» L’ambivalence,  »

Il est simple de comprendre que plus je découvre de choses, d’éléments dans ma vie, qui plus ai que j’aime.

Moins, je suis prêt à les perdre car je pense qu’il n’y a pas pas mieux.
Et je pense cela pourquoi ?

Pour faire simple,  » l’ambivalence » c’ est:  » je veux, mais je ne veux pas.  » ou  » je t’aime, moi non plus.  »

Grâce ou à cause de toutes les croyances que  »j’ai gobées.  »
Et c’est une chance d’avoir Gobé toutes ces croyances car à force d’en gober, je me suis aperçu qu’il y en a qui sautent pour en laisser place à de nouvelles, plus riches et plus puissantes qui me parlent et raisonnent en moi.

Et c’est là que tout commence, que le  » game » commence.
Car celles-ci, c’est clair que je les gardes pour l’instant car elles m’apportent un bien fou. Et pourtant, je sens au fond de moi, qu’il y a encore  » mieux  ».

Et là, le choix, se présente en moi, continuer, arrêter, fuire dans un autre projet…?

Tous ces Choix, mènent à bloquer l’organisme, surtout si j’attends de choisir car de nouveaux choix vont apparaître, encore et encore amenant l’organisme à saturation et donc en perte de maîtrise de celui-ci.


C’est pour quoi, cette fois-ci, je me positionne et fait un choix conscient, plutôt qu’on conscient, pour prendre  » mon temps », ce qui m’ appartient.

Oui, je prends le temps d’apprécier ce que j’ai déjà.
Car tout avoir d’un coup, est le meilleur moyen de ne rien apprécier et d’en vouloir toujours plus et toujours plus.
Oui, car comment choisir une chose, une personne, une situation bien précise, lorsque je sais qu’il y a bien mieux ?

Le résultat est:

. je ne Sais pas choisir,

. Je suis passif,

. J’ai peur,

. Je n’ose pas,

. L’absence d’énergie

Tous cces éléments disparaissent dès lors que je fais un choix conscient et responsable.

Ce que j’ignorais avant.

Je me suis contenté de faire comme beaucoup, c’est à dire vivre une vie où la frustration, la colère, la culpabilité, l’impuissance, règnent en moi.

Et j’ai cherché à me convaincre que tout allait bien, qu’il y a pire ailleurs, que je suis chanceux et blablabla…

Jusqu’au jour, ou je découvre que je me mets à moi-même.

Et L’ambivalence à ce moment là, n’est que plus grande…

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