En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

En réponse à cette question: « Tout humain est amener à se comparer, même à petite échelle… qu’en penses tu ? »

Merci Elisabeth et maman pour votre participation et votre réponse.

La vie récompense ceux qui passent à l’action, j’aime cette devise. En conséquent je vous offre une séance de coaching, qui vous permettra d’aller encore un peu plus loin pour votre bien-être.

Je vais vous apporter à mon tour mon point de vu, mes observations, mes apprentissages.

La comparaison est une forme de suicide car c’est vouloir faire comme…, ou se distinguer de… et donc quelque part procéder autrement et finir par ne pas être soi.
Dans ces cas là, je n’agis pas en conscience de moi mais plutôt en fonction de.
Si j’utilise continuellement ce principe et bien j’arrive à m’oublier complètement, puisque je serais toujours tenter à observer à droite et à gauche.
D’ailleurs la comparaison est aussi une forme de compétition et de classement. J’observe le résultat de quelqu’un d’autre part rapport au mien.
Maintenant, en fonction des intentions qui y sont mises, cela peut-être bénéfique ou négatif pour moi.

La comparaison vient d’où?
Cette dernière apparaît à partir du moment où il y au minimum deux individus faisant et/ou voulant un résultat qui leur serait optimal.
La comparaison leur donne ainsi des références et des bases, reflétant principalement un manque intérieur représenté bien souvent par ce manque de confiance en soi, qui à grande dose détruit l’Être.
D’où le fait que, j’ai fait état de comparaison = suicide.

Autrement, si je suis seul, je ne peux pas me comparer. Donc sur quoi je m’appui?
Si j’ai pu et su développer au préalable ma confiance en moi, alors je n’aurais plus ce besoin de me comparer pour faire.

« Je ne peux savoir que ce que j’ai appris. »

Donc comment puis-je apprendre?
Je sais que nous commençons tous notre vie avec des outils.
Et ces outils, nous avons à en prendre conscience, connaissance, à les utiliser à sa juste valeur, à les expérimenter pour se faire la main et ainsi en rendre son utilité et efficacité facile.
Car si je ne sais pas utiliser un outil que je trimbale avec moi, il m’est plus encombrant qu’utile.
Pourtant, si nous utilisons nos propres outils à leurs juste valeurs et bien nous n’aurons pas à nous comparer.
Si nous nous comparons, c’est tout simplement que je cherche à apprendre à utiliser mes outils. Et c’est là où les choses peuvent se complexifier, car lorsque je me compare, je le fais bien souvent avec quelqu’un qui maîtrise l’outil et donc l’écart peut-être grand, voir trop grand.

Nous allons voir ensemble quels sont ces outils et notamment le premier qui nous pousse à la comparaison.
J’ai une boîte à outil et vous en avez tous une, où se trouve plusieurs sens.
Normalement, pour la grande majorité du monde, nous apprenons grâce à nos  5 sens:

. La vue

. L’odorat

. L’ouïe

. Le toucher

. Le goût

Chaque sens, affine un peu plus encore la vision de ma vie, à la condition bien sûr que je les utilise.

La vue est le premier sens qui me permet de me faire une vision de ma vie.

Car juste en voyant des choses de près ou de loin, je peux, me faire ma propre interprétation, qui peut être erronée, ou vraie en fonction de mon passé.

Là où je sais faire, j’y vais tel un leader.

Par contre, là où je ne sais pas faire et bien c’est plus complexe. Si je me retrouve face à quelque chose de nouveau ou encore une situation nouvelle et bien j’arrive quelque part face à un obstacle. Donc j’observe et me compare avec les autres pour tenter par la suite de reproduire le résultat et l’adapter à moi en cas d’inconfort.

Cependant, la vue n’est pas toujours suffisante pour réussir à faire et reproduire ce que les autres font.

Ainsi je peux connaître des formes de frustrations, de jalousies, si je ne réussis pas. Et je peux collecter des étiquettes que mon entourage me colles tout au long de mon parcours de vie.
Sincèrement, les étiquettes ont tendance à coller avec le temps et c’est souvent là, où je retrouve mes croyances.

Qu’est-ce qui se passent en moi au moment où je cherche à me comparer?

Et bien je ressens une zone d’insécurité, car je ne sais pas.

Je cherche à combler cette insécurité en me comparant pour voir, déjà dans un premier temps, si j’ai tous les mêmes outils extérieurs tels que la posture et les gestes.

Lorsque je ressens cette insécurité et bien la relation est impactée avec les autres.
J’ai alors à être attentif à cela pour que l’impact ne se fasse pas ressentir.

D’ailleurs, il est possible que je ne pense pas à la comparaison et que cela soit mon extérieur qui se compare à moi et m’en fasse part.

Ce qui fait, qu’il y a une interaction qui se créée et là comment faire?

La meilleure solution que j’ai trouvée jusqu’à présent est de continuer d’avancer, car si je m’arrête je perds l’équilibre. Et je l’ai perdu bien souvent.
Mais rassurez vous, un échec ne tu pas, il rend simplement plus fort, seulement si tu en tire une leçon et que tu te relèves.
Car derrière chaque échèc, il y a une opportunité à saisir.
Maintenant, si je me compare à des personnes qui sont elles-mêmes jalousent de moi de part ce que je fais, alors je n’évolue plus dans le sens qui m’intéresse.

A ce moment-là, je ressens des émotions et les émotions que je traverse m’amènent à des efforts d’adaptations.

Pour que l’adaptation soit simple, évidente et bien j’ai à me former à apprendre comment faire et surtout comment agir en conséquence plutôt qu’à être dans la réaction.
Car c’est entrant en réaction, que je me décentre, me déséquilibre et perd pied. Ce qui fait que je me retrouve là ou le vent me mène.

Le vent est le même pour tous, il y en a simplement qui ont appris à naviguer et faire face au vent pour arriver où ils le souhaitent.

Je suis dans un monde où je ne suis pas seul, donc oui rien que pour cela je me comparerais que je le veuille ou non.
J’utiliserais simplement un outil qui est propre à chacun, celui de la vue.
Avec cet outil, je peux réaliser de très belles choses comme son contraire. Tout comme un couteau de cuisine. Tout dépend ce que j’en fait et de ce que j’en ai appris à faire.

Je vous invite à laisser un commentaire, si vous avez aimez cet article pour que je le sache et puisse éventuellement vous aider sur une thématique, un outil.
Car si vous ne me dites rien et bien j’avance.
Au plaisir et à très bientôt.

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