La complexité des mots,

Chaque mot, a son importance,
Chaque mot, a sa justesse,
Chaque mot, a son poids,
Chaque mot, exprime quelque chose,
Chaque mot, a un sens,
Chaque mot, a une vibration,
Chaque mot, a sa beauté.

Est-ce que j’ai conscience de chaque mot, de sa richesse?

Je me plonge de plus, en plus dans toutes ces formes qu’ont les mots et c’est un nouveau monde pour moi.
Un monde quelque peu plus complexe, amenant à remanier mon monde actuel.

Plus complexe, ne veut pas dire plus difficile.

C’est simplement, nouveau et donc inconnu.
Maintenant, plus je vais mettre mon attention sur ce « nouveau » et cet « inconnu », plus je vais apprivoiser ceux ci et plus ils vont s’ouvrir à moi.

Depuis tout petit, j’ai senti et ressenti cela, mais comment l’expliquer, lorsque les conditions sont insuffisantes pour laisser place à ce qui n’est pas.
Je vais pouvoir attendre longtemps car la naissance est absente.
Pourtant, je sentais cette présence « absente » caché par des « rem-parts » ou des « pa-rents ».

Comment voir, ce qui est, sans le voir concrètement?
En unissant les indices et en les réunissant dans ma compréhension, je conçois et perçois que quelque chose se prépare (pré-pare) sans pouvoir (100-pou-voir), l’expliquer.

Sentir les choses sans pouvoir l’expliquer.
Et 9 mois plus tard, un bébé ou un (b b). Le « b » est entre le « a » et le « c ». Ou dans « assez ».
Sauf qu’avec le « b » intervient dans le « assez ».
Ce qui se transforme en « a », « b », « c ». Ou Abaisser.

Mais qui s’abaisse?
Il y a un deuxième « b », dans le bébé.
Un « b » pour le « a »: ba ou « bas ».
Un « b » pour le « c »: bc ou « baisser ».

Le bébé va couvrir ou encore découvrir qu’il est encadré par « a » et « c », ne lui laissant nullement de place ailleurs que là pour un temps et heureusement.
Alors que le « b » peut expérimenter le « a » et le « c » à condition qu’il y ait une communication entre ces éléments.
Et une fois qu’il est fait le tour au cours du temps, il entre dans le « d », du « départ » car il a « des- parts » pour expérimenter sa vie.

Et souvent là, cela donne un départ où « euh »….. »Faut » ou « Faux » faire quoi?
« G » ou « J’ai » pas grand chose pour « AvanC » ou « Avancer » ou « A », « Vent », « C » dans ma vie.

« H » ou « Haches », ce qui te fait chier ou ce qui me fait chier, pour connaître la liberté.

Et ainsi de suite…

Enfant, je me voyais tel un fleuriste avec les mots, sauf que je m’apercevais que mes compositions formaient une incompréhension dans mes interlocuteurs.

A ce moment là, pour rendre les choses plus concrètes, je me suis mis à offrir des fleurs et même à en faire des compositions. Ce qui passait plus, semble t’il?
Sauf qu’en grandissant, je ne supportais plus les moqueries, je me suis alors plié et oublié pour laisser(l’essai ) quelque chose d’im por tant naître et apparaître en moi.

Sauf qu’à part être (paraître), malheureux et absent de moi, je n’avais rien d’autre.
C’est pourquoi, je ne cherché plus en moi, car j’ai pris cette habitude que les « autres » me disent ce qui est important et juste pour moi.

Comment m’unir à moi, si mes actes montrent et me démontre le contraire.
Le « d » re-vi-un et c’est le « d » du « départ », ce qui veut dire que je peux prendre un nouveau départ.
Mais dans quel sens?
Le sens « contraire » du « d », c’est, « b » ou encore (en corps), « p ».
Oui, tout dépend de l’angle de vu que « je » me trouve au départ.

Quel angle à mon « jeu »? Quels en sont les règles (air-aigle)?
Prendre de la hauteur pour en voir le cadre, les limites.

Peu importe la taille de ton cadre, tu es riche. (air, i(je), che(r)).
Car tu es encadré par la vie et la vie est partout.
Alors observes et surtout aères ce jeu, qui est le tien, le mien, le notre.
Afin (a-fin) que le jeu ou je, opère ou « oh père », instaurant des règles claires de sens et de logiques.

Voilà, je me « lance », « lent-ce » dans mon enfant intérieur, « ce lent » et « long », va remettre en mouvement mon enfant intérieur, ce qui va certainement me mettre ou maître une « gnole » dans la tronche.

Je suis prêt, je décide de m’unir à moi et peu importe le temps que cela va maître.

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