Nos valeurs propres, épanouissent notre Être.

Nos valeurs propres, épanouissent notre Être.

« Nul savoir, si étendu qu’il soit, ne permet d’atteindre à la plénitude de la sagesse, sans la connaissance de soi-même. »
– Bernard de Clairvaux

Il est indispensable d’avoir une bonne estime personnelle, pour connaître ses propres valeurs. Car dans le cas contraire nous sommes facilement influençables et nous nous retrouvons avec des valeurs, des étiquettes, que nous croyons être les nôtres et qui pourtant ne le sont pas.

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Le pouvoir des vacances.

Le pouvoir des vacances.

Les vacances d’été arrivent à grand pas, certains seront ravis et d’autres pas, pourquoi?

Juste le mot « vacances », peut nous rendre euphorique, car quelque part nous retombons à la période  de notre enfance, avec toute la magie que cela pouvait amener.
C’est d’ailleurs au moment de notre enfance, que nous avons pris conscience du mot « vacances ».

Pour ma part c’était un moment où, je pouvais lâcher prise et vivre comme bon me le semblais un moment donné. Je me retrouvais avec moi et des activités qui me plaisaient.
Je savais qu’il n’y avait plus les contraintes extérieures habituelles, tels que l’école, les devoirs, les sports et j’en passes.
Il restait tout de même un règlement interne à la famille, donc les vacances restaient tout de même cloisonnées.
Et grâce à cette cloison, je me sentais rassuré car papa et maman organisaient cette période avec plus ou moins de liberté.
Toujours est-il que c’était un moment ou je pouvais souffler sans trop de responsabilités à prendre car le maintien de celui-ci était assuré par mes parents.
Donc quelque part, j’accédais beaucoup plus facilement au repos, à la détente, aux jeux, à ma créativité, à mon insouciance.

A l’âge adulte, je trouve que c’est une toute autre histoire, les vacances peuvent être vécues et ressenties différemment.
Puisqu’au cours du temps, nous avons endossé des responsabilités supplémentaires, celles que nous n’avions pas à prendre par le passées.
Même si les responsabilités varient toujours d’un individu à un autre, (cf: le pouvoir de l’organisation)
Les responsabilités tournent toujours autour de l’individu, du foyer avec enfants, du couple, du travail, des activités annexes. Dans chaque situation, il y a relation et à partir du moment où des relations sont présentes, les responsabilités le sont autant.

Si nous n’avons pas appris à apprivoiser ces responsabilités, alors à l’âge adulte, nous stagnerons dans la même dynamique. Et ainsi nous resterons basé sur nos simples connaissances et ce qui se trouve à notre portées.

Pour ce qui est de notre portée, nous n’avons pas à aller chercher loin. En procédant ainsi, la déconnexion reste superficielle. On reste toujours relié à nos amis, nos repères, nos activités proches. Tout reste proche est le risque de retomber dans notre train, train quotidien est grand.

Pour essayer de nouvelles choses et pour être rassuré dans ce moment d’exploration, nous prenons des voyages organisés. Pour se délester à nouveau des responsabilités d’organisations.
A ce moment là, nous fonctionnons comme la majorité et nous avons de fortes chances d’être copieusement entouré.

Par contre, en prenant le temps de s’organiser, nous sommes plus en clin à réaliser de nouvelles choses, vivres de nouvelles expériences et tout ça en restant zen du au fait qu’elles ont été anticipées.
Cette anticipation fait suite à un inventaire fait au préalable, qui m’a permis de ne pas avoir à être être pris au dépourvu.
Naturellement, les besoins varient selon les vacances choisies. Je ne vais pas prendre des combinaisons de ski pour aller à la plage. J’exagère pour que cela soit explicite, combien de fois, j’ai réalisé mes vacances et me suis encombré de choses inutiles, pensant en avoir besoin, sous prétexte des au cas où ou on sait jamais.

Je me rends compte que les vacances sont aussi utiles pour se poser et se retrouver avec soi, faire un point sur soi et son mode de vie.
Si je ne change rien à ma vie et ma façon de faire, alors rien ne changera.
Si je veux changer quelque chose, c’est en profondeur et non en superficiel, car sinon un coup de vent et je suis perdu.
En changeant les choses en profondeurs, je prends mes responsabilités et deviens autonome à tout point de vu.

Certains prennent leurs vacances pour aller, vite, vite, et ainsi visiter le maximum de choses. Résultat des courses, ils sont plus fatigués qu’à leur départ.
Certains n’ont rien découverts de plus car ils ne peuvent pas accéder aux vacances, ou si ils y accèdent, ils se font encore plus de mauvais sens.
En voulant faire plaisir à leurs proches, c’est eux même qui subissent le stress et l’anxiété sous une autre forme puisque le vécu des vacances est différent de ce que l’on peut connaître ailleurs.

Certaines personnes prennent des vacances « farniente » et si elles ont été prévues alors il y a possibilité de laisser place à des improvisations.
Car avoir un imprévu dans un emploi du temps où tout est prévu ce n’est pas possible, ce qui veut dire qu’une flexibilité est nécessaire.

Des vacances trop rigides ne sont pas idéales pour ressentir cette sensation de liberté. Et des vacances trop souples amènent à trop de liberté et une sensation où l’on peut très vite se sentir perdu.
Même les vacances ont besoin d’un juste milieu pour les apprécier vraiment dans le « avant », « pendant » et « après ».

Les vacances idéales, sont celles où l’on arrive à réellement à se déconnecter au moment du « pendant ».  Car en ayant anticipé, le « avant » et « après », nous pouvons profiter pleinement du repos des vacances. Ainsi nous rechargeons nos batteries interne sans se soucier de rien d’autre.

Ce qui fait que l’on vit des vacances constructives, enrichissantes, inspirantes pour l’évolution de notre vie future.

Le bémol que je trouve, est que les vacances ont une fin. Cela est une habitude qui a été prise lors de l’enfance et qui est conservée à l’âge adulte.
Pourtant les responsabilités sont tout autres, le mot est le même mais pas les conséquences.
Je trouve aberrant de pouvoir vivre 5 semaines une vie qui nous inspire, contre 47 qui nous inspirent moins.
Donc construisons une vie sur mesure pour ne plus avoir cette sensation, déséquilibrée, de fin de vacances, de déception.

Si nous construisons notre vie, à notre image en fonction des impératifs, alors il est possible que le ressenti des vacances se déroulera toute l’année.
Autrement dit: « Restons dans les limites et vivons notre vie, car nous le méritons du fait que l’on soit présent, aujourd’hui. »
Transformons notre « présent » en « présence ».

Et vous comment vivez-vous vos vacances?

Le pouvoir de l’organisation.

Le pouvoir de l’organisation.

Au plus je m’organise, au plus je peux faire d’actions.
Et au moins je m’organise, au moins je peux faire d’actions.

Je remarque aujourd’hui que c’est évident et pourtant ce n’est pas quelque chose qui a toujours fait parti de moi.
Et cela, ne changera pas tant que je ne mettrai pas toute mon attention sur cette envie de m’organiser pour changer.

« Mon énergie, va où se trouve mon attention. »
Au plus je mets mon attention sur un sujet, au plus j’y consacre du temps.
Si je consacre mon énergie vers un mieux dans ma vie, alors je vais investir du temps dessus, j’apprendrai, implémenterai et serais ce que j’apprends.

En apprenant ce que je veux, je finirais par changer et vivre la vie de mes rêves.
Pour cela, je m’organise, teste, essai, confirme, retire, réajuste mon emploi du temps, afin de le rendre sur mesure.

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Partages

Ici se trouve, le « partage », la « pierre », « l’idée », de chacun pour amener un éclaircissement, un détail ou encore une réflexion supplémentaire.
Merci, d’être ce que vous êtes. Merci tout simplement d’être.

Comment se construire?

Comment se construire?


Lorsque le pourquoi est trouvé, le comment vient de suite derrière car l’impatience de se réaliser est bien présent.
A ce moment une nouvelle étape entre en jeu et de nouveaux challenges se présentent, alors que bien souvent nous pensons avoir fait le plus gros du travail. Du moins, c’est ce qu’il en a été pour moi.
C’est un peu comme si je démarre enfin la voiture de mes rêves et que je ne sais pas la piloter ou encore comme si que j’ai un quelconque outil en main et je n’ai aucune idée de son utilisation.

Construire est un bien grand mot nous l’utilisons souvent pour concevoir, bâtir, à l’extérieur de soi et qu’est ce qu’il en est vraiment de soi?

Comme je construis, conçois concrètement des choses à l’extérieur de moi. Alors, je suis tout simplement quelque part à l’extérieur de moi et n’arrive pas à me sentir bien en moi et avec moi, puisque je n’ai pas pris le temps de construire mon intérieur car j’ignorais que j’en avais un.

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Avons-nous à nous faire violence pour vivre?

Avons-nous à nous faire violence pour vivre?

J’aimerais bien vous dire à tous « non » et pourtant, cela serait vous mentir.
Et comme je me suis promis d’être le plus honnête possible avec vous.
Je vais vous dire où, et à quel moment, il est indispensable de se faire violence pour ceux qui veulent comprendre et apprendre un élément qui peut donner sens à votre vie.

A l’heure d’aujourd’hui il est facile « d’avoir » en un minimum d’effort et de temps.
J’échange de l’argent pour « avoir » un résultat direct. Ce qui amène à oublier les notions de temps et d’étapes que notre conscient ne voit et perçoit plus directement, il faut en prendre conscience.
Et au lieu de ça, je suis dans la réaction car il nous manque des éléments de compréhension.

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Qu’est ce qui nous pousse à changer?

Qu’est ce qui nous pousse à changer?

Je change, lorsque je ressens quelque chose qui ne va pas, un malaise ou encore un mal être. Autrement dit, je m’adapte à une situation inconfortable pour que celle-ci le soit moins par la suite.
Toujours est-il qu’il n’est pas si simple de changer cela, puisque ces difficultés restent bien souvent « tabou », car peu réussissent à le faire tout simplement.
Et si je suis entouré de personnes qui n’ont pas su et/ou ne veulent pas changer, alors je rends cette possibilité de changer, que bien plus délicate.

Ce qui pousse le monde à ne pas changer ses habitudes, c’est qu’elles sont bien ancrées depuis tout petit, voir même depuis plusieurs générations.
En conséquence, je les apprivoises et me dis « cela est normal, c’est comme ça pour la majorité ». Bien entendu inconsciemment je me résigne et fini par me considérer comme tel, puisque je ne côtoie que des personnes faisant partie de cette majorité qui ne change pas. Alors je ne fais que de renforcer ma croyance.
Et si par malheur, j’en venais à remettre une habitude de mon entourage en cause, alors il est évident que cela pourrait être mal perçu et ainsi réveiller les furies.

Il est bon de savoir que, si moi je veux changer, il n’est pas dit que mon entourage le veuille. Et donc c’est pot de fer, contre pot de terre.
Et si je veux changer, c’est quand?
Si c’est Maintenant, maintenant dure combien de temps?
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L’importance d’avoir des rêves en tête.

L’importance d’avoir des rêves en tête.

 

 

 

 

 

 
Il existe plusieurs sortes de rêves:
– les rêves inconscients que l’on fait lorsque l’on dort.
– les rêves conscients que l’on fait lorsque l’on s’imagine dans une situation agréable.
Nous parlerons plus particulièrement ici des rêves conscients sur lesquels nous avons un plus grand pouvoir d’action.

Commençons avec différentes citations inspirantes:

C’est la possibilité de réaliser un rêve qui rend la vie intéressante. (Paulo Coelho)
Le rêve est la preuve qu’imaginer, rêver ce qui n’a pas été, est l’un des plus profonds besoins de l’homme. (Milan Kundera)
Le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. (Eleanor Roosevelt)
Pour réaliser une chose vraiment extraordinaire, commencez par la rêver. (Walt Disney)
Les rêves sont la nourriture des dieux (Paul Ohl, écrivain).
Ne te crois pas pauvre parce que tes rêves ne se sont pas réalisés: vraiment pauvre est celui qui ne connaît pas le rêve. (Marie Von Ebner-Eschenbach, romancière)
Ayez des rêves et travaillez très fort pour les réaliser! Mais surtout, faites des choses que vous aimez parce qu’alors, les efforts pour les atteindre paraîtront moins exigeants. (Julie Payette, astronaute)

Des rêves nous en avons tous et que faisons nous pour les réaliser?
Faisons nous tout notre possible pour leur réalisation ou les laissons nous passer?

Les rêves ont beaucoup de vertus bénéfiques.
Ils nous animent, nous donnent accès à des ressources insoupçonnées.
Ils nous permettent de nous échapper vers une vision qui nous apporte de l’espoir et nous sortent de nos pensées négatives.
Ils développent notre imaginaire ouvrant la porte à de nouvelles solutions.
Ils donnent une direction, un sens à la vie.

Des rêves, il en existe une multitude mais comme tout individu, un rêve est propre à chacun et il peut se développer ou non?
Tout dépend, de l’énergie de l’intention et de l’attention que l’on y porte.
Il est certain que si nous consacrons peu de temps, voir pas du tout pour nos rêves, ces derniers risquent de ne pas voire le jour.

Il vaut mieux essayer de chercher à réaliser son rêve puisqu’il n’y a aucun plaisir à vivre du regret. Et puis pour réussir, il faut d’abord essayer.

Nous sommes plein d’entrain, plein de volonté pour réaliser un grand nombre de choses, telle que que voyager, découvrir, aider notre famille, se connaître, avoir un bon travail, de l’argent.
Et pourtant tout le monde a un rêve et pour certain il est difficile d’aller vers celui-ci, ils bloquent, pourquoi?

Les raisons sont diverses: les peurscelle du regards des autres, du jugement , la peur de l’échec, de décevoir les autres et surtout soi-même, l’idéalisation, la santé, l’argent, l’entourage…

Toutes ces raisons ne sont que des croyances limitantes telles des barrières qui peuvent être levées et dépassées. Tout comme dans un labyrinthe il est indispensable de mettre en place un plan d’action pour ne pas se perdre.

Je me suis alors appuyé sur ma technique d’enfant pour résoudre les labyrinthe de mes magazines.


Il s’agit de prendre du recul et de visualiser le bon chemin en commençant par la fin pour remonter jusqu’au départ. Une fois la visualisation faite je sais par où passer, en conséquent je pourrais investir à cent pour cent dans ce chemin puisque je connais la destination et le résultat. Cet investissement se décomposera en étapes et en fonction des moyens que j’ai à ma portée aujourd’hui.

N’oublions pas que tout est possible quand on s’y met.
Ils y a trois sortent d’homme: ceux qui vivent leur vie, ceux qui rêvent leur vie et ceux qui vivent leur rêve. Philippe BARTHEROTTE

Et vous, quel est votre façon de parvenir à vos rêves?