaisse pas et qui me rendrait bien plus productif et attractif que je ne le suis pour le moment.

 »Je ne sais pas, ce que je ne sais pas. »

Qu’est-ce que je fais pour remédier à cela?

Pour ne pas  »garder tête baissée dans le guidon », il est nécessaire. De casser le rythme, de se relever et de voir ce qui se passe autour. De nouveaux chemins insoupçonnés jusqu’aujourd’hui  pour soi peuvent paraître.

Il est clair que la routine est confortable, sauf qu’elle cause bien des dégâts à la longue. Étant donné qu’elle créée des automatismes dont on en prend même plus conscience.

Alors en cassant ce rythme, je me donne un peu plus de liberté pour voir et apprivoiser ce que je ne sais pas.

En osant faire ce que je ne sais pas, je m’expose à un résultat que je ne connais pas. Et si je ne connais pas, souvent je me retranché dans mes peurs pour retrouver une part de confort.

Pour ne pas avoir à être tenté aussi facilement de se retrancher, dans ses peurs. Il est opportun d’explorer le nouveau avec un  »guide ». Ainsi quelque part, l’inconfort reste confortable.

Pour casser ce rythme, il est important de prévoir un début et une fin. Autrement, ça commence et fini quand? D’autant plus que le temps passe à une allure.

Pour la majorité d’entre nous, ce rythme, nous le cassons par le biais des vacances, en partant plus loin de chez soi. Ainsi nous découvrons et laissant place à du nouveau.

Maintenant,  certains, lorsqu’ils trouvent un lieu qu’ils aiment, ils s’y jettent dessus pour chaque vacances, pensant ainsi casser le rythme.

Effectivement, le rythme routinier est cassé, pour prendre celui des vacances. Sauf qu’une autre forme de routine naît. Nous savons où se trouve la boulangerie, les divers magasins. Nous connaissons aussi les personnes présentent dans les environs et qui elles ne bougent pas. Le nouveau, d’une année, à l’autre reste minime.

Autrement, pour connaître plus de nouvelles choses soi-même. Voyager, explorer de nouveaux lieux, de nouvelles cultures sur place, ce qui je sais, n’est pas donné à tout le monde. Même si je sais aussi que tout est possible, puisque si nous le voulons vraiment, nous pouvons y aboutir. Cela prendra et peu prendre un certain temps, étant donné que tout le monde ne pense pas ainsi. Et donc les résultats divergent, amenant une confusion et une plus grande complexité. Ce qui ne facilite en rien le nouveau car chacun se projettent leurs peurs. À ce moment là, personne ne fait rien de nouveau.

Maintenant, il existe un autre groupe de personne où le  »nouveau » est une norme. Ils expérimentent sans cesse de leur côté le  »nouveau », en explorant, en essayant de nouvelles choses.

Ce qui à pour but de laisser place à l’imagination, qui est une forme de liberté pour le corps et l’esprit.

Et à des moments bien spécifiques, une date de début et de fin est mise en place pour se retrouver et mettre en commun les nouveaux apprentissages de chacun. Ayant pour conséquence, un cercle vertueux.

Du nouveau, naît de nouvelles choses.

Après, il certain aussi que de l’ancien, il reste encore tout un choses qui n’a pas encore découvert.

C’est pourquoi tout le monde à le potentiel de réussir et d’avancer.

Avançons avec des personnes qui sont prêts et veulent avancer. Autrement, le rythme sera tellement différent qu’il y aura malaise et disharmonie.

Il m’a fallu longtemps pour me trouver et connaître mon rythme que je continue à apprivoiser pour le maîtriser encore davantage.

C’est pour cela que je m’entoure des meilleurs que je connaisse pour le moment. Et casse dès que possible mon rythme. Afin de laisser place à l’émergence de nouvelles choses.

Je vais partir en formation une semaine en Espagne pour découvrir et apprendre ce que je ne sais pas encore, ou que je n’ai pas encore implémenter en moi.

J’ai décidé d’apprendre continuellement pour découvrir ce que le monde nous réserve.

Et vous pensez vous de temps en temps à casser votre rythme ?

Si oui, comment faites vous?

 

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis. »

Les conséquences de « je me choisi pour avancer vers ce que je suis ».

Se choisir a été pour moi d’une difficulté extrême (extrême à l’infini). J’étais jeune, sans expérience professionnelle et sociale et de plus accidenté de la vie. Je pensais que mes connaissances n’étaient pas de grandes valeurs. Je ne voyais pas pourquoi je pouvais me choisir à l’époque.

Je vais vous raconter une anecdote qui m’est arrivée.

Je cherchais du travail à la sorti de mes études. J’ai postulé pour un travail de comptabilité (rien d’excitant jusque là). Il y avait 3 épreuves pour décrocher ce poste:
. Des exercices de comptabilité (ce qui est normal au vue du descriptif du poste).
. Un entretien en anglais (d’accord. Vive les voyages linguistiques!).
. Définir sa valeur en répondant à la question « pourquoi vous, plutôt qu’un autre? » (la question qui fait trembler toutes les générations de jeunes diplômés en recherche d’indépendance financière et familiale).

J’ai réussi avec brio les deux premières épreuves (ce n’est pas pour me vanter mais j’ai tout déchiré! ^^). Le dernier point a été plus complexe. Je n’ai pas réussi à dépasser l’obstacle qui était trop grand pour moi (Que voulez-vous? On ne peut pas être bon partout. ^^’).
Je ne voyais pas pourquoi je serais meilleur que quelqu’un d’autre. Pour moi,  nous avions tous le même niveau pour obtenir ce travail (Je le rappel. J’étais « jeune ». Soyez indulgent.).  Vous devinez bien que je n’ai pas eut ce travail.

J’en ai tiré une bonne leçon (mais bien plus tard dans ma vie. Sinon ce n’est pas drôle!). J’en ai conclu qu’il me manquait toute la partie compréhension et éducation nécessaires à ce moment là.

Je peux être le meilleur pour le travail qui m’est proposé et je dois me différencier des autres concurrents, partenaires, camarades pour trouver ma place. En ne trouvant pas ma place, je ne me sentirai jamais à ma place. Je partais du principe que ce serait les autres qui m’aideraient à trouver ma place.

Dans un premier temps, en ayant eut ce raisonnement, je me retrouvais dépendant. Prisonnier du regard et des avis des autres. Mon estime personnelle était en chute libre . Je me rendais complètement dépendant de l’extérieur. Je me dévalorisé (et j’étais doué pour ça à l’époque. Mais ça c’était avant!).

J’ai eut la chance de rencontrer des personnes qui m’ont permis de me rassurer Je ne le dirais jamais assez mais MERCI!). Ils m’ont appris à prendre conscience de ma valeur. Les lectures d’ouvrages spécifiques m’ont également aidé à surmonter les moment les plus douloureux de ma vie.
Une processus long pour montrer ma valeur: « se choisir soi et non les autres ».

J’ai découverts qu’en suivant les conseils des autres, pour leur satisfaction personnelle, m’a amené à laisser de côté mes valeurs. J’étais devenu un étranger à mes yeux.
Je pensais être uniquement ce que mon extérieur percevait de moi.

Grâce à toutes mes mésaventures, j’ai fini par comprendre que j’existai et que l’existence n’admet aucun représentant.
Si je voulais ma place, je devais tout simplement la prendre. Je devais ME choisir pour AVANCER.

Maintenant, ce choix là, à des conséquences aussi bien positives que négatives. A la seule différence, c’est que je sais pourquoi je le fais et surtout pour qui je fait avant tout.

Les conséquences positives:
– Ma confiance croît dans le temps.
– Ma certitude se développe.
– Je choisi un milieu qui me convient.
– Je rencontre des personnes que je comprends et avec qui je peux m’ouvrir sans peur.
– J’inspire du monde pour être ce que je suis.
– Des personnes misent sur moi.

Les conséquences négatives:
– Je suis critiqué.
– Je suis pointé du doigt.
– Je suis rejeté et donc souvent seul, tant que je n’ai pas trouvé.
– Je suis bien souvent en minorité, pour ne pas dire tout le temps, car je suis 24/24h avec moi. Ce qui fait que je dois trouver du temps pour moi et avec moi.

Le fait d’arriver à cela m’amène à m’auto discipliner et à grandir.
Je deviens responsable de mon bonheur ou de mon malheur.
Dans tous les cas, je finis par me rendre compte que les conséquences négatives m’aident à grandir, en les traversant et non les fuir.
Quant aux conséquences positives, elles me rassurent et me confortent sur mon avancée.

Si tout va bien, je suis l’auteur de cela.
Et si je rencontre des challenges de vie, des difficultés, des problèmes, des ennuis, j’en suis également responsable et je dois me rappeler que j’en suis aussi l’auteur. Pour me donner la force de changer la situation.

En disant que c’est les autres qui sont à l’origine de ma douleur ou de mon malheur je m’enlève de la responsabilité et donc du pouvoir. Ce qui a pour conséquence d’amoindrir mon estime personnelle et d’engendrer une perte de confiance, une perte d’envie ou encore une perte de vitalité.

A la longue, ce cocktail que j’ai souvent trop pris, faute de ne pas me connaître suffisamment, du au fait que je ne prenais ni le temps de me découvrir, ni celui de me connaître ou encore de simplement passer du temps avec moi, je n’arrivais à rien de durable sur le long terme.
Sur du cours terme, je pensais être dans la bonne voie car j’avais de bon retour de l’extérieur et de mauvais retour de l’intérieur. A savoir que mon corps, était sans cesse entrain de me faire des « feedbacks », des retours.

Je connaissais des maladies, des douleurs, des allergies que je « snobais », ou taisais avec des médicaments. Sauf que la nature fini par reprendre ses droits et comme mon corps fait parti de la nature, alors c’est lui qui fini par gagner devant mon mental.

En finissant par me choisir, j’ai fini par comprendre cela étant donné que je me retrouvais face à moi même et à mes douleurs et ou maladie.
Je ne pouvais pas dire que c’était de la faute des autres puisqu’il n’y avait que moi qui vivait ce malaise, qui au fil du temps c’est affiné.
Grâce à ma persévérance et mon envie de comprendre, j’ai fini par remonter en comprenant un peu plus ce que je ne comprenais pas avant.
A vrai dire, j’étais entrain de me découvrir un peu plus et le malaise que je pouvais ressentir avant, n’était qu’une forme de mal-être.

J’étais étranger à moi-même. Je n’y croyais pas au début, mais au plus j’avançais et au plus je faisais ce que je choisissais au mieux je me sentais présent et fier de moi.

Maintenant, j’ai de plus en plus conscience de ce que je suis et de la valeur que j’ai en moi.

Je m’aperçois que j’emprunte une voie qui a très peu de trace de pas, donc le celui-ci est peu connu car peu emprunté. Par contre les choses qui s’y cachent sont simplement sensationnelles.
Je vis des choses hors normes et je vous souhaites au minimum la même chose si ce n’est mieux.

Il n’y a rien de plus beau que de vivre sa vie.

 

Qui suis-je, si je change?

Qui suis-je, si je change?

« Changer » est un mot simple et pourtant complexe à mettre en oeuvre, car pour qu’il prenne tout son sens, il doit être suivi d’une action, autrement rien a changé, ne change et ne changera.

Selon le Larousse « changer » peut être définit comme suit:
« Céder quelque chose pour autre chose, l’échanger : Changer des livres contre des disques.
Convertir une monnaie en une autre monnaie, échanger une somme d’argent contre une même somme en pièces ou en billets de valeurs différentes : Changer des dollars en yens.
Remplacer quelque chose, quelqu’un par quelque chose, quelqu’un d’autre de même nature, de même fonction : Changer les assiettes. Changer le caissier d’une banque.
Remplacer quelqu’un, quelque chose par quelqu’un, quelque chose d’autre de même apparence, par malveillance ou malhonnêteté : Elle est persuadée que le bijoutier a changé les pierres de sa bague.
Mettre quelqu’un, quelque chose à un autre poste, etc. : Vous gênez ici, changez votre voiture de place.
Transformer quelque chose, quelqu’un en quelque chose ou quelqu’un d’autre, le faire passer à un autre état : Les alchimistes tentaient de changer certains métaux en or.
Mettre des couches propres à un bébé, du linge propre à un enfant, à un malade.
Modifier quelque chose, quelqu’un, le rendre différent : Changer le sens d’une phrase. Cette nouvelle coiffure la change complètement.
Faire sortir quelqu’un de ses habitudes, rompre la monotonie de ses activités et, en particulier, le distraire : Vous devriez accepter cette proposition de voyage, cela vous changerait un peu. »

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Alalala à qui ça n’arrive pas?

Alalala à qui ça n’arrive pas?

Je me concentre pour bien faire les choses, que j’en oublie le temps, l’extérieur et les à cotés tellement que je suis absorbé par ce que je fais.
Jusqu’au moment où survient… quelque chose, et pour cette fois, pour moi, un bug informatique qui entraîne un arrêt de mon ordinateur avec tout mon article de rédiger qui se volatilise en une fraction de seconde.
Naturellement, je le sais que je dois enregistrer au fur et à mesure et pourtant, je ne pensais pas que cela m’arriverait maintenant.

C’est un événement qui m’a ramené très vite à la réalité, avec tout son lot de frustration, de stress à gérer. Et au plus je mets de temps à gérer cela au moins je peux rebondir et repartir rapidement.

Lorsque je dis, « gérer cela », c’est déjà de prendre conscience de ce qui m’est arrivé pour en faire un constat et voir d’où est ce que je peux repartir.
Le degré à gérer n’est pas le même si je dois repartir de zéro, ou si je dois repartir de là où j’en étais.

Et bien là, c’était de repartir à zéro. Donc super!! C’est une opportunité, un cadeau, même si je ne le vois pas encore, je sais que c’est le cas.
En me disant cela, je cherche à me rassurer et à me convaincre. Je me le répète plusieurs fois, jusqu’à ce que mon cerveau, mon esprit, mon corps finissent par s’apaiser.

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