Qu’est-ce que je fais?

Qu’est ce que je fais?
Pourquoi je le fais?
Qu’est-ce qui fait que je le fais?
J’ai bien conscience que je ne veux pas le faire le faire et pourtant je me retrouve à le faire, pourquoi?
Qu’est-ce qui fais que je fais ce que je ne veux pas le faire consciemment?

Dit comme cela, ça paraît dingue et pourtant il y a bien quelque chose derrière cela.
L’inconscient, oui l’inconscient nous aide à piloter ou gouverner notre corps à près de 95%.

Notre corps fonctionne en automatique à hauteur de 95%, déjà, tout ce qui se passe à l’intérieur de notre corps et que nous ne voyons pas, nous permet de nous mouvoir, de voir, d’entendre, de lire, de fonctionner de telle façon que nous pouvons décoder une sorte de réalité, qui nous est unique car personne ne voit, sent ou encore ressent exactement la même chose que ce que je vis.
Et tout cela s’opère dans le silence, par contre lorsque l’inconscient se met à agir, cela agi et peut donner des conséquences optimales comme tragique. Donc soit noir, soit blanc.
Tout ou rien.

Il y a pourtant toute une nuance de l’un à l’autre et ce qui nous permet d’arriver ou d’atteindre cela, n’est rien d’autre que le conscient.
Seul lui peut nous permettre de ralentir le rythme effrénée de notre inconscient.

Ce qui veut dire que notre conscience nous permet d’agir à hauteur de 5%.
C’est clair que 5% face au 95% la marge de main d’oeuvre est faible alors s’il vous plaît ne vous culpabilisez pas de ne pas réussir à inverser la tendance du 1er coup.

C’est un peut être seul face à tous, donc lorsqu’il puis et, si notre entourage ne soutien pas, ou encore ne nous aide pas à faire face ou résister aux tentations cela donne 95% à nous seul + notre entourage face à 5% de nous qui voulons changer.
Autrement dit, une brindille pour soutenir une maison.

Vu comme cela, aucune chance de réussir à inverser la tendance.
Et je suis d’accord avec cela, maintenant, si je change mon regard est-ce que je peux voir une avancer, un changement.

Je dis oui, à la condition de zoomer tout ce que je fais, tout décortiquer pour voir là, où il y a eu un micro changement.

Car qui dit micro changement sur le court terme, dit que cela peut donner un grand changement sur le long terme et en plus si je met plus d’attention et d’énergie sur ce micro changement, alors il devient possible que ce long terme se réduise considérablement.

Pour cela, il y a besoin d’observer sans juger, car tout jugement prend de l’énergie et cette énergie, nous en avons besoin pour réaliser des changements.

Donc bonne nouvelle, quoi qu’il en soit, j’ai 5% de marge de main d’oeuvre au minimum, c’est palier, c’est acquis.

La seul différence qu’il me reste, c’est comment je les cultive ces 5%.

Pour moi, j’essaie de mettre de plus en plus d’attention dans ma respiration pour viser à changer ma respiration sur le long terme, car celle-ci fonctionne en mode automatique.
En mode conscient, je peux mettre de la cohérence dans ma respiration, soit 5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration.
Par contre qu’est-ce-qu’il en est de mon mode automatique?
Est-il en cohérence ou est-il déséquilibré?
Et comment est ma respiration en plein moment de stress?

Pourquoi, je parle de la respiration?
Car c’est celle-ci qui alimente tout mon corps.
Si ma respiration est mauvaise comment va se comporter mon corps?
Comment je vais me sentir?
Qu’est-ce que je vais faire?

Fonctionner en mode automatique avec une mauvaise respiration.
Le résultat ne pourra alors qu’être médiocre, pourtant consciemment je veux un bon résultat.

Tout cela, je ne pourrais le voir qu’en décomposant le tout et la base de toute chose, c’est la respiration.

Car sans cela qu’est-ce que je peux faire sur le long terme?

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