Le Kangourou qui devient Oiseau.

Le Kangourou qui devient Oiseau.

Quel titre!?
Ce titre m’est venu lors d’un coaching.
J’aime bien raconter des histoires pour dévoiler des messages utiles à mes coachés afin qu’ils puissent être impactés et ainsi la retenir plus facilement.
Alors là, j’ai décidé de vous partager cette petite histoire.

Lors de sa naissance, ce petit être bougeait beaucoup, il allait dans tous les sens. Il avait soif de découverte et de savoir.
Cependant, son espace était restreint, il était dans un nid, il ne pouvait sortir que sous la surveillance de ses parents qui pour lui, de ce qu’il avait pu comprendre, appris et interprété sont des kangourous. Et donc ce qui fait qu’il en ait un lui aussi.

Pour se mouvoir, il n’apprit qu’à utiliser ses pattes pour se déplacer, ce qui fait qu’au plus il avancer au plus, il fortifiait ses pattes.
Son énergie était débordante, il sautait de plus en plus haut et pourtant n’arrivait pas à aspirer à ce qu’il voulait être au fond de lui.
Il ne se connaissait pas suffisamment et les échanges avec ses parents étaient pauvres.
Comme si qu’ils fuyaient des sujets de toutes leurs importances, à savoir certainement:
QUI SUIS-JE?
QUI SOMMES-NOUS?
SOMMES-NOUS CE QU’ON NOUS A DIT, APPRIT?
QUE POUVONS NOUS FAIRE D’AUTRES QUE NOUS SAVONS DÉJÀ FAIRE?

Ce qui fait qu’il ignorait, qu’elles étaient réellement ses ressources, ses forces propres. Oui, il savait faire certaines choses, mais simplement les choses qu’on lui a apprises et même obligées à faire. Lorsque la parole lui était laissée et bien cela dérangeait .

Il pensait alors avoir fait le tour de ce qu’il avait à savoir sur les kangourous, donc sûr de lui, il s’aventurait un peu plus loin, se donnait de plus grand défi, de plus grands challenges, bref toujours dans le « plus ».
De ce fait, il rencontrait du « monde » qui le regardait, l’observait, le jugeait, car ils voyaient bien qu’il était différent de ce qu’ils pouvaient voir dans leur quotidien.

A force de rencontrer du monde, il rencontra quelqu’un qui lui parla du royaume des kangourous.
C’est alors qu’il s’est intéressé avec grande attention à ce royaume et à la direction qu’il fallait prendre pour s’y rendre.
Il inscrivit tout sur un carnet et s’y rendit en suivant les indications qu’ il’avait écrites et même apprises par coeur, tellement que cela lui tenait à coeur.

Le trajet, était long, très long.
Sur la route, il rencontra du monde, beaucoup de monde, de toutes sortes, de toutes races, de toutes les couleurs. Ce qui éveilla en lui des ressentis insoupçonnés jusqu’à présent.
Il s’y rendait car il était sûr d’apprendre beaucoup plus de chose sur lui, qu’en restant de là où il venait.
Au cours, de ce trajet, un doute naissait en lui, puisqu’il fatiguait, échangeait, communiquait de tout et de rien avec ceux qu’ils rencontraient.
Et à chaque fois, on lui disait qu’il perdait son temps de vouloir se rendre là-bas, car il n’était pas un kangourou aux yeux des autres.
Certes, il sautait tel un kangourou et il n’avait que ça comme point commun.
Il avançait bien et vite pour la moyenne de ceux qu’ils rencontraient vers son résultat, qu’est le royaume des kangourous.
La différence était, qu’il n’avait en rien de la carrure d’un kangourou. Il n’était pas très grand et surtout avait des ailes atrophiées sur son dos.
Donc un doute planait en lui. Qu’importe, il était sûr d’avoir des réponses une fois à la destination.

Bien plus tard, il arriva au « royaume des kangourous ».
Et au premier abord, il se dit: « mais c’est ça des kangourous, ce n’est pas réellement ce que j’ai appris. Bon, ok ils sautent comme moi et bien plus haut donc j’ai encore à apprendre, je vais m’y mettre ».

C’est alors qu’il essaya d’entrer en contact avec d’autres kangourous, mais ils n’avaient pas de temps à lui accorder.
Il persévéra et finit par renconter un petit kangourou qui voulu bien lui accordait, du temps, de l’attention et de l’écoute.
C’est alors qu’il exposa ses questionnements.
Calmement le petit kangourou lui expliqua, ce qu’était la vie des kangourous. Et que ces derniers n’avaient pas d’ailes sur le dos.

Donc qu’est-ce que c’est? Ils y mirent tous deux de l’attention et du temps pour comprendre, ce qu’étaient que cela.
Il s’informèrent dans un premier temps chacun de leur coté pour en savoir un peu plus sur le sujet. Et c’est alors qu’ils trouvèrent des plumes au sol et à force d’en trouver et d’avancer, ils rencontrèrent des oiseaux de toutes les tailles et avec la même chose sur le dos qu’avait le soit disant « kangourou » venu au « royaume des kangourous ».

A force d’avoir essuyer les peurs et les rejets d’oiseaux. Leur persévérance fini par payer.
Ils purent avoir accès directement à une crèche d’oisillons où étaient enseignés les bases rudimentaires pour un premier vol d’oiseau.
Il y était enseigné comment déployer ses ailes, comment les refermer, comment les utiliser, comment les entretenir, jusqu’au premier cours pratique.

Il eut beaucoup de mal à s’intégrer dans la crèche d’oisillon, car c’était un adulte et donc un oiseau.
La force de ses pattes lui permettait de sauter très haut et il ne lui restait plus qu’à déployer ses ailes pour avoir les premières sensations de planer.

Ta Dam!!
C’est alors que le kangourou devint un oiseau.
Pourtant était ce le cas?

Les autres oisillons devaient prendre leur élans, sans grands résultats.
L’oiseau adulte riche de son expérience de kangourou, put alors transmettre des astuces inédites chez les oisillons, grâce à sa pédagogie, sa patience et sa persévérance.
En  procédant ainsi, il put apporter confort et réconfort chez les oisillons.

Une fois s’être instruit suffisamment et avoir intégré tout ce qu’il avait appris en lui.
Il retourna chez ses parents avec beaucoup moins de temps, qu’il ne lui a fallu pour parcourir la même distance. Car maintenant, il savait qui il était et quelles étaient ses forces et ressources propres.

Maintenant, il peut expliquer à ses parents, si ces derniers le souhaitent, que ce ne sont pas des kangourous et bien des oiseaux.
Et faire la même chose avec tous les kangourous qui sont dans cette case par défaut et qui ne sentent pas à leur place.

Il connait le processus pour savoir où trouver quoi et où trouver qui?

Si le kangourou n’avait pas bougeait de chez lui, de son confort de naissance et bien il n’aurait jamais pu explorer le ciel qui est à l’origine son terrain de jeu et son épanouissement.

Si cette histoire raisonne en vous, mettez moi un commentaire. Et si elle ne raisonne pas en vous, je suis preneur aussi puisque vous avez tous une valeur en vous que vous ignorez peut-être encore et qui ne demande qu’à Être.

Invitée: Mélodie

Invitée: Mélodie

J’ai décidé d’inviter Mélodie à nous présenter son point de vue en lui laissant libre recours à ses pensées et aux sujets que l’on a put explorer ensemble lors de nos séances de coaching.

« Que voulez-vous faire lorsque vous ne pouvez même pas imaginer qu’une chose est possible ou qu’elle existe ?
Avez-vous envie d’un fruit que vous ne connaissez ni la forme, ni le nom, dont personne ne vous a parlé et dont le goût ne ressemble à rien de ce que vous connaissez ?
La réponse est évidente.
Mais la question à se poser… Quel intérêt avons-nous à découvrir les choses dont nous n’avons même pas conscience ? Quel est l’intérêt à prendre un chemin dont nous ne connaissons pas l’issu ? Avons-nous assez de curiosité pour aller explorer cette découverte ?
Il y a une quête qui, il me semble, est universelle. La quête du bonheur.
Ne serait-ce pas une assez bonne raison pour entamer un chemin ? Avoir assez de curiosité de prendre un chemin inconnu pour voir si au bout un secret du bonheur n’est pas caché.
Êtes-vous en plein bonheur à tous les niveaux de votre vie ?
De manière profonde je parle, sans rien occulter.
De mon point de vue cet état n’existe pas, mais nous cherchons à tendre vers cela.
Si tu me le permets, je vais te tutoyer, car je souhaite te parler (écrire) de mon coeur au tien sans détour.
Aujourd’hui, dans ce premier article j’ai choisi de te parler d’un sujet qui me porte depuis toujours. Prendre conscience.
Es-tu conscient de la vie ?
De la chance que tu as de vivre, d’avoir le choix de créer ta propre vie, de la construire ?
En as-tu profondément conscience ?
Aujourd’hui je veux te dire que chaque vie est précieuse, chaque vie sur terre est un cadeau.
Si tu es parent tu sais à quel point la création d’une nouvelle vie est magnifique, tu le ressens. Si tu n’es pas parent, regardes dehors et observes toute cette vie dans la nature, sa puissance, sa beauté et ressens là !
Prends ce temps 2 minutes. Ressens la vie, sa beauté, sa puissance, les infinis possibilités qu’offre la vie.
Et maintenant, tout ce que tu as ressenti pour la vie, ressens le pour toi. Quels sont les mots que tu peux mettre sur ce que tu as ressenti ?
La bienveillance, la fascination, la beauté, l’infini, la force, magique… Tout ces mots ce sont toi.
Prends conscience que tu fais partie de ce tout. Rappel toi que tu es né d’amour. Que si tu es né, c’est que la vie en a décidé ainsi. Tu es un cadeau pour l’humanité, comme chaque être. Aimes toi, respectes toi et imposes que les autres te respectent tout comme tu le feras à leur égard.
Imagines toi comme un élément clé de la vie sur terre. Tu as la chance d’avoir une vie qui va au-delà des besoins primaires / primitifs. Par respect pour la nature, ce qu’elle te propose, ce qu’elle te permets, vis ta vie et prends la en main !
Imagines toi à la fin de ta vie, entourée de tes petits enfants. Quelle sont les histoires que tu aimerais leur conter ? Quel genre de papi ou mamie veux-tu être à leurs yeux ? Quel est le grand-parent idéal ? Que dois-tu faire pour le devenir ?
Prends conscience que la magie de la vie ne peut s’opérer que lorsque tu te mets en marche.
As-tu conscience que ta vie, c’est toi qui en détiens les clés ?
As-tu compris que tout ce qui t’arrive c’est grâce à toi, que les pires moments comme les meilleurs sont de toi ?
Mais c’est rassurant non ? Une fois qu’on le sait !!!
Mon grand chagrin, c’est que la plupart des gens meurent sans avoir eu la chance d’en prendre conscience.
Alors aujourd’hui avec mes quelques mots j’aimerais contribuer à cela. Et si 1 seule personne prends conscience de sa chance de vivre grâce à 1 phrase, alors je serais heureuse.
Comment prendre conscience ? Que faire pour prendre conscience quel que soit le sujet d’ailleurs !
Je vais te donner mon point de vue personnel.
Tout d’abord il y a d’immenses pré-requis à la prise de conscience. Il faut avoir l’ouverture d’esprit pour accueillir une information nouvelle. Sans cette ouverture d’esprit, sans curiosité envers une information inconnue ou pire : contraire à ton mode de pensée… L’information, pourtant primordiale à ta prise de conscience ricochera sans avoir l’occasion de rentrer dans ton esprit.
Les prises de consciences se font grâce aux autres. Que ce soit en les côtoyant, en lisant ou en regardant des vidéos / films.
Si jamais l’information arrive à t’atteindre, que tu l’acceptes et la comprends… Cela ne suffit pas encore.
Je reprends l’exemple de ce fruit dont tu ne pouvais même pas imaginé l’existence. Tu as pris conscience de son existence, une personne a partagé avec toi toutes ses caractéristiques et t’a donné toutes les informations sur la façon de le manger. Tu en restes là ? Ah c’est super la théorie… Qu’est-ce que ça t’apporte ? Qu’est-ce que tu vas raconter à tes petits enfants sur ce fruit ? Que quelqu’un t’a raconté un jour son goût, sa couleur, l’odeur lorsqu’on se prépare à le manger ?
Il y a une immense différence qui se fera si tu t’aventures sur le chemin pour tester par toi-même d’évoluer vers cette nouvelle prise de conscience. Par l’expérience, cette nouvelle information fera partie intégrante de ce que tu es.
Voilà ce que je voulais te transmettre ce soir avec cet article. J’espère que mes mots raisonneront pour toi, en toi.
Observes la vie qui t’entoure, rappel toi que tu fais partie de toute cette vie, que tu es en vie et que tu peux tout faire de ta vie. La clé du bonheur réside dans notre capacité à prendre conscience, alors travaillons là-dessus avant tout. »

Maintenant, si vous aussi vous voulez, vous exprimez, partagez votre vision, vos questions. Faites le, comme Mélodie, qui continue à progresser de manière fulgurante.
Donc un grand merci de pouvoir assister à cela en direct. BRAVO!!

Pourquoi ne le fait-on pas?

Pourquoi ne le fait-on pas?

Cette question veut tout dire et rien dire, pourquoi?
Il y a tout simplement un manque de clarté et de compréhension envers soi-même.
Au cours de mes nombreux coaching, j’ai remarqué que plusieurs éléments étaient présents, pour ne pas le faire.

Dans un premier temps, il est impératif de déterminer pourquoi je vais le faire et pourquoi je veux le faire, sans quoi je peux très vite me perdre dans le comment? Ou encore le quoi? Le où?
Bref, ce que je veux dire par là c’est que les chemins pour se disperser sont infinis. Donc autant mieux se raccrocher à chaque fois que possible au fil conducteur qu’est le POURQUOI?

Je vais vous faire état de certaines situations qui nous poussent à ne pas le faire:

. Lorsque nous avons pris l’habitude que l’on nous dise quoi faire et quand?
En procédant ainsi, je ne prend pas d’initiative et reste dans une forme de passivité. Donc je n’ai pas appris autre chose que cela.
Je fais ce que je sais faire.

. Attente d’approbation.
Si je décide de mettre du nouveau dans ma vie. Bien souvent, j’ai eut besoin d’approbations car je ne me sentais pas forcément à la hauteur. Ou encore qu’il soit possible que se soit une perte de temps.
Je ne voulais pas assumer cela tout seul. Alors dans ces cas là, lorsque j’arrivais à obtenir l’approbation de certaines personnes, il m’était alors plus facile de me lancer.
Sauf que bien souvent, cela ne coïncidait pas avec les attentes/envies de ceux à qui je posais la question. Et comme je ne voulais pas l’assumer seul, par peur du rejet et bien je ne le faisais pas.

. La peur du ridicule.
J’ai beau savoir que la peur du ridicule ne tue pas et pourtant combien de fois le ridicule m’a empêché de passer à l’action?
Oui, ce n’est pas confortable d’être ridiculisé. Mais que se passe-t-illorsque je le suis?
Et bien j’ai la possibilité, d’apprendre, d’en constater un résultat concret et non qu’un résultat abstrait.

. La peur d’être critiqué.
La peur d’être critiqué se rapproche au niveau des conséquences de celle de la peur du ridicule.
Maintenant, avec du recul et de l’observation, j’ai pris conscience que ceux qui le font, sont ceux qui ne font rien de nouveau et qui ne tentent rien.
Ce qui fait que pour se sentir moins seuls dans leurs cas et bien la seul façon qu’ils trouvent pour exprimer cela et de critiquer.
La critique est facile, alors que l’action est toute autre.
Plus jeune, je critiquais mes parents, mais en fait, je ne connaissais rien à leur vie du passée. Je ne comprenais pas qu’ils la reportaient inconsciemment dans mon présent. Et qu’automatiquement, le décalage entre l’avant et le présent de l’époque pouvait être conséquent.
C’était alors un peu la loi du plus fort. Et dans le rapport parents/enfants, c’est complexe car il y a un déséquilibre dès le début physiquement, puis mentalement et l’histoire qui n’est pas la même.
Cela est vrai pour mes parents et pour chaque nouvelle que je côtoie.
Chacun a son histoire et son vécu, ce qui veut dire que chacun à une projection de sa vie.
Dans ces cas là, chaque critique blesse la personne.
Cela peut-être atténué grâce à la communication, la compréhension, le lâcher prise, l’ouverture d’esprit au nouveau.

. Tourner autour du pot.
Cela se vérifie, lorsque l’on observe un manque de clarté dans les objectifs.
Ce manque, découle souvent d’un manque de moyen, qui n’est pas que financier. Par exemple ne pas pouvoir mettre un mot exact sur ce que l’on peut ressentir est dû à une insuffisance de mots pour le sujet convoité et recherché.
Chaque sujet à un lexique, un vocabulaire prédéterminé pour mieux se comprendre. En parlant d’un même sujet avec un lexique et un vocabulaire déterminé, il est évident que la compréhension ne sera pas la même.
Les mots seront différents et parfois même incompréhensible.
Cela amène donc à une phase d’apprentissage, pour pouvoir poser et mettre les mots justes pour chaque situations. En procédant ainsi, je suis plus clair ce qui implique que je ne tourne plus autour du pot.

De plus l’une des erreurs que je commettais continuellement, c’était de me renseigner auprès de mon entourage qui n’expérimentais rien de neuf. Alors comment pouvais-je avoir des résultats allant dans mon sens?

Agir, c’est bien. En conscience c’est mieux et en groupe ça l’est encore plus.
Car je peux aller plus vite en me mouvant seul. Maintenant, si je veux aller loin dans cette démarche et cette envie. Et bien j’ai tout intérêt à m’entourer de personnes semblables à moi.

Cela m’a demandé beaucoup, notamment en remise en cause.
J’ai tout remis en cause, ce qui est une erreur, car tout n’est pas à remettre en cause. Par exemples, les lois universelles telle que la loi sur la gravité n’a pas lieu d’être remise en cause. Car cela revient à aller contre la nature.
Maintenant, toutes les croyances qui ne concernent que ma personne et ma vision du monde peut être remise en cause, afin de mieux comprendre mes mécanismes internes et donc mon fonctionnement.

En aillant emprunté ce chemin, tous les jours j’évolue, je grandi, j’apprends, je rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux mots. En d’autre mots en m’autorisant, je deviens quelque part un explorateur. Un explorateur de la vie.

Ainsi en explorant la vie, je rencontre des personnes sur le même chemin que moi à un niveau donné. Ce qui fait que nous pouvons évoluer avec un même vocabulaire, une même compréhension.
Et si je rencontre des personnes qui veulent évoluer et arriver à un niveau similaire au mien et bien c’est avec plaisir que je leur enseigne ce que je sais, pour les amener à croître dans leur vie.

Maintenant, cela ne peut partir que d’une personne, « toi ».
Si tu veux grandir et apprendre un peu plus sur ton fonctionnement, je suis présent pour t’amener à évoluer.

Dites moi en commentaire, ce qui vous bloquent et vous empêchent de passer à l’action.

La patience.

La patience.

Ce mot voulait tout dire et rien dire pour moi.
Je pouvais le comprendre intellectuellement mais pas concrètement, puisque mon entourage ne me le montrait pas.
C’était donc qu’un mot parmi tant d’autres, que j’employai sans grande importance.
Pourtant il a sa raison d’être et je l’ignorais dans son sens et sa valeur.

A force d’entendre ce mot qui pour moi était évident, j’ai fini par me questionner et chercher à comprendre son sens et jusqu’à quelle mesure, il s’étendait.
Continuer la lecture de « La patience. »

Quoi faire?

Quoi faire?

A partir du moment où je me pose cette question, il y a un élément déclencheur et il y a quelque chose qui ne colle plus avec mes habitudes, la routine. Ou encore la présence d’une souffrance.

Dans ces cas là, je cherche à changer quelque chose en moi, en fonction de?
Puisqu’il y a une forme d’inégalité de présente et que je cherche à rééquilibrer pour ne plus avoir à ressentir cela.
Et bien souvent, pour résoudre cette forme de déséquilibrée, je me laisse influencer par l’extérieur, car je n’ai plus la réflexion et le réflexe interne pour la résoudre.

Pourtant, je l’avais lorsque j’étais enfant. Qu’est-ce que je veux dire par là?
Instinctivement, un enfant ne se retient pas pour exprimer quelque chose, alors que la majorité des adultes ne font que ça.
Naturellement, qu’il est compliqué de dire à son patron ouvertement qu’il nous fait chié et que ceux qui osent le faire sont pointés du doigt et donc plus grandement condamnables étant donné que la majorité ne le fait pas.
Dire tout haut, ce que les autres pensent tout bas, à un prix, que peu de monde est prêt à payer.

Autrement, ce que je veux dire par là, pour ne pas avoir de responsabilités à prendre et que je n’ai pas de réponse. Plutôt que de la chercher, je me réfugie vers la facilité. Et quoi de mieux pour se rassurer que de demander la solution à l’extérieur de sois et qui bien souvent n’a pas la réponse voulue?
Ainsi, je pourrais poser ma préoccupation à une personne extérieure à moi, qui en prendra bien souvent part à partir du moment où elle sera à notre écoute.

Maintenant, je sais aussi que certaines personnes ne nous écoutent pas car, elles estiment en avoir déjà assez à gérer avec leurs propres vies. Et c’est tout à leur honneur.
D’ailleurs, dire « non » à quelqu’un en détresse n’est pas une mince affaire à faire. Car cela revient à être pointé du doigt et d’être considéré comme sans coeur, égoïste, absent…

L’erreur que j’ai bien trop souvent commise est celle de penser pour les autres, ce qui m’amener à biaiser ma réponse.
Ma réponse dépendait d’une réponse que j’avais sous entendu en pensant à la place des autres personnes.

Ce qui fait que je donnais plus d’importance à l’extérieur de moi que pour moi.
En d’autre mots à force de penser ainsi, je m’oublier un peu plus.

Maintenant, je m’entraîne à dire de vrai « non », pour dire de vrai « oui ».
Cela demande un entraînement. Et comme dans tout entraînement, il y a des louper.
Par la suite, lorsque j’analyse les louper et que je les remets en questions alors, je peux arriver à un autre résultat que le précédent, avec lequel je peux comparer.
En procédant ainsi, je peux affiner mes résultats obtenus, grâce à la dichotomie.

« Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. »
A. Einstein

Dans ces cas là, plus je vais essayer de choses venant de moi et plus je me connaîtrais et plus je m’affinerais dans ma façon d’être et de penser.
Et ainsi, je pourrais agir plus en étant moi.

Dîtes moi, qu’est ce qui vous empêche de passer la vitesse suivante dans votre vie pour passer au niveau supérieur?
Lâcher prise, c’est perdre pour mieux se retrouver ensuite, c’est accepter ce que je ne comprends pas, c’est aussi et avant tout pour moi se faire confiance.
Car lorsque je le fais, je décide de le faire consciemment ce qui a une double valeur.

La prochaine fois, je vous parlerais de la patience, c’est un sujet qui m’a trop souvent fait défaut, alors je vous donnerais mes conseils.

Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous?

Pourquoi prendre le « leadership » qui est en nous?

Selon wikipédia,  « Le leadership est l’influence politique, psychologique, sociale, etc. d’un individu ou d’un groupe d’individus sur un groupe ou un autre groupe. Le leader a des compétences personnelles qui lui confèrent une différence et qui lui permet d’être écouté et suivi par un groupe de personne. »

Autrement dit, c’est une personne ou un groupe de personne prenant une direction commune.
Par ailleurs, si je décompose ce mot:
. Lead: conduire
. Leader: chef
. Ship: navire

1) Ces mots sont forts de sens, puisque si je suis seul, je décide de « conduire » en me comportant tel un « chef », mon « navire » à la destination que j’ai choisi.
2) Maintenant,  si je m’entoure de personne de spécialisée dans leur domaine et voulant arriver à la même destination que moi. Alors nous ne nous marcherons pas dessus, et nous serions tous « leader » de notre tâches à effectuer. Continuer la lecture de « Pourquoi prendre le « lead » qui est en nous? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

Merci Elisabeth et maman pour votre participation et votre réponse.

La vie récompense ceux qui passent à l’action, j’aime cette devise. En conséquent je vous offre une séance de coaching, qui vous permettra d’aller encore un peu plus loin pour votre bien-être.

Je vais vous apporter à mon tour mon point de vu, mes observations, mes apprentissages.

La comparaison est une forme de suicide car c’est vouloir faire comme…, ou se distinguer de… et donc quelque part procéder autrement et finir par ne pas être soi.
Dans ces cas là, je n’agis pas en conscience de moi mais plutôt en fonction de.
Si j’utilise continuellement ce principe et bien j’arrive à m’oublier complètement, puisque je serais toujours tenter à observer à droite et à gauche.
D’ailleurs la comparaison est aussi une forme de compétition et de classement. J’observe le résultat de quelqu’un d’autre part rapport au mien.
Maintenant, en fonction des intentions qui y sont mises, cela peut-être bénéfique ou négatif pour moi.

La comparaison vient d’où?
Cette dernière apparaît à partir du moment où il y au minimum deux individus faisant et/ou voulant un résultat qui leur serait optimal.
La comparaison leur donne ainsi des références et des bases, reflétant principalement un manque intérieur représenté bien souvent par ce manque de confiance en soi, qui à grande dose détruit l’Être.
D’où le fait que, j’ai fait état de comparaison = suicide.

Autrement, si je suis seul, je ne peux pas me comparer. Donc sur quoi je m’appui?
Si j’ai pu et su développer au préalable ma confiance en moi, alors je n’aurais plus ce besoin de me comparer pour faire.

« Je ne peux savoir que ce que j’ai appris. »

Donc comment puis-je apprendre?
Je sais que nous commençons tous notre vie avec des outils.
Et ces outils, nous avons à en prendre conscience, connaissance, à les utiliser à sa juste valeur, à les expérimenter pour se faire la main et ainsi en rendre son utilité et efficacité facile.
Car si je ne sais pas utiliser un outil que je trimbale avec moi, il m’est plus encombrant qu’utile.
Pourtant, si nous utilisons nos propres outils à leurs juste valeurs et bien nous n’aurons pas à nous comparer.
Si nous nous comparons, c’est tout simplement que je cherche à apprendre à utiliser mes outils. Et c’est là où les choses peuvent se complexifier, car lorsque je me compare, je le fais bien souvent avec quelqu’un qui maîtrise l’outil et donc l’écart peut-être grand, voir trop grand.

Nous allons voir ensemble quels sont ces outils et notamment le premier qui nous pousse à la comparaison.
J’ai une boîte à outil et vous en avez tous une, où se trouve plusieurs sens.
Normalement, pour la grande majorité du monde, nous apprenons grâce à nos  5 sens:

. La vue

. L’odorat

. L’ouïe

. Le toucher

. Le goût

Chaque sens, affine un peu plus encore la vision de ma vie, à la condition bien sûr que je les utilise.

La vue est le premier sens qui me permet de me faire une vision de ma vie.

Car juste en voyant des choses de près ou de loin, je peux, me faire ma propre interprétation, qui peut être erronée, ou vraie en fonction de mon passé.

Là où je sais faire, j’y vais tel un leader.

Par contre, là où je ne sais pas faire et bien c’est plus complexe. Si je me retrouve face à quelque chose de nouveau ou encore une situation nouvelle et bien j’arrive quelque part face à un obstacle. Donc j’observe et me compare avec les autres pour tenter par la suite de reproduire le résultat et l’adapter à moi en cas d’inconfort.

Cependant, la vue n’est pas toujours suffisante pour réussir à faire et reproduire ce que les autres font.

Ainsi je peux connaître des formes de frustrations, de jalousies, si je ne réussis pas. Et je peux collecter des étiquettes que mon entourage me colles tout au long de mon parcours de vie.
Sincèrement, les étiquettes ont tendance à coller avec le temps et c’est souvent là, où je retrouve mes croyances.

Qu’est-ce qui se passent en moi au moment où je cherche à me comparer?

Et bien je ressens une zone d’insécurité, car je ne sais pas.

Je cherche à combler cette insécurité en me comparant pour voir, déjà dans un premier temps, si j’ai tous les mêmes outils extérieurs tels que la posture et les gestes.

Lorsque je ressens cette insécurité et bien la relation est impactée avec les autres.
J’ai alors à être attentif à cela pour que l’impact ne se fasse pas ressentir.

D’ailleurs, il est possible que je ne pense pas à la comparaison et que cela soit mon extérieur qui se compare à moi et m’en fasse part.

Ce qui fait, qu’il y a une interaction qui se créée et là comment faire?

La meilleure solution que j’ai trouvée jusqu’à présent est de continuer d’avancer, car si je m’arrête je perds l’équilibre. Et je l’ai perdu bien souvent.
Mais rassurez vous, un échec ne tu pas, il rend simplement plus fort, seulement si tu en tire une leçon et que tu te relèves.
Car derrière chaque échèc, il y a une opportunité à saisir.
Maintenant, si je me compare à des personnes qui sont elles-mêmes jalousent de moi de part ce que je fais, alors je n’évolue plus dans le sens qui m’intéresse.

A ce moment-là, je ressens des émotions et les émotions que je traverse m’amènent à des efforts d’adaptations.

Pour que l’adaptation soit simple, évidente et bien j’ai à me former à apprendre comment faire et surtout comment agir en conséquence plutôt qu’à être dans la réaction.
Car c’est entrant en réaction, que je me décentre, me déséquilibre et perd pied. Ce qui fait que je me retrouve là ou le vent me mène.

Le vent est le même pour tous, il y en a simplement qui ont appris à naviguer et faire face au vent pour arriver où ils le souhaitent.

Je suis dans un monde où je ne suis pas seul, donc oui rien que pour cela je me comparerais que je le veuille ou non.
J’utiliserais simplement un outil qui est propre à chacun, celui de la vue.
Avec cet outil, je peux réaliser de très belles choses comme son contraire. Tout comme un couteau de cuisine. Tout dépend ce que j’en fait et de ce que j’en ai appris à faire.

Je vous invite à laisser un commentaire, si vous avez aimez cet article pour que je le sache et puisse éventuellement vous aider sur une thématique, un outil.
Car si vous ne me dites rien et bien j’avance.
Au plaisir et à très bientôt.

La clé pour réussir,

La clé pour réussir,

Selon l’image de base que nous nous faisons des clés, selon le dictionnaire Larousse:
« Pièce métallique qui porte, à une extrémité, le panneton ou des encoches pour actionner le pêne de la serrure et, à l’autre extrémité, un anneau ou une tête pour permettre la manœuvre. »


Pour réussir, certes, mais quoi?

Il est clair qu’avec une clé tu peux réussir une chose qui te conduit à une autre etc… tel l’effet domino.


Encore faut il être en conscience de savoir ce sur quoi cela découle.
Si je n’ai pas appris, que cette clé me permet d’ouvrir une porte, je peux passer à coté de cela et en faire un autre usage, ou même la jeter.
Autrement, je peux la mettre dans un coin en attendant de savoir un jour à quoi cela peut-il bien me servir.
Sachant qu’il soit possible que ce jour puisse ne jamais arriver et donc je m’encombre de choses qui peuvent paraître aux yeux de certains inutiles et utiles aux yeux d’autres. Mais tant que je ne sais pas je la garde.

Aujourd’hui je me rends compte que la clé pour réussir n’est pas matérielle, elle est bien immatérielle. Et les mots pour tenter de définir la clé de la réussite, seraient pour moi, la « prise de conscience. »

Sans cette prise de conscience je ne peux pas grand chose.
C’est un peu comme si que je marche à l’aveugle et tourne rond continuellement, car je reste enfermé dans cette spirale infernale.

Maintenant, si je prends conscience de cela, de son utilité, de sa fonction, de son intérêt pour moi et bien je peux le résoudre facilement.

Reprenons l’exemple de ma clé matériel:
Si l’on m’explique que cette clé me permet d’ouvrir une porte, cela me parle plus.
Si en plus on me montre quelle porte, où la placer dans la porte et comment actionner cette clé pour ouvrir la porte. La prise de conscience se fait instantanément.

Dans un premier temps, je ne savais pas à quoi servais cette clé.
Dans un second temps, je suis passé par la théorie.
Pour enfin, passer à l’action et ouvrir la porte.

Au plus j’ai d’éléments, de connaissances et d’informations au plus j’ouvrirai rapidement cette porte.

Ici, j’ai pris l’élément « clé » pour expliciter mon exemple.
Maintenant, nous voyons et employons souvent le mot « clé » à toutes les sauces, ce qui fait que son sens se complexifie, rendant ainsi plus mystérieux son utilité.

La clef est utilisée aussi pour:
. Le sport, avec des clés de bras en judo par exemple.
. La musique, avec la clé de sol par exemple.
. La mécanique, avec la clé à pipe par exemple.
. L’informatique, avec la clé USB par exemple.
. Les indices amenant à la clé.

Par ailleurs, il n’en est pas que dans ses sens qu’il se complexifie car nous le voyons aussi dans le monde matériel avec la clé de mon exemple.
Les clés de portes de nos jours ne sont plus celles, qu’elles étaient autrefois.

C’est pour cela, qu’avant de détenir la clé, il est important de savoir quoi en faire pour ne pas se charger inutilement.
Et comme nous l’avons vu, les clés sont en grandes quantités, dans divers domaines et de plus en plus complexes.

Donc vaut mieux prendre la première clé, qui est pour moi « la prise de conscience. »
Elle me permet ainsi de me défaire de clés qui m’encombraient plus qu’autre chose mon esprit. Ce qui me rendait moins performant, plus lent, moins efficace.
Autrement dit, sans cette première clé, je ne pouvais pas atteindre ce que je voulais car je me mettais trop de pression pour garder toutes mes autres clé.
Une clé suffit pour ouvrir une porte, je trouverais bien sur mon chemin, d’autres clés, donc à quoi bon vouloir toutes les clés dès le début, si cela n’est utile que pour la fin.

Et vous, dites moi en commentaire comment vous vous y prenez pour réussir?
Vous encombrez-vous dès le début? Ou y allez-vous à l’aventure?

Qu’engendre le nouveau?

Qu’engendre le nouveau?

« Nouveau » selon le dictionnaire de l’internaute prend plusieurs sens.
. Sens 1
Qui existe depuis peu de temps. Apparu récemment.
. Sens 2
Original, inédit.
Exemple: Cette nouvelle technique est révolutionnaire.
Synonyme: inédit
. Sens 3
Qui vient à la suite de quelque chose et le remplace.
Exemple: Il a trouvé un nouvel emploi.

Le nouveau est omniprésent.
Il se trouve dans tous les domaines de vie:
. Sentimental
. Social
. Professionnel
. Financier
. Spirituel

Il laisse place normalement à l’ancien, hors il arrive bien souvent que l’on arrive pas à se détacher aussi facilement de l’ancien, pour différentes raisons:
. les habitudes que l’on a pris avec les anciennes personnes, choses, situations,
. les affects que l’on peut placer dans chaque situation, choses et personnes,
. les souvenirs,

Et au plus nous attendons à accepter et vivre avec le nouveau et au plus nous vivons avec la dualité du nouveau et de l’ancien.
Le nouveau est souvent plus rapide mais il demande un temps d’apprentissage considérable.
Alors que l’ancien est acquis mais est souvent plus lent que le nouveau.

Donc pour acquérir du nouveau, il faut être prêt à se lancer bien souvent dans une part d’inconnu et pas forcément rassurante, qui peut demander un temps d’adaptation et d’intégration.
Un chose toute simple peut très vite devenir compliquée pour celui qui ne maîtrise pas.
Et comme bien souvent, nous évoluons tous à des niveaux différents, il n’est pas inscrit sur chaque individu, le niveau qui nous est adapté.
Nous pouvons très vite dans ces cas là, se retrouver dans une situation délicate à gérer surtout si nous débutons tout juste dans un domaine.

Bien souvent, nous devons passer par la phase « apprentissage », mais est ce que nous nous donnons les moyens et surtout le temps pour y parvenir?

De plus le « nouveau » fait état à la différence, je n’ai plus ce que j’avais avant.
Il y a donc plusieurs étapes pour que cela puisse être intégré et accepté par moi.
Il y a une phase d’acceptation, oui il me faut accepter le nouveau, si je n’ai plus l’ancien. L’acceptation est souvent plus simple dans ce cas, puisque je n’ai pas l’impression d’avoir le choix pour « accepter », pour continuer.
Par contre dans le cas où j’ai à faire au nouveau et à l’ancien, là un choix conscient se fait, puisqu’il y a le nouveau et l’ancien, tous deux sont présents.
Les deux fonctionnent pour avancer et les deux ont des avantages et inconvénients, pourtant un choix s’impose.
Car faire les deux pour une même chose, fait état d’une répétition pour obtenir un même résultat. Il est clair que cela peut donner lieu à un comparatif, mais aussi à une perte de temps, car il nous faudra passer beaucoup plus de temps sur l’ancien et le nouveau que sur l’ancien ou le nouveau.

C’est pour cela qu’il est préférable d’être clair dans ces choix, au plus je suis clair avec moi et dans ce que je veux, au plus il sera facile de me positionner dans le « nouveau » ou « l »ancien ».

Après, il est clair que toutes chose à une durée de vie, que tout est cyclique et que le nouveau aujourd’hui deviendra ancien dans le futur. Et qu’au bout d’un moment, certaines personnes s’intéresseront à nouveau aux anciennes choses. Car tout n’a pas été découvert.

Tous les domaines de vie, ont bien été compartimentés c’est pour cela que nous retrouvons quasiment un métier pour chaque spécificité de la vie.
Et étant donné que le nouveau est omniprésent, si je ne prend pas le temps de me former continuellement et bien je prends vite du retard.
Mais du retard par rapport à qui et à quoi?

Du retard par rapport à l’évolution de la vie.

Je vois que chaque année, naissent de nouveaux mots dans le dictionnaire et certains sont retirés.
De nouvelles personnes naissent lorsque des personnes meurent.
Un équilibre né grâce au nouveau.

Si je n’ai que des anciennes choses alors une forme de rejet de la société s’installera car je serais trop différent de la moyenne.
Tout comme si je n’ai que de nouvelles choses, une forme de de rejet s’installera car trop différent.

Dans les deux cas, si je ne me trouve pas dans une zone qui m’est confortable mon corps pourra me faire ressentir diverses douleurs (maux de dos, angoisse, stress…)
Et si je ne n’en prends pas conscience, je peux très vite tombé dans un cercle vicieux.

Cependant, maintenant si je suis décidé d’avancer avec mon temps et que j’adhère facilement au nouveau, il me sera alors très facile de me détacher des anciennes.
Ainsi, je gagnerai en rapidité et en productivité.

Dites moi en commentaire, si vous arrivez à vous faire rapidement aux nouveaux ou avez-vous du mal à faire la transition?
Si oui, à quel niveau? Et comment faites vous pour y remédier?

Au plaisir et à très bientôt.