Invitée: Mélodie

Invitée: Mélodie

J’ai décidé d’inviter Mélodie à nous présenter son point de vue en lui laissant libre recours à ses pensées et aux sujets que l’on a put explorer ensemble lors de nos séances de coaching.

« Que voulez-vous faire lorsque vous ne pouvez même pas imaginer qu’une chose est possible ou qu’elle existe ?
Avez-vous envie d’un fruit que vous ne connaissez ni la forme, ni le nom, dont personne ne vous a parlé et dont le goût ne ressemble à rien de ce que vous connaissez ?
La réponse est évidente.
Mais la question à se poser… Quel intérêt avons-nous à découvrir les choses dont nous n’avons même pas conscience ? Quel est l’intérêt à prendre un chemin dont nous ne connaissons pas l’issu ? Avons-nous assez de curiosité pour aller explorer cette découverte ?
Il y a une quête qui, il me semble, est universelle. La quête du bonheur.
Ne serait-ce pas une assez bonne raison pour entamer un chemin ? Avoir assez de curiosité de prendre un chemin inconnu pour voir si au bout un secret du bonheur n’est pas caché.
Êtes-vous en plein bonheur à tous les niveaux de votre vie ?
De manière profonde je parle, sans rien occulter.
De mon point de vue cet état n’existe pas, mais nous cherchons à tendre vers cela.
Si tu me le permets, je vais te tutoyer, car je souhaite te parler (écrire) de mon coeur au tien sans détour.
Aujourd’hui, dans ce premier article j’ai choisi de te parler d’un sujet qui me porte depuis toujours. Prendre conscience.
Es-tu conscient de la vie ?
De la chance que tu as de vivre, d’avoir le choix de créer ta propre vie, de la construire ?
En as-tu profondément conscience ?
Aujourd’hui je veux te dire que chaque vie est précieuse, chaque vie sur terre est un cadeau.
Si tu es parent tu sais à quel point la création d’une nouvelle vie est magnifique, tu le ressens. Si tu n’es pas parent, regardes dehors et observes toute cette vie dans la nature, sa puissance, sa beauté et ressens là !
Prends ce temps 2 minutes. Ressens la vie, sa beauté, sa puissance, les infinis possibilités qu’offre la vie.
Et maintenant, tout ce que tu as ressenti pour la vie, ressens le pour toi. Quels sont les mots que tu peux mettre sur ce que tu as ressenti ?
La bienveillance, la fascination, la beauté, l’infini, la force, magique… Tout ces mots ce sont toi.
Prends conscience que tu fais partie de ce tout. Rappel toi que tu es né d’amour. Que si tu es né, c’est que la vie en a décidé ainsi. Tu es un cadeau pour l’humanité, comme chaque être. Aimes toi, respectes toi et imposes que les autres te respectent tout comme tu le feras à leur égard.
Imagines toi comme un élément clé de la vie sur terre. Tu as la chance d’avoir une vie qui va au-delà des besoins primaires / primitifs. Par respect pour la nature, ce qu’elle te propose, ce qu’elle te permets, vis ta vie et prends la en main !
Imagines toi à la fin de ta vie, entourée de tes petits enfants. Quelle sont les histoires que tu aimerais leur conter ? Quel genre de papi ou mamie veux-tu être à leurs yeux ? Quel est le grand-parent idéal ? Que dois-tu faire pour le devenir ?
Prends conscience que la magie de la vie ne peut s’opérer que lorsque tu te mets en marche.
As-tu conscience que ta vie, c’est toi qui en détiens les clés ?
As-tu compris que tout ce qui t’arrive c’est grâce à toi, que les pires moments comme les meilleurs sont de toi ?
Mais c’est rassurant non ? Une fois qu’on le sait !!!
Mon grand chagrin, c’est que la plupart des gens meurent sans avoir eu la chance d’en prendre conscience.
Alors aujourd’hui avec mes quelques mots j’aimerais contribuer à cela. Et si 1 seule personne prends conscience de sa chance de vivre grâce à 1 phrase, alors je serais heureuse.
Comment prendre conscience ? Que faire pour prendre conscience quel que soit le sujet d’ailleurs !
Je vais te donner mon point de vue personnel.
Tout d’abord il y a d’immenses pré-requis à la prise de conscience. Il faut avoir l’ouverture d’esprit pour accueillir une information nouvelle. Sans cette ouverture d’esprit, sans curiosité envers une information inconnue ou pire : contraire à ton mode de pensée… L’information, pourtant primordiale à ta prise de conscience ricochera sans avoir l’occasion de rentrer dans ton esprit.
Les prises de consciences se font grâce aux autres. Que ce soit en les côtoyant, en lisant ou en regardant des vidéos / films.
Si jamais l’information arrive à t’atteindre, que tu l’acceptes et la comprends… Cela ne suffit pas encore.
Je reprends l’exemple de ce fruit dont tu ne pouvais même pas imaginé l’existence. Tu as pris conscience de son existence, une personne a partagé avec toi toutes ses caractéristiques et t’a donné toutes les informations sur la façon de le manger. Tu en restes là ? Ah c’est super la théorie… Qu’est-ce que ça t’apporte ? Qu’est-ce que tu vas raconter à tes petits enfants sur ce fruit ? Que quelqu’un t’a raconté un jour son goût, sa couleur, l’odeur lorsqu’on se prépare à le manger ?
Il y a une immense différence qui se fera si tu t’aventures sur le chemin pour tester par toi-même d’évoluer vers cette nouvelle prise de conscience. Par l’expérience, cette nouvelle information fera partie intégrante de ce que tu es.
Voilà ce que je voulais te transmettre ce soir avec cet article. J’espère que mes mots raisonneront pour toi, en toi.
Observes la vie qui t’entoure, rappel toi que tu fais partie de toute cette vie, que tu es en vie et que tu peux tout faire de ta vie. La clé du bonheur réside dans notre capacité à prendre conscience, alors travaillons là-dessus avant tout. »

Maintenant, si vous aussi vous voulez, vous exprimez, partagez votre vision, vos questions. Faites le, comme Mélodie, qui continue à progresser de manière fulgurante.
Donc un grand merci de pouvoir assister à cela en direct. BRAVO!!

Pourquoi ne le fait-on pas?

Pourquoi ne le fait-on pas?

Cette question veut tout dire et rien dire, pourquoi?
Il y a tout simplement un manque de clarté et de compréhension envers soi-même.
Au cours de mes nombreux coaching, j’ai remarqué que plusieurs éléments étaient présents, pour ne pas le faire.

Dans un premier temps, il est impératif de déterminer pourquoi je vais le faire et pourquoi je veux le faire, sans quoi je peux très vite me perdre dans le comment? Ou encore le quoi? Le où?
Bref, ce que je veux dire par là c’est que les chemins pour se disperser sont infinis. Donc autant mieux se raccrocher à chaque fois que possible au fil conducteur qu’est le POURQUOI?

Je vais vous faire état de certaines situations qui nous poussent à ne pas le faire:

. Lorsque nous avons pris l’habitude que l’on nous dise quoi faire et quand?
En procédant ainsi, je ne prend pas d’initiative et reste dans une forme de passivité. Donc je n’ai pas appris autre chose que cela.
Je fais ce que je sais faire.

. Attente d’approbation.
Si je décide de mettre du nouveau dans ma vie. Bien souvent, j’ai eut besoin d’approbations car je ne me sentais pas forcément à la hauteur. Ou encore qu’il soit possible que se soit une perte de temps.
Je ne voulais pas assumer cela tout seul. Alors dans ces cas là, lorsque j’arrivais à obtenir l’approbation de certaines personnes, il m’était alors plus facile de me lancer.
Sauf que bien souvent, cela ne coïncidait pas avec les attentes/envies de ceux à qui je posais la question. Et comme je ne voulais pas l’assumer seul, par peur du rejet et bien je ne le faisais pas.

. La peur du ridicule.
J’ai beau savoir que la peur du ridicule ne tue pas et pourtant combien de fois le ridicule m’a empêché de passer à l’action?
Oui, ce n’est pas confortable d’être ridiculisé. Mais que se passe-t-illorsque je le suis?
Et bien j’ai la possibilité, d’apprendre, d’en constater un résultat concret et non qu’un résultat abstrait.

. La peur d’être critiqué.
La peur d’être critiqué se rapproche au niveau des conséquences de celle de la peur du ridicule.
Maintenant, avec du recul et de l’observation, j’ai pris conscience que ceux qui le font, sont ceux qui ne font rien de nouveau et qui ne tentent rien.
Ce qui fait que pour se sentir moins seuls dans leurs cas et bien la seul façon qu’ils trouvent pour exprimer cela et de critiquer.
La critique est facile, alors que l’action est toute autre.
Plus jeune, je critiquais mes parents, mais en fait, je ne connaissais rien à leur vie du passée. Je ne comprenais pas qu’ils la reportaient inconsciemment dans mon présent. Et qu’automatiquement, le décalage entre l’avant et le présent de l’époque pouvait être conséquent.
C’était alors un peu la loi du plus fort. Et dans le rapport parents/enfants, c’est complexe car il y a un déséquilibre dès le début physiquement, puis mentalement et l’histoire qui n’est pas la même.
Cela est vrai pour mes parents et pour chaque nouvelle que je côtoie.
Chacun a son histoire et son vécu, ce qui veut dire que chacun à une projection de sa vie.
Dans ces cas là, chaque critique blesse la personne.
Cela peut-être atténué grâce à la communication, la compréhension, le lâcher prise, l’ouverture d’esprit au nouveau.

. Tourner autour du pot.
Cela se vérifie, lorsque l’on observe un manque de clarté dans les objectifs.
Ce manque, découle souvent d’un manque de moyen, qui n’est pas que financier. Par exemple ne pas pouvoir mettre un mot exact sur ce que l’on peut ressentir est dû à une insuffisance de mots pour le sujet convoité et recherché.
Chaque sujet à un lexique, un vocabulaire prédéterminé pour mieux se comprendre. En parlant d’un même sujet avec un lexique et un vocabulaire déterminé, il est évident que la compréhension ne sera pas la même.
Les mots seront différents et parfois même incompréhensible.
Cela amène donc à une phase d’apprentissage, pour pouvoir poser et mettre les mots justes pour chaque situations. En procédant ainsi, je suis plus clair ce qui implique que je ne tourne plus autour du pot.

De plus l’une des erreurs que je commettais continuellement, c’était de me renseigner auprès de mon entourage qui n’expérimentais rien de neuf. Alors comment pouvais-je avoir des résultats allant dans mon sens?

Agir, c’est bien. En conscience c’est mieux et en groupe ça l’est encore plus.
Car je peux aller plus vite en me mouvant seul. Maintenant, si je veux aller loin dans cette démarche et cette envie. Et bien j’ai tout intérêt à m’entourer de personnes semblables à moi.

Cela m’a demandé beaucoup, notamment en remise en cause.
J’ai tout remis en cause, ce qui est une erreur, car tout n’est pas à remettre en cause. Par exemples, les lois universelles telle que la loi sur la gravité n’a pas lieu d’être remise en cause. Car cela revient à aller contre la nature.
Maintenant, toutes les croyances qui ne concernent que ma personne et ma vision du monde peut être remise en cause, afin de mieux comprendre mes mécanismes internes et donc mon fonctionnement.

En aillant emprunté ce chemin, tous les jours j’évolue, je grandi, j’apprends, je rencontre de nouvelles personnes, de nouveaux mots. En d’autre mots en m’autorisant, je deviens quelque part un explorateur. Un explorateur de la vie.

Ainsi en explorant la vie, je rencontre des personnes sur le même chemin que moi à un niveau donné. Ce qui fait que nous pouvons évoluer avec un même vocabulaire, une même compréhension.
Et si je rencontre des personnes qui veulent évoluer et arriver à un niveau similaire au mien et bien c’est avec plaisir que je leur enseigne ce que je sais, pour les amener à croître dans leur vie.

Maintenant, cela ne peut partir que d’une personne, « toi ».
Si tu veux grandir et apprendre un peu plus sur ton fonctionnement, je suis présent pour t’amener à évoluer.

Dites moi en commentaire, ce qui vous bloquent et vous empêchent de passer à l’action.

La patience.

La patience.

Ce mot voulait tout dire et rien dire pour moi.
Je pouvais le comprendre intellectuellement mais pas concrètement, puisque mon entourage ne me le montrait pas.
C’était donc qu’un mot parmi tant d’autres, que j’employai sans grande importance.
Pourtant il a sa raison d’être et je l’ignorais dans son sens et sa valeur.

A force d’entendre ce mot qui pour moi était évident, j’ai fini par me questionner et chercher à comprendre son sens et jusqu’à quelle mesure, il s’étendait.
Continuer la lecture de « La patience. »

Quoi faire?

Quoi faire?

A partir du moment où je me pose cette question, il y a un élément déclencheur et il y a quelque chose qui ne colle plus avec mes habitudes, la routine. Ou encore la présence d’une souffrance.

Dans ces cas là, je cherche à changer quelque chose en moi, en fonction de?
Puisqu’il y a une forme d’inégalité de présente et que je cherche à rééquilibrer pour ne plus avoir à ressentir cela.
Et bien souvent, pour résoudre cette forme de déséquilibrée, je me laisse influencer par l’extérieur, car je n’ai plus la réflexion et le réflexe interne pour la résoudre.

Pourtant, je l’avais lorsque j’étais enfant. Qu’est-ce que je veux dire par là?
Instinctivement, un enfant ne se retient pas pour exprimer quelque chose, alors que la majorité des adultes ne font que ça.
Naturellement, qu’il est compliqué de dire à son patron ouvertement qu’il nous fait chié et que ceux qui osent le faire sont pointés du doigt et donc plus grandement condamnables étant donné que la majorité ne le fait pas.
Dire tout haut, ce que les autres pensent tout bas, à un prix, que peu de monde est prêt à payer.

Autrement, ce que je veux dire par là, pour ne pas avoir de responsabilités à prendre et que je n’ai pas de réponse. Plutôt que de la chercher, je me réfugie vers la facilité. Et quoi de mieux pour se rassurer que de demander la solution à l’extérieur de sois et qui bien souvent n’a pas la réponse voulue?
Ainsi, je pourrais poser ma préoccupation à une personne extérieure à moi, qui en prendra bien souvent part à partir du moment où elle sera à notre écoute.

Maintenant, je sais aussi que certaines personnes ne nous écoutent pas car, elles estiment en avoir déjà assez à gérer avec leurs propres vies. Et c’est tout à leur honneur.
D’ailleurs, dire « non » à quelqu’un en détresse n’est pas une mince affaire à faire. Car cela revient à être pointé du doigt et d’être considéré comme sans coeur, égoïste, absent…

L’erreur que j’ai bien trop souvent commise est celle de penser pour les autres, ce qui m’amener à biaiser ma réponse.
Ma réponse dépendait d’une réponse que j’avais sous entendu en pensant à la place des autres personnes.

Ce qui fait que je donnais plus d’importance à l’extérieur de moi que pour moi.
En d’autre mots à force de penser ainsi, je m’oublier un peu plus.

Maintenant, je m’entraîne à dire de vrai « non », pour dire de vrai « oui ».
Cela demande un entraînement. Et comme dans tout entraînement, il y a des louper.
Par la suite, lorsque j’analyse les louper et que je les remets en questions alors, je peux arriver à un autre résultat que le précédent, avec lequel je peux comparer.
En procédant ainsi, je peux affiner mes résultats obtenus, grâce à la dichotomie.

« Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme. »
A. Einstein

Dans ces cas là, plus je vais essayer de choses venant de moi et plus je me connaîtrais et plus je m’affinerais dans ma façon d’être et de penser.
Et ainsi, je pourrais agir plus en étant moi.

Dîtes moi, qu’est ce qui vous empêche de passer la vitesse suivante dans votre vie pour passer au niveau supérieur?
Lâcher prise, c’est perdre pour mieux se retrouver ensuite, c’est accepter ce que je ne comprends pas, c’est aussi et avant tout pour moi se faire confiance.
Car lorsque je le fais, je décide de le faire consciemment ce qui a une double valeur.

La prochaine fois, je vous parlerais de la patience, c’est un sujet qui m’a trop souvent fait défaut, alors je vous donnerais mes conseils.