L’importance d’avoir des rêves en tête.

L’importance d’avoir des rêves en tête.

 

 

 

 

 

 
Il existe plusieurs sortes de rêves:
– les rêves inconscients que l’on fait lorsque l’on dort.
– les rêves conscients que l’on fait lorsque l’on s’imagine dans une situation agréable.
Nous parlerons plus particulièrement ici des rêves conscients sur lesquels nous avons un plus grand pouvoir d’action.

Commençons avec différentes citations inspirantes:

C’est la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. (Paulo Coelho)
Le rêve est la preuve qu’imaginer, rêver ce qui n’a pas été, est l’un des plus profonds besoins de l’homme. (Milan Kundera)
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. (Eleanor Roosevelt)
Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. (Walt Disney)
Les rêves sont la nourriture des dieux (Paul Ohl, écrivain).
Ne te crois pas pauvre parce que tes rêves ne se sont pas réalisés: vraiment pauvre est celui qui ne connaît pas le rêve. (Marie Von Ebner-Eschenbach, romancière)
Ayez des rêves et travaillez très fort pour les réaliser! Mais surtout, faites des choses que vous aimez parce qu’alors, les efforts pour les atteindre paraîtront moins exigeants. (Julie Payette, astronaute)

Des rêves nous en avons tous et que faisons nous pour les réaliser?
Faisons nous tout notre possible pour leur réalisation ou les laissons nous passer?

Les rêves ont beaucoup de vertus bénéfiques.
Ils nous animent, nous donnent accès à des ressources insoupçonnées.
Ils nous permettent de nous échapper vers une vision qui nous apporte de l’espoir et nous sortent de nos pensées négatives.
Ils développent notre imaginaire ouvrant la porte à de nouvelles solutions.
Ils donnent une direction, un sens à la vie.

Des rêves, il en existe une multitude mais comme tout individu, un rêve est propre à chacun et il peut se développer ou non?
Tout dépend, de l’énergie de l’intention et de l’attention que l’on y porte.
Il est certain que si nous consacrons peu de temps, voir pas du tout pour nos rêves, ces derniers risquent de ne pas voire le jour.

Il vaut mieux essayer de chercher à réaliser son rêve puisqu’il n’y a aucun plaisir à vivre du regret. Et puis pour réussir, il faut d’abord essayer.

Nous sommes plein d’entrain, plein de volonté pour réaliser un grand nombre de choses, telle que que voyager, découvrir, aider notre famille, se connaître, avoir un bon travail, de l’argent.
Et pourtant tout le monde a un rêve et pour certain il est difficile d’aller vers celui-ci, ils bloquent, pourquoi?

Les raisons sont diverses: les peurscelle du regards des autres, du jugement , la peur de l’échec, de décevoir les autres et surtout soi-même, l’idéalisation, la santé, l’argent, l’entourage…

Toutes ces raisons ne sont que des croyances limitantes telles des barrières qui peuvent être levées et dépassées. Tout comme dans un labyrinthe il est indispensable de mettre en place un plan d’action pour ne pas se perdre.

Je me suis alors appuyé sur ma technique d’enfant pour résoudre les labyrinthe de mes magazines.


Il s’agit de prendre du recul et de visualiser le bon chemin en commençant par la fin pour remonter jusqu’au départ. Une fois la visualisation faite je sais par où passer, en conséquent je pourrais investir à cent pour cent dans ce chemin puisque je connais la destination et le résultat. Cet investissement se décomposera en étapes et en fonction des moyens que j’ai à ma portée aujourd’hui.

N’oublions pas que tout est possible quand on s’y met.
Ils y a trois sortent d’homme: ceux qui vivent leur vie, ceux qui rêvent leur vie et ceux qui vivent leur rêve. Philippe BARTHEROTTE

Et vous, quel est votre façon de parvenir à vos rêves?

Pourquoi et Comment réussir?

Pourquoi et Comment réussir?

Il est clair que tout le monde veut réussir ce qu’il entreprend.
Et pourtant est-ce vraiment la priorité de savoir « COMMENT » réussir?

Le « COMMENT » réussir était pour moi la première des choses à savoir, puisque l’on attendait de moi que je réussisse, ce que je faisais.
Et le « POURQUOI » ne venait que bien plus tardivement, au moment des challenges et difficultés. Ce qui faisait que les réponses que je trouvais à mon « POURQUOI » étaient biaisées et n’avaient ni de sens pour mon entourage, ni de sens pour moi.
Ces réponses étaient du style:
« Je le fais car, mon entourage m’a dit que c’est bon pour moi et que je ne vaux pas mieux. »
« Je le fais pour ne pas décevoir mes parents. »
« Je le fais parce que je l’ai commencé et parce que j’aime aller jusqu’au bout. »
Et j’en passe car le discours interne et extérieur que j’avais ne tourner qu’au tour de cela et personne d’autres que moi ne pouvait casser et changer ce schéma.

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Comment avoir et vivre une vie sur mesure?

Comment avoir et vivre une vie sur mesure?

Avoir et vivre une vie sur mesure est un rêve que beaucoup aimeraient obtenir.
Et pourtant ce rêve ne reste bien souvent qu’un fantasme, une illusion que l’on pense impossible.
En fait c’est nous, qui le rendons impossible, car on nous finissons par ne plus y croire et on finit par se résigner.

Alors que pour « avoir » ce qui nous correspond le plus, il faut « être » ce qui nous correspond le plus, autrement dit ce que je suis .

Pour « être », il faut pouvoir se mouvoir pleinement sans restriction,  n’y même se sentir gêné. Autrement dit être « libre », cela va de soit dans son intérieur (psychique) et son extérieur (physique).

Une vie sur mesure, nécessite d’ingrédients sur mesure et il faut s’en donner les moyens et le temps.
Alors oui, comment? Lorsque bien souvent on a pas une minute à soit?
C’est ce que je croyais jusqu’au jour où je me suis posé et posé des questions.

Je me suis alors questionné sur un sujet concret pour me donner une direction, un cap et donc je suis parti sur la réalisation d’un costume.
Si je veux un costume sur mesure, je dois alors savoir comment et par quels moyens je peux l’obtenir?
Comment?
En le faire soi ou en le faisant faire faire.
Les moyens?
Cela se traduit bien souvent avec le coté financier et temps.

Si je ne prends pas le temps de me questionner à ce niveau là, alors je ne mettrai aucune chance de mon coté, pour un jour l’avoir. Et ce costume restera un rêve, un fantasme.
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La résilience est un bien grand mot.

La « résilience » est un bien grand mot.

La résilience est un mot qui me parle, sans trop me parler, qui m’attire et m’effraie à la fois, pourquoi donc?
Initialement, lorsque je le rencontrais je n’y prêtais pas plus attention que ça. Puisque ce n’était pas clair et cohérent pour moi. C’était comme si la vie me murmurait à quelque chose dont je ne comprenais pas le sens et qui ne m’intéressais d’ailleurs pas.

Et cela est valable pour toutes choses puisque lorsque tout va bien, que je ne connais pas de challenge en lien avec un sujet, je ne trouve pas l’utilité d’apprendre et d’en comprendre le sens. Pourtant je sais et sens qu’au fond de moi, c’est une erreur, qui peut être lourde de conséquences, puisque je ne serais pas prêt à vivre cela.
Je sais et savais que cela pouvait arriver évidemment et que personne n’est à l’abri.
J’espérais toujours passer aux travers les mailles du filet comme beaucoup. Par contre, le jour où j’y serais contrains et bien ce sera la catastrophe intérieur pour moi, puisque je ne suis pas prêt à vivre cela. Et d’ailleurs mon entourage non plus, donc bien souvent aucun apprentissage n’est fait avant ces traumatismes.

Bref, le temps est passé et c’est alors que le mot est réapparu. Cette fois de manière plus prononcée. Puisque, plusieurs personnes ne se connaissant pas m’en ont touché un mot, sans trop savoir non plus au juste ce que cela voulait réellement dire et signifié.
Puis par « hasard », je suis tombé sur un article dessus.

Au vu, de ces coïncidences troublantes pour moi, je me suis alors dis que cette fois, j’allais vraiment m’y intéresser de plus prêt.
En agissant ainsi, j’ai appris que j’étais déjà dans une forme de résilience, car je change mon attitude vis à vis de ce mot et par la même occasion vis à vis de la vie.
Puisque en m’intéressant à un nouveau mot, j’élargi mon champs des possibles. Et j’ai bien fait, car la vie m’a conduit vers ce que je cherchais, pour comprendre et ainsi avancer plus facilement et sereinement dans la vie.

Donc c’est avec émotion et joie que je vais vous partager les solutions de mes recherches.

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Quelle est la 1ère chose à savoir avant de se lancer dans quoi que ce soit?

Quelle est la 1ère chose à savoir avant de se lancer dans quoi que ce soit? 

Cette question est indispensable, car sa réponse détermine la continuité des choses, autrement dit la suite.
Je me rends compte aujourd’hui que je l’ai trop souvent oublié cette question et la réponse qui y allait avec.
Au plus j’ai grandi, au plus je ne trouvais plus d’intérêt à me la poser car la réponse ne résonnait plus en moi.
Cette question je l’avais découverte au début de mon enfance, lors du sport:
« qu’est-ce qui est le plus important dans une course et/ou compétition? »
« le plus important, c’est de participer et d’aller jusqu’au bout. »

Cette question et réponse me suffisaient pour mener à terme mes courses. D’ailleurs au début, je n’étais pas brillant loin de là, j’étais même un peu le clown de service, puisque je n’obtenais pas de bons résultats. Mais à force de participer à toutes les entraînements et courses, sans jamais une absence mon niveau augmentait et sans trop en comprendre le pourquoi?

Maintenant aujourd’hui, c’est évident. Mon niveau montait, du au biais des entraînements consécutifs et sans absences, qui étaient mis en place.
C’est un principe qui mène toujours à un résultat plus grand dans le temps, jusqu’à tendre vers l’excellence.
Et ce principe est la RÉPÉTITION.

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Le stress.

Le stress selon le Dictionnaire Hachette encyclopédique nm inv : Perturbation provoquée par des agents agresseurs variés (émotion, froid)

Plus le stress apparaît tôt et plus des troubles, tels que celui du sommeil, le manque d’appétit, l’anxiété, l’agressivité, l’irritabilité, le repli sur soi, les maux de ventre répétés et j’en passes, naissent et grandissent.
Jusqu’à en devenir des troubles chroniques. Des troubles que l’on apprend à vivre avec car ils restent présents en nous, coût que coût.
Et cela sans réellement en avoir pris conscience.

Tout ces troubles sont de plus en plus apparent chez les enfants, donc oui:
tout petit, les enfants connaissent déjà le stress. Et cela s’observe dans de nombreux cas avec l’apparition des troubles énoncés ci-dessus.

D’où provient le stress chez les enfants?
Comment y faire face et comment le prévenir?
Quand est-il nécessaire de s’en inquiéter?
Comment aider les enfants à grandir dans les meilleures conditions et ainsi d’épanouir pleinement?

L’enfant est tout comme l’adulte vulnérable au stress, si celui-ci n’est pas paraît à le surmonter, bien entendu à son échelle.
Et son échelle varie selon la vie qu’il a. On y retrouve bien souvent:
– la vie familiale avec les exigences parentales plus ou moins importantes,
– les divers problèmes familiaux (conflits, divorce, garde alternée, accidents, maladies…)
– les contraintes de l’école, (règlement intérieurs, devoirs…)
– les activités extra-scolaires (activités sportives, musicales…)
– les challenges environnementaux (bruits, transports, les appareils technologiques…
Et bien souvent, avec ces emplois du temps surchargés, les enfants se sentent débordés et finissent par craquer.

Il est important de savoir que le stress n’est en rien une manifestation normale chez l’enfant. Car au plus il apparaît hâtivement chez l’enfant, au plus les répercussions sur sa vie se feront ressentir.
Alors le stress est susceptible d’altérer directement son développement physique, affectif, social et intellectuel.
Et des symptômes divers et variés apparaîtront de manières croissantes pour alerter d’une disharmonie intérieure à l’enfant. Tels que l’agressivité, l’agitation, les insomnies, les difficultés de concentrations.
Et ce n’est pas tout, car à cela peut s’ajouter des manifestations somatiques: bégaiements, crises d’asthme nerveuse, maux de tête, maux de ventre…

Tout ce qui n’est pas exprimé est s’imprime dans le corps, donc essayons de comprendre. Au plus tôt, le « nœud » (symptômes, maux, comportement…) est compris, au plus vite l’enfant peut grandir sans ce stress inutile pour sa croissance.
Et la première des choses à faire est de prendre en considération ce que l’enfant a à dire, prendre le temps de l’écouter, connaître ses difficultés, ses peurs, lui donner de l’attention.
Autrement dit, lui donner son pouvoir d’être, pour vivre sa vie pleinement et dans l’harmonie.

Autrement, on retrouve par la suite les enfants et adolescents dans les cabinets de médecins, pédiatres, psychologues et autres, pour gérer leurs stress et angoisses.
Donc au plus, on laisse traîner la difficulté de l’enfant, au plus les symptômes croîtront dans le temps. Ce n’est qu’une question de temps pour que le message puisse passer et être compris.
Si tel n’est pas le cas alors, on peut connaître des challenges beaucoup plus conséquents, voire des drames.
C’est pour cela que l’apparition de stress chez l’enfant n’est pas à prendre à la légère. Et ce stress là est bien souvent, la résultante de difficultés perçues en amont.

Et des études récentes montrent que 60% des enfants d’âge scolaire ont de sérieux problèmes de stress. Et ce phénomène inquiète car les enfants qui y sont touchés sont jeunes, voire très jeunes.

Aujourd’hui, une grande partie des parents mise tout sur la réussite sociale et professionnelle pour leurs enfants, ce qui fait que parfois la barre est trop haute pour ces derniers.
Puisqu’ils doivent être le plus intelligent, le meilleur dans tout ce qu’il fait et entreprend. Ce qui fait que ces exigences peuvent être les mêmes pour toutes les activités extra-scolaires.

A ce rythme là, le constat est unanime: imposer trop d’activités à son enfant nuit à son développement.
Puisqu’un enfant à besoin de repos, il ne peut endurer continuellement une journée assis en classe, faire ses devoirs, assurer son cours de football finit par craquer.
La fatigue et le stress retentissent sur son équilibre, en conséquent il craque car il s’épuise physiquement et psychologiquement. Cela finit par se ressentir sur les notes, le comportement, le repli sur soi. Et pour les plus fragiles on retrouve la dépression et les tentatives de suicides.

C’est pour cela qu’il est vraiment impératif, d’observer ce qui se passe chez les enfants sans pour autant les étouffer. Un juste milieu est à trouver et il se trouve grâce à une communication et dialogue familiale, honnête et sincère.

A force d’en demander toujours plus à son enfant, on arrive à lui miner sa confiance en lui pour tous les domaines. Ils arrivent ainsi à douter d’eux mêmes, en arrivant à une peur d’échec et ainsi décident de ne plus s’investir dans leur apprentissage.
En conséquent, ils renoncent avant même d’avoir commencé, puisqu’ils ne se sentent pas à la hauteur.

Cette barre trop haute à bien souvent pour origine la projection d’un rêve d’un des parents pour leur enfant.
Alors là, l’enfant se retrouve dans une vie qui n’est pas pleinement la sienne. Il se retrouve avec tous les espoirs et les projections des parents, car là où ils ont échoué, il réussira.
Ce comportement, cette envie qui part peut être dans un premier temps, de plein de bons sentiments est lourd de conséquences pour la construction de la personnalité de l’enfant.
Puisqu’il est prisonnier des désirs de ses parents en conséquent, il n’a plus le temps de réfléchir à ce qu’il est, à ce qu’il aime et ce qu’il souhaiterait réellement faire.
Ce qui s’avère être complètement destructeur et incompréhensible. Malheureusement, ces cas de figures sont perçus que bien trop tard et donc tout est à refaire, pour construire la personnalité de l’être.

Tout enfant est unique et c’est là, leur principale richesse.
Alors il est grand temps de les prendre dans leurs globalité avec leur forces et leurs faiblesses d’origines, sans y créer de déséquilibre.
Car tôt ou tard, il y aura un clash.

Je trouve que de laisser et apprendre ou réapprendre à s’octroyer des temps de liberté à « ne rien faire » est indispensable aussi bien pour nous adultes, que pour nos enfants et adolescents.

Prise de conscience.

Prise de conscience.

A vouloir tout faire, je ne faisais plus grand chose.
J’en revenais même à culpabiliser que je n’étais pas « assez » pour tout faire et pourtant était-ce le cas?
Selon moi, certainement car je n’avais pas appris autrement et donc ne savais rien d’autre à ce sujet.
Maintenant, si je prends le temps, de prendre du recul, d’observer, de comprendre que se passe-t-il?
Pas grand chose, si je reste dans une observation et une compréhension passives.
Tout comme dans mes articles précédents, notamment sur les choix (Tout est une question de choix.), il fallu que je saute un cap et que je travaille sur moi (Remise en question).

A l’âge adulte, je n’ai plus la même attention de mon environnement qu’au moment où j’étais bébé, puis enfant, puis adolescent. Et pourtant en ai-je bien conscience? L’ai-je choisi? Est-ce que tous les éléments de bases ont été implémentés correctement en moi lors de ces phases de vies.

J’ai tellement fait de choses que je déployais toute mon énergie pour réaliser une dizaine de choses en même temps.
Pourquoi faire? Et pour qui?
Est-ce réellement ce que je veux? Est-ce une vie?
Je n’en savais rien, en tout cas, c’est ce que je croyais. Car à chaque fois que je voulais dire quelque chose, la réponse était la même, « c’est comme ça et puis si tu n’es pas content, vas voir ailleurs. »

A ce moment là, nombreuses sont les peurs et les croyances qui surgissent ou resurgissent en nous.
« Je vais me retrouver, tout seul, comment vais-je faire? »
« Sur qui je vais compter? »
Et puis comme je n’ai pas toutes les bases pour arpenter le monde, je me diminue toujours et toujours. Donc je ne bouge pas, j’ai même tendance à me replier sur moi.
Ainsi, je peux rester dans ce cercle vicieux toute ma vie, et ma raison serait entendante et valable pour moi. Car je n’ai pas appris dès les début, les bases alors, je me cantonne de rester dans ce schéma.
Or maintenant, qu’est ce qui m’empêche d’apprendre ce que je ne sais pas, de m’informer, d’écouter, d’être un peu comme au super marché et de prendre uniquement ce dont j’ai besoin.

Prendre conscience de ce schéma permet d’accéder à la première marche de la sortie et de reprendre ainsi un peu plus de puissance pour mener sa vie.
Car en entretenant ce processus, je me sentais continuellement impuissant et comme si tout ce qui se passait, était une fatalité.
Je n’avais plus aucun pouvoir sur ce que je voulais faire, ni même sur ce qui survenait.
J’étais comme pieds et main lié.

D’ailleurs, plus je le vivais et plus je le pensais, plus je le pensais et plus je l’inscrivais dans mon esprit.
Donc oui je vivais cette vie, mais quelque part je faisais tout pour le vivre continuellement.

Je sais que cela n’est pas évident car je suis resté dans ce schéma des années.
Si j’écris cela, c’est que maintenant je suis convaincu qu’il y a des possibilités pour s’en sortir.

Ce schéma a pour nom le « schéma de victimisation », d’autant plus que ce schéma peut-être tellement huilé que l’on a plus besoin de personne pour le mettre en marche.
Puisque l’on rentre à la longue dans le temps à un processus d’auto-victimisation.
Ex: « je n’aurais jamais ce poste car je ne suis pas à la hauteur. » et donc je prends même pas la peine de postuler à ce poste.
Et cela est valable pour toutes les choses de la vie, si je ne prend pas la peine de demander, comprendre ou bien d’observer quelque chose. Quand est ce que je pourrais le faire dans ma vie?
Naturellement qu’on veut s’en sortir, car le prix à payer et souvent lourd de conséquences (physiques et psychiques).

Alors, il est indispensable de prendre du temps pour soi, et de se permettre d’être comblé, ne serait-ce qu’un moment.
Si tu as manqué d’écoute, permets toi de t’écouter,
Si tu as manqué d’attention, permets toi cette attention.
Si tu as manqué de soins, permets toi ces soins,
Si tu as manqué d’Amour, permets toi de t’Aimer.
Si tu as manqué de personnalité, permets toi de la découvrir.
En d’autres mots permets toi de te donner ce qui te manque, sans que cela n’entrave autrui.

Il doit y avoir au préalable tout un travail d’investigation avant de pouvoir combler ces manques.

D’abord, les repérer, leur donner un nom. Rien que cela, apaise déjà beaucoup l’esprit car je sais déjà exactement ce qu’il me manque.
Je n’ai plus à courir derrière ce que je ne sais pas, puisqu’il ne me reste plus qu’à l’approfondir et persévérer.
Cela peut-être fait seul ou avec une tierce personne (professionnel, thérapeute et bien-sûre moi).
Lorsqu’on le fait seul, on y va souvent par tâtonnement. Et bien souvent on se dirige vers ce qui est évident pour nous. Malheureusement la réponse ne se trouve pas toujours où l’on aurait crue.
C’est pour cela qu’un avis extérieur expérimenté est toujours le bienvenu, car on peut entendre des choses auxquels nous n’avions pas pensées et qui raisonnent fortement en nous.

Mon expertise et mon expérience de vie me permettent, aujourd’hui d’accompagner des personnes se trouvant dans ces complexités.

Après avoir suivi un grand nombre de thérapies, je voyais bien qu’il manquait un petit quelque chose pouvant amener à la compréhension totale et utile pour que je puisse remonter la pente dans laquelle j’étais.
Ce petit quelque chose, je l’ai découverts en me dirigeant vers des personnes similaires à moi, ayant vécus des choses semblables.

Donc maintenant, je suis certain que même avec la meilleure des volontés,  les thérapies seules, ne conviennent pas à tout le monde. Puisqu’il y a des choses qui ne peuvent s’expliquer qu’en les vivants.

Suite à ce travail, cette compréhension et par les nombreux chemins, que j’ai parcourus, mes sens se sont affinés ce qui me permets de me diriger bien souvent vers ce qui est ancré et bloque ceux que j’accompagnes.

Les 3 besoins fondamentaux pour être au top de ces capacités.

Les 3 besoins fondamentaux pour être au top de ces capacités.

  • A force de vouloir avancer, d’aller souvent plus vite que la musique, j’en oublie les besoins fondamentaux pour que mon corps puisse être au top.Ces 3 besoins sont:
    – la respiration
    – l’hydratation
    – l’alimentation

    Je me suis dis,  » je sais, c’est simple comme bonjour » et pourtant lorsque j’ai pris le temps d’observer de plus près ces 3 besoins. Je me suis aperçu que ce n’est pas aussi aisé de les appliquer de façon optimale, tous les jours.

    Ce qui veut dire qu’à la longue, on finit avec des carences, des difficultés, des manques. Entraînant par la suite divers maux et maladies. Pourquoi?
    La réponse semble être évidente avec du recul.
    Chaque cellule de mon corps à besoin de cela pour fonctionner correctement. Donc comment puis je débuter correctement une tâche de la vie, si avant même de commencer, je n’ai pas 100% des fondamentaux en moi.

    D’ailleurs, ce n’est pas faute de ne pas l’entendre, puisque les slogans publicitaires, nous disent de boire au minimum 1.5l d’eau par jour, de manger 5 fruits et légumes par jour, de manger moins gras, moins salé, moins sucré,de bouger…

    Qui ment à qui?
    Je connais les bases, oui et est ce que je l’es appliques à 100%, non.
    Pourquoi?
    Bien souvent, car j’ai compris mais il me reste à l’appliquer au quotidien. Pour l’appliquer ça, je dois l’apprendre, le comprendre pour mieux l’implémenter en moi. Alors j’instaure des penses bêtes pour que cela devienne une répétition et un automatisme.
    La répétition est une seconde nature et c’est par ce biais que les choses deviennent faciles par la suite.

    – La Respiration:
    “La vie d’un homme n’est que du souffle qui se rassemble. ”  (Lao Tseu) 

    Au mieux je respire, au plus je suis vivant.
    La respiration se fait en deux étapes, l’inspiration où j’absorbe de l’oxygène et l’expiration où je rejette du gaz carbonique.
    Sans ce principe d’entrée et de sortie, il n’y a pas de mouvement et donc pas de vie. Si je ne respire plus, je finis par mourir.

    Et pourtant le sujet de la respiration se pose très peu, puisque c’est quelque chose de naturel, d’automatique. On a pas besoin d’y penser consciemment pour que ça se réalise.

    Pour une optimisation de la respiration, il est important d’équilibrer sa respiration afin qu’il y ait autant d’air qui entre, qu’il n’en sort.
    Et plus la respiration est lente et profonde, plus les biens faits pour l’organisme se font ressentir. Cette respiration permets de calmer les nerfs, d’avoir les idées claires…

    La respiration joue sur le psychisme et le psychisme joue sur la respiration. Ces  deux éléments sont intimement liés, donc si je joue sur l’un favorablement alors l’autre ne pourra que mieux le ressentir.
    Le niveau d’anxiété s’élève, lorsque la fréquence respiratoire devient plus rapide et une diminution du volume d’air inspiré et rejeté. C’est ce que l’on appelle une polypnée. Les conséquences sont multiples tels que les sueurs, les tremblements, l’insécurité ressentis…

L’éducation que j’ai eut et apprise m’a amenée à modifier la respiration naturelle et profonde que je connaissais au début de ma vie.
Car plus je grandissais et plus j’entendais « tiens-toi droit », « rentres-ton ventre », « allez vite, on se dépêche ».
En conséquence, ma respiration est devenue au fil du temps thoracique et donc superficielle.
Ce qui fait que j’ai accumulé des tensions, des déchets dans mon organisme.

Pour prévenir cela, il est important de prendre le temps de respirer consciemment et ainsi éduquer notre corps à le faire correctement par la suite. Ou de façons plus digeste pour notre organisme en cas de coup dur.
L’exercice que je trouve intéressant et qui permets d’observer ces bien faits ne prends que 5 minutes. Il s’agit de la cohérence cardiaque. Je vous partage un lien.  (Cohérence cardiaque)

Puis petit à petit en cherchant à comprendre les choses, je me suis orienté vers ceux qui restaient calme, pour m’en inspirer et voir comment ils faisaient.
C’est comme cela, que je suis arrivé à faire du yoga et pratiquer des respirations profondes.
Effectivement, cet engagement de ma part m’a permis d’appréhender les choses différemment et ainsi de prendre plus de temps pour moi et ainsi mieux me comprendre et mieux connaître mes besoins.

– L’hydratation
On s’hydrate de manière insuffisante.
Une enquête du Crédoc (centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie) montre qu’un adulte sur trois boit moins d’un litre d’eau par jour et que 86% des adolescents boivent moins de 1,5 litre.
Les enfants sont tout aussi concernés par cette insuffisance d’eau, car les répercussions se font en cascades. Une étude publiée en décembre 2011 dirigée par Le PR Gérard Friedlander, professeur de physiologie à Georges-Pompidou et Necker, révèle que près de deux tiers des écoliers présentent un déficit d’hydratation (Etude réalisée par l’Institut européen d’expertise en physiologie (IEEP) pour Nestlé Waters France auprès de 529 enfants de 9 à 11 ans.

Il ne faut pas attendre d’avoir soif pour boire. Car lorsque c’est le cas, c’est qu’il est déjà trop tard.
Hydrater son corps en quantité suffisante et de manière régulière est l’une des clefs.

L’eau n’est pas le seul apport hydrique de notre quotidien : Il ne faut pas oublier les légumes et fruits par exemple.

– L’alimentation
Selon wikipédia: « L’alimentation est le domaine de tout ce qui se rapporte à la nourriture permettant à un organisme vivant de fonctionner,  de survivre. »

Donc si je donne une bonne alimentation à mon corps, alors je lui donne toutes les chances de ce coté là.
Une alimentation trop riche aura des répercutions négatives sur le corps (mauvaise digestion, prise de poids, constipation…)
L’idéal pour une bonne alimentation est d’utiliser le principe des  3 V du docteur Christian Tal Schaller:
. Végétal ( l’homme est à l’origine herbivore. )
. Vivant ( les aliments crues sont remplies de leurs vitamines et enzymes.)
. Varié ( nous permet de se faire plaisir avec des produits d’origine animales et/ou  industriels.)

Au plus, je me rapproche de ce principe, au plus je me rapproche de ce que je suis. Car je me nourris de ce qui provient de la nature et le fait de manger les fruits et légumes crus, cela me donne et procure un bien fou pour mon organisme. Cela ne m’empêche pas de me faire plaisir tout en répondant à mes besoins nutritifs fondamentales.

Quand mes trois besoins vitaux sont pleinement satisfait je suis aligné avec moi et plus disponible pour ce que j’entreprends .