L’utilité des rencontres.
« Rencontre » provenant du verbe rencontrer, celui-ci a pour définition selon le dictionnaire HACHETTE encyclopédique:
rencontrer vt : 1 Se trouver en présence de; entrer en relation avec quelqu’un.
2 Affronter dans un match.
vpr : 1 Se trouver en présence l’un de l’autre.
2 Se toucher se heurter.
3 Exister, se trouver. Cela peut se rencontrer.
Si je fais un article spécialement sur les rencontres, c’est parce que celles-ci m’ont apportées beaucoup de réponses que je n’avais pas eut. Et je m’en privais moi même, car je restais bien ancré avec les personnes que je connaissais et aussi je ne voulais pas changer par peur.
Maintenant, grâce aux rencontres, j’ai aussi obtenu beaucoup de questions que je n’avais pas au début.
En rencontrant souvent de nouvelles personnes, je suis entré dans ce processus, où j’obtiens des réponses à mes questions actuelles et aussi la naissance de nouvelles questions qui seront résolues grâce à mes futurs rencontres.
C’est un apprentissage permanent.
A quoi servent les rencontres?
Les rencontres amènent:
. à une dualité,
. à une prise de conscience,
. une remise en question (cf: Remise en question.)
. une réflexion.
Tout cela est possible lors des rencontres puisque nous nous exposons dans un premier temps à un inconnu.
Et comme pour toutes situations inconnues, celles-ci révèlent en nous:
. de la peur,
. de l’appréhension,
. des préjugés.
qui ont lieux avant même que la rencontre ait eut lieu.
Les rencontres nous permettent d’avoir un « retour » de ce que nous sommes et de ce que nous renvoyons comme image.
Ainsi elles nous permettent de nous construire et de réajuster ce que nous voulons devenir en expérimentant de nouvelles choses, de nouvelles rencontres, de nouveaux lieux.
De toute manière à chaque fois que le terme »nouveau », apparaît, nous grandissons.
Au plus, nous allons implémenter ce terme « nouveau » en nous, au plus nous ferons appelle à notre faculté d’adaptation et à être alaise avec cela.
En procédant ainsi, je serais alaise et mes peurs s’estomperont, voire même disparaîtront car je me permettrais tout simplement d’être, grâce aux autres.
Le terme « nouveau », n’est pas restrictif, à une même chose, un même type de personne, un même lieu.
Quelques exemples me viennent en tête:
Si je prends l’habitude de ne me rendre, qu’à mon travail .
Alors les personnes que je rencontrerais auront plus ou moins le même parcourt, nous resterons ainsi limités .
Donc si je ne change pas de lieux, alors je ne pourrais pas changer ma façon de penser aussi facilement, même si j’espère intimement le contraire et que je ne fais rien de concret pour.
J’avoue, c’était ma façon de faire auparavant.
« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent ». – Albert Einstein
Un autre exemple, si j’ai une vieille montre que je décide de remplacée et bien je ne vais pas reprendre exactement la même, en neuve.
Je vais en essayer une autre et voir comment je peux vivre avec du nouveau, en positif, comme en négatif.
Ce n’est qu’avec le temps, que je pourrais percevoir des aspects que je n’avais pas vu et perçu auparavant.
Cela s’applique dans tous les domaines de vie que nous pouvons avoir.
Ce que je ne vois pas aujourd’hui, les autres peuvent le voir.
Il y a plus d’idées et de potentiel dans deux cerveaux que dans un.
Nous ne nous retrouvons pas qu’avec une simple addition de cerveaux, puisqu’en passant par la création d’un cerveau collectif, des idées inexistantes avant la rencontre peuvent naître et créer quelque chose de bien plus grand.
Donc si je me prive de rencontrer des nouvelles personnes, alors je me prive d’outils pour mon épanouissement. Et cela ne se fait pas qu’à sens unique, c’est à dire si je ne m’ouvre pas aux autres alors je les prive de mon expérience de vie qui pourrait les inspirer.
A qui servent les rencontres?
Les rencontres permettent d’apprendre, donc en tout premier lieu, elles servent à l’acteur de l’action. Elles servent à celui qui fait le premier pas, qui enclenche la rencontre.
Et ce n’est pas tout, puisqu’elles servent aussi à ses interlocuteurs, c’est un échange.
Nous avons alors le choix de les traverser ou non. En les traversant, je me donne l’opportunité de voir ce qui se trouve derrière.
Pour se faire, il est indispensable d’être bien ancrer en soi et d’avoir une bonne estime personnelle, sans quoi les rencontres peuvent vite nous amener là, où nous ne l’avions pas prévu.
Combien de fois, nous nous retrouvons avec des personnes, que nous ne supportons pas et que nous subissons pour ne pas avoir mauvaise figure.
Là, encore c’est une rencontre qui nous fait grandir. Elle permet ainsi de confirmé nos valeurs. Il nous reste à savoir comment l’aborder et la vivre, car notre valeur personnelle risque d’être mise à rude épreuve, surtout si nous ne la connaissons pas.(cf: nos valeurs propres épanouissent notre être ))
Elles nous offre une ouverture sur le monde, une autre vision.
En m’ouvrant sur le monde, je ne reste plus centré que sur ma petite personne, mes réussites, mes échecs. Je vois plus grand et automatiquement mes idées se portent et continueront à se porter sur plus grand que moi.
Avec cette conscientisation, nous sommes déjà dans un processus d’évolution et de changement.
La vision d’une amie que j’ai beaucoup aimé consiste au « petit pas japonnais ».
Je connaissais la méthode des « petits pas ».
J’ai dis oui je connais la méthode des « petits pas » mais pas celle-là. Donc je vais vous la partager.
Chaque petit pas nouveaux que nous faisons est une pierre de posée, ce qui fait que d’autres personnes peuvent emprunter, le même chemin.
Et il arrive des fois, même souvent que l’on emprunte à notre tour des pierres posées par d’autres personnes.
A ce moment nous pouvons déduire que nous sommes à la fois « maître », lorsque nous posons notre pierre et aussi « élève », lorsque nous marchons sur des pierres existantes.
Grâce à mes rencontres passées, présentes, je sais ce que je ne veux plus et j’affine continuellement ce que je veux, puisque mes envies, mes goûts s’affinent.
Comment vivez vous-vos rencontres?
Vous permettez-vous le nouveau? Combien de fois? Et comment?