Se reconstruire

Se reconstruire.

J’ai peut-être été trop vite en besogne pour  « Comment vivre la vie de ses rêves. »

Selon le dictionnaire Larousse, « reconstruire » à pour définition:
. Construire de nouveau ce qui a été détruit : Reconstruire une ville ravagée par un tremblement de terre.
. Rétablir quelque chose dans son état premier : Reconstruire sa fortune.
. Imaginer quelque chose autrement, en général de manière contestable : Reconstruire l’histoire.

De plus, pour vivre la vie de ses rêves, un plan d’action doit être construit et établit, afin de savoir comment procéder?

Il est clair que si une ville à été ravagée par un tremblement de terre. Et bien avant de reconstruire quoi que se soit, il est impératif de déblayer ce qui a été détruit et de garder ce qui peut l’être.
Cette partie est certainement l’action la plus douloureuse à vivre pour de nombreuses personnes.
Puisque pour connaître la destruction, il faut qu’il y ait eut dans un premier temps une construction avec des efforts et un travail fournit pour aboutir à cette dernière.
Le travail fournit peut être conséquent, puisque pour certain cela peut-être le travail et les effort de toute une vie qui part en ruine.

Maintenant, lorsque les choses sont détruites plusieurs choix s’offrent à moi:
. Abandonner / « jeter l’éponge » / ne plus avoir de goût / se laisser couler /se laisser mourir. Ce qui se résume à s’abandonner soi.

. Autrement, d’autres choix s’offrent à moi, puisque j’ai gardé le primordial pour commencer un nouveau départ, à savoir ma vie.
Il est clair qu’il peut-y avoir une période de deuil et que je puisse souffrir. Maintenant, il est indispensable que cette période de souffrance ne dure pas trop longtemps dans le temps, sans quoi cette souffrance qui est la mienne finira par me ronger de l’intérieur.

En entrant dans l’action, je ne serais plus sous cette forme de passivité. C’est à dire que; oui la souffrance peut-être présente mais que je fais mon nécessaire pour ne pas baisser les bras.
A ce moment là, si je n’ai pas d’information nouvelle, alors je peux tenter de reconstruire les choses comme dans leur état premier.
Ou encore, je peux  analyser quelles ont été les failles, pour que lorsque je reconstruise, je puisse mettre en place et en avant un nouveau projet bien plus adapté aux éléments de mon environnement.

Dans ces cas là, je m’aperçois que j’ai le choix de gérer les choses comme je l’entend,  le ressens et que j’ai le droit de vivre cela sans avoir à l’ignorer.
Je dis « sans avoir à l’ignorer » car, je me rend compte que la souffrance est bien présente en nous à ce moment, alors pourquoi chercher à l’ignorer et faire comme si que rien ne s’était passé.

La destruction laisse place à la reconstruction.
C’est un cycle, plus ou moins long en fonction de chacun. Nous avons le choix d’y participer activement ou passivement.
En y participant activement, je réduis le temps.
Alors qu’en y participant de manière passive, le temps me réduit et me détruit à petit feu.

Tout est possible, si je m’en donne les moyens et que j’entre en action.
Une simple sortie dehors peut m’amener à rencontrer la personne qui peut m’aider à résoudre le problème dont je n’ai pas la solution pour le moment.
Ce qui me permettra d’imaginer quelque chose autrement et de reconstruire un projet innovant sur une destruction.

Et c’est là où je me rends compte que si il n’y avait pas eut de destruction, mon projet innovant qui voit le jour aujourd’hui, ne l’aurait jamais vu sans cette destruction.

Alors la question que je me pose est:
Est-ce que je dois souffrir avec la destruction de ce que j’ai construis, si je suis certain que derrière cela se cache le plus beau projet innovant de toute ma vie?

D’ailleurs, la destruction nous pouvons l’observer partout mais nous ne la voyons pas forcément car nous ne voyons et portons attention pour la majorité. Ce que nous voyons sont les grosses destructions.

Et nous voulons la même chose pour les constructions et reconstructions.
Le temps pour détruire n’est pas le même que pour construire et reconstruire.
Il y a un temps pour chaque choses et chaque éléments. En ai-je conscience?

Est-ce que parce que je vois la partie émergé de l’ice-berg je peux déterminer sa taille au premier coup d’oeil?
Il y a ce que je vois et ce que je ne vois pas.
Plus tôt je passe à l’action et plus tôt je me rendrai compte de tout ce que je ne vois pas et ainsi rectifier, consolider ce que je suis entrain de reconstruire.

Alors les amis, reconstruisons, communiquons, échangeons nos astuces et avançons.
La vie est belle, alors inspirons nous en et reconstruisons à son image.

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