Pourquoi la communication est un outil magique?
La communication est un outil magique pour se comprendre, se faire comprendre, échanger, collaborer, essayer, ajuster, se soutenir, s’entraider.
C’est magique et « Fantomas » m’a permis de m’approcher de cette magie à un autre niveau.
Je ne savais pas que ce niveau existait, je le découvre, du moins je découvre un sous-niveau, un passage secret.
J’ai emprunté de nombreuse fois ce niveau et rien, rien de visible, rien de perceptible jusque là.
Je m’explique :
Quel résultat obtient-on sous l’impulsion d’une émotion?
Le résultat obtenu se trouve dans une forme d’instabilité car une émotion n’est que passagère.
C’est pour cela qu’une décision prise lors de l’émotion peut être tout et son contraire sur le long terme. Oui c’est soit »tout », soit « rien » et dans les deux cas un déséquilibre est présent.
Tant que ce déséquilibre est présent, notre regard est biaisé et donc le résultat, l’est aussi.
Il nous donne qu’une illusion, sur laquelle nous nous attachons
L’idéal, est d’être en mesure de prendre du recul de se sortir de cette émotion afin que la décision soit stable et non biaisée.
Où autre possibilité qui est la plus naturelle et qui n’est pas forcément la plus simple, surtout si le terme « émotion » est un mot qui n’est pas intégré en soi. Car dans ces cas là, cela demande de prendre une décision avec un inconnu en soi.
Oui, oui, un inconnu en soi. Et c’est d’ailleurs pour cela que le résultat obtenu est soit « tout », soit « rien ».
Essayez, tombez, relevez-vous et continuez
La peur c’est quoi?
Ah très bonne question, « la peur c’est quoi? »
C’est un truc, un machin, une chose… avec lequel je ne suis pas alaise, donc j’en ai peur.
Maintenant, la peur c’est quoi au juste?
Ca donne quoi?
Ca fait quoi?
Ca se trouve où?
Ca dure combien de temps?
Pourquoi c’est présent?
C’est quand qu’elle apparaît?
Résoudre, solutionner ou encore dépasser une peur devrait être simple, alors pourquoi cela ne l’est pas?
Le Sport,
Le Sport est la vie, puisqu’il est le mouvement.
Continuer la lecture de « Le Sport, »Qu’est-ce que je fais?
Qu’est ce que je fais?
Pourquoi je le fais?
Qu’est-ce qui fait que je le fais?
J’ai bien conscience que je ne veux pas le faire le faire et pourtant je me retrouve à le faire, pourquoi?
Qu’est-ce qui fais que je fais ce que je ne veux pas le faire consciemment?
« Ce que je veux n’a pas de prix. »
Et c’est là où se trouve une plus grande complexité.
Pour déterminer ce que je veux, j’ai les mots qui sont là et comme nous l’avons vu dans le précédent article, que dans les mots se trouvaient déjà une complexité.
Que je prends le temps peu à peu d’y mettre de la conscience, de l’attention et de l’énergie ce qui fait que cela croît, ce qui a pour conséquence d’y croire encore un peu plus.
C’est clair que la peur est présente, maintenant je décide d’y faire face pour cesser de fuir et de me voiler la face.
Théoriquement, cela est beau et concrètement cela donne quoi?
La complexité des mots,
Chaque mot, a son importance,
Chaque mot, a sa justesse,
Chaque mot, a son poids,
Chaque mot, exprime quelque chose,
Chaque mot, a un sens,
Chaque mot, a une vibration,
Chaque mot, a sa beauté.
Est-ce que j’ai conscience de chaque mot, de sa richesse?
» Qu’est-ce qui est le plus important, l’exploit ou comment je suis avec moi ? »
Le rire,
C’est un excellent moyen pour sortir de la douleur ne serait-ce qu’un instant.
Les enfants ont tout compris, ils rient en moyenne 400 fois par jour, oui 400 fois contre 20 fois pour les adultes.
Le rire déclenche les endorphines, c’est un élément aussi puissant que la morphine, à la seule différence que celui-ci est sécrété par son propre cerveau pour garder un niveau de bien être naturel.
Alors rions de tout, ne nous privons pas de ce remède naturel, pour expérimenter un bonheur et une humeur stable dans le temps.
Tout ce que nous consommons quotidiennement se transforme en habitude.